
Le choix du nom d’un établissement de santé est un projet de réflexion qui peut prendre du temps, ou être totalement évident. Les équipes qui en ont la charge y mettent leurs émotions, leurs souvenirs, et il n’est pas toujours facile d’obtenir un consensus. S’inspirer du passé, ou se tourner vers l’avenir ? Choisir une personnalité, ou un générique qui constituera de surcroît un acronyme facile à retenir, et disponible si possible ? Trois établissements l’ont fait récemment. Deux d’entre eux ont choisi de rendre hommage à une personnalité politique française, et pas des moindres, car il s’agit d’anciens ministres de la santé.
Ce samedi 3 février 2018, à l'hôpital d'Yssingeaux (Haute-Loire) plusieurs centaines de personnes ont assisté à la cérémonie inaugurale du nouveau nom de l'établissement : le Centre Hospitalier Jacques Barrot. Une date choisie car ce jour-là, l'ancien maire d'Yssingeaux, ancien député de la Haute-Loire et ancien président du Conseil général, aurait eu 81 ans.
Jean-Louis Debré, qui est un proche de la famille Barrot s’est appliqué à cet hommage : "Jacques Barrot trace pour nous le sillon de ce que doit être l'homme politique" a expliqué tout en rappelant ses multiples actions et engagements au niveau politique. Il insistait sur cet "homme libre" qu'était l'ancien ministre de la santé. « Jacques Barrot avait la modestie des grands. Il a servi la France avec honneur et dignité." L'ancien ministre rappelait aussi quelques anecdotes, se souvenant du caractère de Jacques Barrot et de ses "vraies fausses colères" dès lors que l'on disait du mal d'Yssingeaux.
Un nouvel Hôpital Simone Veil
Centre hospitalier Simone Veil (Vitré)
Vendredi 2 février 2018, l’hôpital de Vitré a été baptisé « Centre hospitalier Simone Veil » en présence de son fils, Jean Veil.
Alain Groheux, directeur de l’hôpital, a rappelé que Simone Veil (ministre de la Santé de 1974 à 1979) était à l’origine de la construction de l’hôpital avec Jacques Barrot (qui lui a succédé de 1979 à 1981).
Pierre Méhaignerie, qui a proposé le nom de Simone Veil après son décès le 30 juin 2017, a vécu cet instant comme « un honneur et un vrai bonheur ». Les deux anciens ministres étaient de grands amis. (article complet)
Il s’agira du 4ème hôpital Simone Veil ( NDLR : à notre connaissance) :
- L’hôpital de Valognes, antenne du Centre hospitalier public du Cotentin (CHPC), portera désormais celui de Simone Veil (cérémonie prévue au printemps 2018). Ministre de la santé en 1977, elle y était venue il y a quarante ans pour l’inauguration de l’établissement.
- Le Centre Hospitalier Simone Veil de Blois (Mme Simone Veil en a posé la première pierre le 9 février 1978).
- le Groupement Hospitalier Eaubonne-Montmorency lui, porte le nom d'Hôpital Simone Veil, depuis 2002
Enfin, depuis le 30 janvier 2018, c’est à la Réunion qu’un établissement de santé vient de recevoir son nom de baptême, « Centre Hospitalier Ouest Réunion » : C'est le nouveau nom choisi par les équipes du Centre Hospitalier Gabriel Martin de Saint-Paul pour désigner le nouvel hôpital qui sera mis en service en 2019.
Centre Hospitalier Ouest Réunion

Depuis plus de 20 ans Karine Breack-Touzet évolue dans le domaine du projet hospitalier, ce qui l’a conduite à créer HOSPIHUB.
Elle est en constante relation avec les acteurs de la santé en France, au Maghreb et en Afrique. Son expertise s'étend aussi dans le tourisme de santé

