Projet hospitalier

Ce 8 novembre 2016 débutait la reconstruction du bloc opératoire des Hôpitaux du Bassin de Thau, sur le site de l’Hôpital Saint-Clair de Sète.

Les travaux dureront 18 mois, pour une mise en service prévue en juin 2018. Ce projet, très attendu par les professionnels et les patients, est devenu réalité avec un marché de construction-réalisation confié au Groupement Bouygues et In-fine Architectes pour un montant de 6 millions d’euros toutes dépenses confondues. L’Agence Régionale de Santé d’Occitanie contribue en partie à son financement.

Le futur bloc comprendra sept salles d’intervention de dernière génération dont une dédiée aux actes d’endoscopie. Un box de réanimation pour les nouveau-nés sera adossé à une salle interventionnelle pour sécuriser la prise en charge des nouveau-nés.

Ces salles seront implantées au 1er étage du bâtiment principal, dans le respect d’une marche en avant tant pour les patients, que les professionnels intervenant au bloc opératoire. Une nouvelle salle de surveillance post-interventionnelle de 11 places complètera le dispositif.

Elle permettra le recours dans d’excellentes conditions aux techniques d’anesthésie locorégionales qui constituent pour certains patients et certains actes, une alternative intéressante à l’anesthésie générale. Le stockage des matériels sera assuré dans un arsenal équipé de stockeurs rotatifs pour améliorer les conditions de travail du personnel.

A noter que tous les locaux disposeront de lumière naturelle. La zone d’accès aux salles de bloc Les travaux préparatoires de libération des locaux existants débutent dès à présent, le chantier du bloc opératoire proprement dit interviendra en mai 2017.

Il s’inscrit dans un projet plus vaste de réaménagement des consultations externes d’algologie, anesthésiologie et chirurgie, de déplacement et d’agrandissement de l’unité de chirurgie ambulatoire à proximité immédiate du bloc, et de climatisation des chambres d’hospitalisation afin d’améliorer l’accueil, le confort et les conditions de prise en charge des patients.

A noter que tous les locaux disposeront de lumière naturelle. La zone d’accès aux salles de bloc Les travaux préparatoires de libération des locaux existants débutent dès à présent, le chantier du bloc opératoire proprement dit interviendra en mai 2017.

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La ville sainte de Touba verra sa carte sanitaire enrichie d’un nouvel établissement de niveau 3, au terme d’un chantier de trente-et-un (31) mois. Le président Macky Sall a procédé à la pose de la première pierre vendredi dernier en présence de nombreuses personnalités,dont la ministre de la santé, Awa Marie Coll Seck.

Le nouvel hôpital d’un coût de 40 milliards sera bâti sur un terrain de dix hectares. Il aura une capacité de 300 lits, extensible à 500 dans une seconde phase.

La ville de Touba est la deuxième ville du Sénégal, avec plus d’un million d’habitants. Le chef de l’Etat a évoqué l’épineuse question des évacuations sanitaires couteuses et parfois incertaines pour justifier la réalisation du nouvel hôpital de Touba de niveau 3 qui disposera de plusieurs spécialités médicales, avec un personnel hautement qualifié.

L’établissement sera doté d’un service d’urgences, de cardiologie, de traumatologie, d’oncologie, de radiologie et de laboratoires. Une maternité avec cinq salles d’accouchement complètera l’offre de prise en charge.

Le programme de réalisation d’infrastructures hospitalières devrait se poursuivre avec les projets prévus à Kaffrine, Sédhiou et Kédougou.

Le Président a aussi annoncé d’autres actions susceptibles d’améliorer l’offre de soins « il est prévu entre 2016 et 2017 l’ouverture de 13 nouveaux centres de dialyse. Et en 2018 trois autres centres et un centre de référence de transplantation à l’hôpital de Fann ».

Au centre hospitalier Pierre-Dézarnaulds, à Gien, le bâtiment abritant l’unité « Lagarde », qui date des années 1970, se dégradait depuis longtemps. La directrice, a expliqué qu’il faut en passer par la démolition, car « la structure pose des problèmes de sécurité, et n’est pas viable, à terme ». Ce bâtiment sera donc refait à neuf afin d’accueillir une des unités de la maison de retraite.

Trois groupements d’architectes ont été retenus pour proposer un projet. Leurs offres sont attendues pour le 20 décembre. Le planning prévoit :

• Le processus de sélection et le dépôt du permis de construire en janvier 2017,
• Début des travaux de réhabilitation du nouveau bâtiment mi-2017,
• Mise en service prévue pour la fin de l’année 2018.

Le financement de l’opération comprend entre autres, un million d’euros octroyés par l’Etat, et une subvention d’investissement de 914.000 € par le Département.

Selon Marie Dunyach, directrice de l’hôpital, « Le projet médical a été repensé car les besoins des résidents, de plus en plus âgés et fragiles, évoluent. »

Ainsi, la nouvelle infrastructure, d’une capacité de 80 lits, proposera uniquement des chambres individuelles. Les patients y seront répartis entre l’étage et le rez-de-chaussée selon leur degré de dépendance. Un jardin thérapeutique viendra agrémenter leur séjour.