Le projet de modernisation de l’AP-HM a été déclaré éligible par le Comité interministériel de performance et de la modernisation de l'offre de soins (Copermo), ce qui signifie que les grands objectifs du projet et ses principes d’élaboration ont été jugés conformes à la stratégie de l’Etat en matière d’investissement public hospitalier.
Cette éligibilité emporte la perspective d’une aide financière nationale une fois le projet définitivement validé
Concrètement, ce projet ouvre pour l’AP-HM la perspective de reconfigurer et de rénover d’ici 2024 l’ensemble des services d’hospitalisation et de consultation des hôpitaux de la Timone, Conception et Nord, afin d’offrir aux patients des conditions d’accueil modernes et attrayantes. Il s’agit aussi de reconstruire à neuf certaines installations, notamment la nouvelle maternité centre qui ouvrira à l’hôpital de la Timone.
Au-delà des murs et des investissements, ce projet est un véritable levier de transformation pour l’AP-HM, qui rassemblera dans ce cadre ses hyper-spécialités de pointe selon une logique de site, tout en conservant sur le centre comme à l’hôpital Nord l’ensemble des activités nécessaires à une prise en charge complète de la population environnante. A travers son plan de modernisation, c’est le futur de ses organisations que l’AP-HM dessine : les choix effectués aujourd’hui auront un impact durable sur la qualité des soins et sur la performance de l’institution.
Ce projet de modernisation est donc bel et bien l’occasion attendue de longue date de placer l’AP-HM dans une vraie dynamique de progrès, au service de tous les habitants de la métropole marseillaise et des Bouches-du-Rhône. Cette occasion ne doit pas être manquée, et c’est pourquoi l’ARS Paca sera vigilante à ce que le dossier atteigne tous les standards requis pour obtenir une décision finale favorable du Copermo. Beaucoup de travail collectif reste à accomplir pour que ce projet soit l’étape qui sortira durablement l'AP-HM de la situation financière difficile qui est la sienne.
Pour obtenir une décision finale favorable, et avant de saisir le commissariat général à l’investissement, l’AP-HM doit désormais satisfaire un certain nombre de recommandations, portant à la fois sur les choix stratégiques du projet et sur sa contribution au redressement financier. L'Etat sera donc exigeant, non seulement parce qu'il consentira une aide majeure pour ce projet mais aussi et surtout parce que l’APHM doit mettre toutes les chances de son côté pour que son futur outil de travail soit le plus performant et le plus cohérent possible.
L’ARS Paca a toute confiance dans la capacité des équipes de l’AP-HM à poursuivre la dynamique engagée pour mener le projet jusqu’à une décision finale favorable et faire la démonstration que le CHU de Marseille est capable de se mobiliser sur la voie du redressement. Sans attendre les prochaines étapes du dossier, l’ARS Paca a pris la décision d’allouer, à titre exceptionnel, une dotation de 7,5 M€ destinée à financer une première phase d’investissement prioritaire. L’appui de tous les partenaires de l’AP-HM sera nécessaire, en particulier celui des collectivités territoriales qui ont déjà fait part de leur grande attention à ce dossier stratégique pour l’avenir de Marseille. ( 01/02/2018)

Depuis plus de 20 ans Karine Breack-Touzet évolue dans le domaine du projet hospitalier, ce qui l’a conduite à créer HOSPIHUB.
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Orange Business Services renforce son leadership dans le domaine de la e-santé avec l’acquisition d’Enovacom
Orange Business Services vient de signer un accord en vue de l’acquisition de la société Enovacom, acteur de référence dans la e-santé. Ce projet d’acquisition s’inscrit dans la stratégie d’Orange Healthcare, sa filiale santé, d’être le partenaire majeur de la transformation digitale des établissements et des acteurs de santé en France et à l’international.
L’acquisition d’un acteur de référence dans le marché de la santé Enovacom est un éditeur de logiciels français, fondé à Marseille en 2002, dont l’activité est entièrement dédiée à la e-santé. Leader dans son domaine, expert de l’interopérabilité, Enovacom a conçu une suite logicielle permettant d’assurer l’échange, le partage et la sécurité des données entre tous les acteurs du système de santé. Ses solutions sont présentes dans plus de 1 500 établissements de santé en France et à l’étranger et permettent notamment de gérer et sécuriser les échanges électroniques des hôpitaux avec leurs nombreux partenaires.
Cette acquisition est une étape clé du développement d’Orange Healthcare. Au-delà de ses solutions d’infrastructures et d’hébergement agréé de données de santé, Orange Healthcare souhaite développer des solutions innovantes pour permettre aux acteurs du système de santé de communiquer entre eux et de rester connectés avec les patients tout au long de leur parcours de soins.
C’est pour répondre à cet enjeu majeur de digitalisation et de simplification des parcours qu’Orange Business Services a choisi d’acquérir Enovacom. Son positionnement neutre lui permet en effet de s’interfacer avec tous les acteurs du marché. « Intégrer les compétences d’un éditeur de santé comme Enovacom nous permet de monter dans la chaine de valeur pour proposer des solutions e-santé encore plus complètes à nos clients et plus particulièrement aux hôpitaux. En réalisant l’acquisition d’un acteur aussi innovant et performant, nous renforçons notre stratégie de croissance sur le marché de la santé, et ce notamment dans le cadre de la réforme des Groupements Hospitaliers de Territoire qui fait de la communication inter-hôpitaux et de l’interopérabilité des équipements un enjeu majeur, » déclare Thierry Bonhomme, Directeur Général Adjoint du Groupe Orange en charge d’Orange Business Services.
« A travers ce rapprochement, les clients d’Enovacom bénéficieront de l’étendue des compétences et des capacités d’innovation du Groupe Orange dans les domaines du cloud, des infrastructures de communication, de la sécurité, des objets connectés et de l’expérience client. Je me réjouis que grâce à cette opération, Enovacom grandisse dans le respect et l’intérêt de ses 140 collaborateurs, » commentent Laurent Frigara et Renaud Luparia, Directeurs Généraux d’Enovacom.
A l’issue des négociations et sous réserve des conditions suspensives usuelles, Enovacom deviendra filiale d’Orange Business Services et s’intégrera opérationnellement avec Orange Healthcare, sous la direction d’Elie Lobel. Laurent Frigara et Renaud Luparia, resteront opérationnellement impliqués dans la société en tant que Directeurs Généraux délégués d’Enovacom. La réalisation de l’opération pourrait intervenir dans les prochaines semaines.
CP du 02/02/2018

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Le prochain Colloque TIC Santé aura lieu les 7 & 8 février 2018 sur le thème :
" Quelle place pour le numérique dans la coordination des soins et la formation des acteurs ? un défi organisationnel !!! "
Contexte et problématique
Le déploiement de la e-santé s’accélère. La multiplication des applications et des projets au service des usagers contribue à l’amélioration des parcours de santé et à la démocratie sanitaire.
La coordination des activités de soins est facilitée par les applications numériques qui favorisent les échanges et le partage des données entre professionnels et structures de santé.
La transformation numérique de notre système de santé impacte les organisations et le parcours de vie des usagers.
Dans ce contexte, il est indispensable que les acteurs du soin utilisent des solutions numériques adaptées pour assurer la coordination effective des parcours de soins et que les organisations mettent en œuvre une véritable stratégie digitale.
L’association FORMATICSanté qui contribue depuis 14 ans à cette évolution a choisi cette année, dans un contexte en pleine mutation, de traiter à l’occasion de son Colloque la place du numérique dans la coordination des soins ainsi que pour la formation des acteurs de santé.
Les objectifs du Colloque
Au cours des deux journées le Colloque TIC Santé 2018 permettra aux participants de bénéficier de l’éclairage d’experts, de témoins et professionnels qui travaillent sur ces questions.
Les objectifs de la journée du 7 Février – Quelle place pour le numérique dans la coordination des soins ? un défi organisationnel
Appréhender les enjeux du numérique pour la coordination des parcours de soins et de santé.
- Débattre autour des questions techniques, organisationnelles soulevées par la coordination des activités au sein des territoires de santé.
Les objectifs de la journée du 8 Février – En quoi et comment le numérique impacte la formation des acteurs de santé
- Identifier l’impact de la transformation numérique sur les dispositifs de formation des acteurs de santé.
- Partager et échanger des pratiques de formation et de coordination innovantes entre professionnels et structures de formation.
Le public visé
- Personnels de direction : directeurs, DSI, DRH, DIM, directeurs des soins…
- Médecins : présidents CME, praticiens hospitaliers et libéraux
- Personnels d’encadrement : chefs de pôles et de services, cadres de santé
- Professionnels de santé : infirmiers spécialisés, infirmiers, kinésithérapeutes, manipulateurs radio, diététiciennes…
- Universitaires, consultants, formateurs
- Responsables et bénévoles au sein d’associations d'usagers de santé ou associations professionnelles, prestataires, éditeurs de solutions e-santé et formation à distance
Lieu : Cité Internationale Universitaire de Paris - Fondation Biermans - Lapôtre
9A Boulevard Jourdan - 75014 Paris
L'affiche officielle :