Le nouveau bâtiment – (citation) : « répond aux besoins de prise en charge des personnes atteintes de maladies neurodégénératives. Ainsi, un espace sécurisé, permettant l’accueil d’une Unité d’hébergement renforcé, de quatorze places, sera créé. Le Pôle d’activités et de soins adaptés, un accueil de jour destiné aux malades d’Alzheimer, qui existe déjà, déménagera lui aussi dans ce local.

Côté personnel, Marie Dunyach estime qu’il y aurait besoin de quatre effectifs supplémentaires.

Après cet important chantier, d’autres devraient suivre dans les bâtiments abritant les unités « La Roseraie » et « La Vigne ». « Leur réhabilitation date de 1995, il y aura donc un décalage avec le nouveau bâtiment, souligne la directrice de l’hôpital. Mais il ne s’agira pas de travaux d’ampleur ». » extrait de l’article source.

Onze mois après la fusion de l’hôpital de Montmorillon avec le CHU, le directeur général Jean-Pierre Dewitte a confirmé la construction d’un bâtiment comprenant un nouveau bloc opératoire.

Celui devrait permettre d’enrichir l’offre de soins avec de l’urologie, de l’ophtalmologie et de la gynécologie.

Le planning prévu :

• la première phase de travaux début 2018, concernera les services de médecine, de chirurgie et le bloc opératoire.
• Puis interviendra la celle de la réhabilitation des urgences et des soins continus.
• Le chantier doit se terminer, en principe, fin 2020.

Cette opération bénéficie d’un budget de 20 millions d’euros. Pendant ces travaux, l’hôpital devra s’organiser pour maintenir son activité sur une surface réduite.

« Le service anticancéreux du Centre Hospitalo Universitaire (CHU) d’Oran sera opérationnel au 2ème trimestre de l’année 2017 », a annoncé Bouhadjar Benali, son directeur général, lors des *3èmes Journées internationales d’oncologie médicale ouvertes à Oran .

Ce service sera doté :

• de deux accélérateurs linéaires,
• en plus de deux services d’hospitalisation
• et d’un service de médecine nucléaire pour la lutte contre le cancer, une structure importante au niveau du service de radiothérapie.

Le service oncologie du CHU d’Oran sera renforcé par de nouveaux locaux pour l’activité oncologique, a-t-il ajouté à l’adresse de l’assistance formé de différents spécialistes intervenant dans la prise en charge du cancer du sein et de l’ovaire.

Les thèmes retenus lors de cette manifestation étaient le cancer du sein au stade précoce, le cancer de l’ovaire, le PNC (plan national de cancer) et les RCP( réunions de concertations pluridisciplinaires).

Le Professeur Messaoud Zitouni Coordonnateur National du plan cancer, a annoncé l’entame de l’organisation des services dans les zones pilotes dont Annaba et Bejaia, du dépistage du cancer du colon.

Le cancer du sein représente le premier cancer chez la femme en Algérie avec une incidence de 21,4 / 100 000.

*(du 25 au 27 novembre 2016)

Le Futur Pôle santé d’Orthez entre dans le concret, avec le démarrage du chantier de mise aux normes des blocs opératoires. En effet, depuis le 22 novembre dernier l’hôpital prépare le terrain pour accueillir la clinique Kapa dans ses murs.

Deux mois après la signature de la convention concrétisant la création du pôle de santé,

Selon larepubliquedespyrenees.fr,le le directeur du centre hospitalier, Frédéric Pigny : a indiqué que « Les entreprises sont toutes sélectionnées, le calendrier est arrêté. Le chantier devrait être terminé entre le 15 mars et le 1er avril« .

Estimé entre « 1,1M€ et 1,3M€ », ce chantier financé par l’Agence régionale de santé (ARS) vise principalement à rénover les cinq blocs opératoires du bâtiment médico-chirurgical. Réalisés en 2012 pour un investissement total d’environ 3M€, ces locaux alors déjà dédiés à l’accueil de la clinique ont depuis été rendus obsolètes par l’introduction de nouvelles normes sanitaires.

« Le montant de l’investissement peut paraître étonnant car les blocs ont été très peu utilisés. Mais les normes ont évolué. 90% de la somme sera consacrée aux blocs et à la mise en place de centrales de traitement d’air. Deux blocs sur cinq doivent être mis à cette norme. Nous devons également faire la mise en conformité de l’installation électrique », précise Frédéric Pigny. « Ces blocs nous permettront d’être attractif et de faire venir de nouveaux médecins »

A la livraison du chantier, la clinique aura un mois selon la convention du pôle de santé pour déménager dans ses nouveaux murs. Si le transfert n’est pas réalisé à l’issue de cette échéance, une pénalité de 500€ par jour de retard sera appliquée. Une fois dans les murs, la clinique devra enfin s’acquitter d’un loyer mensuel de 12 500€ pour bénéficier des blocs et des 24 chambres et locaux annexes qui lui sont attribués. » – fin de citation : source : larepubliquedespyrenees.fr

La ministre de la Santé, Samira Marai, a annoncé, le 30 novembre dernier lors d’une émission radio, que des investisseurs participant au Congrès International de l’Investissement « Tunisia 2020 », ont promis de financer des projets de construction de nouveaux hôpitaux régionaux dans le cadre du plan quinquennal 2016/2020.