Lors de la cérémonie des voeux des cliniques Saint-Michel et Sainte-Anne et de la polyclinique Quimper sud, le directeur Anthony Monnier a annoncé que le permis de construire de la nouvelle clinique de Quimper, sur le site de Kerlic, allait être déposé. Il s'agit du regroupement des équipes des 2 entités.
" Le permis de construire va être déposé dans quelques jours, les travaux du bâtiment de 25 000 m2 devraient démarrer à la fin de l’année. Pour une ouverture prévue en 2021."
« Nous allons entrer dans une phase de définition des agencements de chaque service, de chaque pièce », a précisé le directeur.
La future clinique sera dotée de 214 lits et places, laissant envisager un potentiel de 28 et 30 000 séjours par an. Une équipe de 370 salariés et avec 80 médecins libéraux assurera son fonctionnement.
Les spécialités actuelles y seront pratiquées : « Nous sommes les seuls sur le territoire du Finistère sud à pratiquer la chirurgie thoracique et vasculaire », a rappelé Anthony Monnier.
Attenante à la nouvelle clinique et reliée par une passerelle, une maison médicale sera également créée pour accueillir les consultations des médecins opérant à la clinique."

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Suite aux inondations touchant la région francilienne et en prévision des niveaux attendus en fin de semaine et qui pourraient être comparables à ceux de juin 2016, les équipes de l’Assistance Publique - Hôpitaux de Paris sont mobilisées et vigilantes. La situation est actuellement sous contrôle pour l’ensemble des 39 hôpitaux de l’AP-HP.
Les établissements de l’AP-HP n’ont pas été impactés lors de la crue de 2016. Pour autant, l’hôpital européen Georges Pompidou, l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, l’hôpital de la Roche Guyon et l’Agence générale des équipements et produits de santé (AGEPS) pourraient être impactés si la montée des eaux devait se poursuivre.
Pour ces sites, les équipes sont d’ores et déjà mobilisées et réalisent des relevés visuels bi-quotidiens sur des points sensibles, depuis plusieurs jours.
Un recensement du matériel a eu lieu site par site et notamment les pompes, radiateurs électriques, ainsi que les protections physiques tels que batardeaux, ciment, briques….
Des groupes électrogènes et des pompes ont été pré-positionnés sur les sites les plus sensibles.
L’AP-HP échange régulièrement avec la Cellule veille et alerte de l’Agence régionale de santé Île-de-France ainsi qu’avec les opérateurs de chauffage urbain, eau et électricité notamment.
En lien étroit avec l’ARS Île-de-France, l’AP-HP se tient le cas échéant prête à accueillir les patients d’autres établissements qui nécessiteraient d’être évacués.
Par ailleurs, l’AP-HP s’entraîne régulièrement pour faire face à ce type d’intempéries et a notamment participé en mars 2016 à l’exercice de gestion de crise de grande ampleur Sequana, qui avait permis de simuler une crue majeure en Île-de-France.
La crue en cours n’a à ce jour pas d’incidence sur l’organisation de l’offre hospitalière de l’AP – HP.

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A l'occasion de ses voeux au personnel du Centre hospitalier Universitaire de NIce, Mr Christian Estrosi, a annoncé avoir reçu confirmation par le ministère de la Santé et l’agence régionale de santé du montant total des aides de l’État pour garantir et sécuriser la construction de Pasteur 2 , à hauteur de 257 millions pour les deux tranches.
"Cette deuxième tranche prévoit l’édification d’un pôle cardio-thoracique. Les locaux, construits à l’arrière des bâtiments existants, devraient être livrés fin 2021 et coûter 101 millions d’euros. « Les services de chirurgie vasculaire, chirurgie thoracique, cardiologie et pneumologie seront intégrés dans un ensemble cohérent et doté de tous les perfectionnements technologiques et médicaux qui vont considérablement améliorer la prise en charge des malades. Nous allons pouvoir terminer l’hôpital du XXIe siècle. C’est un jour historique », s’est réjoui le maire" selon nice-matin.
10 ans de retard se sont accumulés depuis 2008, période à laquelle le chantier de Pasteur 2 accusait un déficit de 57 millions d’euros, comblés par une une aide exceptionnelle de 60 millions d’euros accordée par la Minsitre d'alors, Roselyne Bachelot.
Cette annonce " vient enfin assurer le bouclage de la totalité de la construction de Pasteur 2. Le nouveau bâtiment accueillera 165 lits d’hospitalisation, 40 places en ambulatoires, 9 blocs opératoires, un caisson hyperbare moderne, le tout sur 23 000 m2. Ce qui portera l’ensemble de Pasteur 2 à 575 lits d’hospitalisation, 120 places ambulatoires, 27 blocs opératoires, sur 93 000 m2 pour un coût total de 518 millions."

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Ainsi que nous vous l'annoncions dans notre actu du 12/12/2017 : une opération « portes ouvertes » de son Nouveau Bâtiment Néonat’, sur le site de l'Hôpital Bretonneau, a précédé l'ouverture prévue en janvier 2018
Le déménagement des équipes et des équipements a ainsi eu lieu le 16 janvier 2018. Le transfert des bébés qui étaient pris en charge sur ces journées en Néonatologie a été organisé, avec toutes les précautions nécessaires. Les parents ont également été accompagnés pour s’installer au mieux dans ce nouveau bâtiment. En images :
A 7h10, le premier transfert d’un nouveau-né pris en charge en réanimation néonatale :
La préparation, avant leur transfert, des nouveau-nés pris en charge en soins continus en néonatologie :
Les transferts des nouveau-nés en ambulances spécialisées :
L’arrivée d’un nouveau-né dans le nouveau bâtiment :

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Les Hôpitaux Universitaires de Strasbourg (HUS) annoncent ce 15/01/2018 la mise en service d’une salle de radiologie interventionnelle novatrice développée par la société Toshiba au sein du Pôle d’Imagerie dirigé par le Professeur Afshin Gangi. Cette salle est la 4ème en Europe combinant une salle d’angiographie de dernière génération, un scanner 4D mobile sur rails et un écran large. Elle permettra de nouvelles prises en charge inédites en Europe.
L’imagerie est indispensable au diagnostic de la plupart des affections médicales mais permet aussi d’assurer le guidage d’interventions médicales dans des conditions de précision et de sécurité optimales : il s’agit d’actes d’imagerie interventionnelle. Si deux tiers de ces actes sont à visée diagnostique, un tiers des actes d’imagerie interventionnelle concerne désormais les interventions à visée thérapeutique dans les domaines notamment vasculaire et du traitement percutané des cancers. Cette approche complémentaire de la chirurgie améliore de façon significative la qualité des soins et la performance des traitements.
Conscients dès la première heure de ces enjeux, les HUS ont largement encouragé l’essor de l’imagerie interventionnelle aux cours des dernières décennies, permettant le développement d’une expertise de renommée internationale en la matière. C’est pourquoi, dans la perspective de proposer des innovations toujours plus poussées pour les patients, mais également d’approfondir la recherche autour de nouvelles approches thérapeutiques, les HUS sont heureux d’annoncer l’acquisition d'une plateforme d’imagerie interventionnelle multimodale Infinix-i 4d ct Toshiba.
Cette salle de radiologie associe un système d’angiographie et un scanner de dernière génération mobile sur rails. Ces deux équipements sont capables de se reconnaître entre eux et de communiquer pour réaliser, par exemple, des images de fusion assurant une précision optimale aux gestes thérapeutiques guidés par l’image.
Elle permettra aux radiologues et chirurgiens d’améliorer considérablement la prise en charge du patient qui ne sera désormais anesthésié qu’une seule fois et de réaliser des phases de traitements combinés dans le même temps opératoire, là où deux examens distincts étaient nécessaires jusqu’alors.
La combinaison de ces deux modalités permettra également de développer la prise en charge de cas plus complexes, notamment à travers la 4D qui, grâce à l’imagerie dynamique, offrira de nouvelles perspectives thérapeutiques.
4ème équipement de ce type en Europe, son utilisation dans le cadre d’une prise en charge multiorganes (traitement de cancers de la prostate, du rein, du poumon, du foie...) combinée, au besoin, à la chirurgie n’existe, en revanche, nulle part ailleurs en Europe. On estime qu’en 2018 plus de 3.000 patients pourront bénéficier d’une prise en charge de pointe dans cette nouvelle salle des HUS.
L’acquisition de cet équipement novateur réaffirme la volonté des HUS de promouvoir l’innovation en santé pour tous.

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La première pierre du nouveau bâtiment du Centre Hospitalier Intercommunal de Poissy St Germain (CHIPS ) a été posée le 15 janvier 2018 à 14h30 sur le site hospitalier de Poissy (78) en présence de la ministre des Solidarités et de la Santé et de plusieurs autres personnalités.
Le professeur Jacqueline Selva, présidente de la commission médicale du CHIPS, commente : "Ce projet a pu aboutir grâce à la mobilisation de la communauté hospitalière, depuis l’adoption du projet d’établissement en 2013, autour d’un projet médical structurant entre ses deux sites de Poissy et de Saint-Germain-en-Laye, après l’abandon en 2011 d’un projet de site unique » .
Engagé dans une démarche rigoureuse de redressement financier, l’établissement a retrouvé en 2014, et pour la première fois de son histoire, une trajectoire financière lui permettant de nouveau d’investir dans des projets de grande envergure et de présenter au COPERMO (comité interministériel de la performance et de la modernisation de l’offre de soins hospitaliers) un projet de restructuration architecturale avec un nouveau bâtiment adossé au site de Poissy (lui-même inauguré en 1967) et des travaux de sécurité incendie pour les bâtiments existants. Intervenu en janvier 2016, l’octroi du financement par le ministère finalise le long processus de fusion engagé en 1997 entre les deux sites hospitaliers. Ce nouveau bâtiment contribue également à poser les fondations de la nouvelle organisation territoriale de l’offre de soins du Nord des Yvelines, dans le cadre du groupement hospitalier de territoire, en vigueur depuis le 1er juillet 2016, et dont le CHIPS est l’établissement support.
Les membres du directoire, les chefs de pôles et les chefs de services du CHIPS ont validé les plans du projet lauréat choisi à l’issue d’une procédure de conception-réalisation sécurisée par un assistant à maîtrise d’ouvrage et des cabinets d’avocats. En novembre 2016, le jury a désigné à l’unanimité, parmi 5 candidats, le groupement, piloté par Bouygues Bâtiment Ile-de-France, et composé de Groupe-6, Projex, Oteis, EODD, TEM Partners et Bouygues Energies et Services FM France. Le marché a été signé en mars 2017. Les travaux préparatoires ont débuté en septembre 2017.
Le bâtiment sera livré au printemps 2020 pour un coût global de 71,2 millions d’euros, financé pour moitié par le ministère des Solidarités et de la Santé et par l’agence régionale de santé d’Ile-de-France. L’autre moitié est financée par l’établissement. Cette construction s’accompagnera de la cession partielle du site hospitalier de Saint-Germain-en-Laye.
Ce projet de 19 000 mètres carrés est réalisé en site occupé et connecté au bâtiment existant à chaque étage.
Le bâtiment neuf intégrera les activités suivantes :
- urgences adultes et unité d’hospitalisation de très courte durée,
- maternité (plateau d’accouchement, urgences gynécologiques et obstétricales, suites de couche, grossesses à hauts risques, unité kangourou),
- médecine néonatale (réanimation, soins intensifs de néonatalogie et unité néonatale),
- soins critiques adultes (réanimation, unité de surveillance continue, unité de soins intensifs de cardiologie, unité de soins intensifs neurovasculaire),
- plateau d’endoscopies,
- centre d’assistance médicale à la procréation et de génétique,
- un plateau d’hospitalisation conventionnelle de 60 lits de médecine et de chirurgie.
Pour Sylvain Groseil, directeur du CHIPS, "ce programme immobilier permettra de moderniser les modes de prise en charge, d’amplifier le virage ambulatoire, d’assurer la mise aux normes de certaines activités sanitaires (urgences, réanimation/unité de soins continus, bloc obstétrical…) et d’améliorer les conditions hôtelières. "

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