Un accord tuniso-britannique concernant le financement de la construction de deux hôpitaux pluridisciplinaires à Gabès et à Béjà a déjà été signé au Palais des congrès à Tunis en marge des travaux de la conférence “Tunisia 2020”. Il a été conclu par le ministère de la santé et le groupe britannique International Hospitals Group “IHG”, sous l’oeil de la ministre de la santé Samira Merai et de l’ambassadeur du Royaume-Uni à Tunis, Hamish Cowell.

Par ailleurs, le ministère de la santé a annoncé avoir réussi à mobiliser :

• un financement d’un nouvel hôpital de pédiatrie sous forme de don qatari,
• un financement d’un CHU à Kairouan : don octroyé par l’Arabie saoudite,
• en plus de huit hôpitaux régionaux qui seront financés dans le cadre du mécanisme de conversion des dettes tunisiennes auprès de la France après parachèvement des négociations avec la partie française.

Un article du 09/12/2016 publié par le journal le-perche.fr nous renseigne sur le projet de reconstruction d’un nouvel EHPAD au centre hospitalier (CH) de Nogent-le-Rotrou.

Ce qu’il faut en retenir :

• La pose de la première est  prévue pour le premier semestre 2017
• Localisation : le nouvel EHPAD sera positionné entre le CH et l’EHPAD la Roseraie.
• Livraison des travaux en Août 2018
• Déménagement des résidents , début septembre 2018
• Superficie : le nouvel EHPAD s’étalera sur 4070 m2
• Construction annexe prévue : la pharmacie à usage interne (PUI), sur 449 m2
• Coût total TTC : 9 426 260 euros

La dotation totale de l’EHPAD sera de153 lits, dont un lit d’hébergement temporaire. A noter que 28 lits sont créés et dédiés aux patients déambulants et ceux avec une pathologie cognitive (type Alzheimer)

Pour les élus locaux, « « le projet était décisif pour l’offre de santé sur Nogent-le-Rotrou ». L’ancienne Charmille rejoignant le pôle médical, les conséquences sont positives : amélioration de l’hébergement des résidents, de la sécurité et des conditions de vie, équipements remis à neuf, amélioration des délais d’intervention du SMUR interne, logistique centralisée (linge, restauration, médicaments), moins de dépenses de transports, accès facilité des résidents aux consultations spécialisées, volonté de rompre l’isolement des personnes âgées… »

« Une opération attendue par la population nogentaise qui répond à un réel besoin, souligne le directeur. Il y a peu de structures sur le territoire qui soient adaptées ». Aujourd’hui, il se permet même de déclarer qu’il « n’y a pas d’équivalent ailleurs ».

L’opération comprend également la création d’un nouveau parking de 40 places, un nouvel accès par l’Avenue de l’Europe, et une galerie de liaison entre le sanitaire et le médico-social.

Les résidents du nouvel EHPAD bénéficieront de lieux de vie spécifiques tels qu’un jardin et une cuisine thérapeutique pour maintenir les facultés cognitives des résidents, d’une salle de kiné et d’ergothérapie.

Le Cabinet TLR Architecture est en charge de ce projet.

Laâyoune – Une cérémonie de pose de la première pierre pour la construction d’un hôpital provincial à Tarfaya a eu lieu, jeudi 8 décembre 2016, dans le cadre des festivités marquant la commémoration de l’anniversaire de la Marche Verte et de la fête de l’Indépendance.

Le budget consacré à cette nouvelle infrastructuire est de 90 millions de dirhams, financés par le ministère de la santé marocain.

Selon le directaur régional de la santé, Rochdi Kaddar, le nouvel hôpital occupera une superficie de 8000 m2 et aura une capacité d’accueil de 70 lits .

Les patients bénéficieront à sa livraison :

• de services de médecine générale,
• d’un bloc opératoire,
• d’une maternité,
• d’un service de pédiatrie
• d’un service de réanimation,
• d’un service d’urgence,
• d’un service de radiographie-échographie
• d’un laboratoire

(MAP)

NB :Tarfaya est une ville côtière d’environ 5000 habitants, de la région Laâyoune-Sakia El Hamra1, au sud du Maroc, à 890 km au sud-ouest de Rabat.

L’hôpital de Neufchateau connaît depuis 2010 des travaux de réhabilitation conséquents financièrement et structurellement :

• 2 millions d’euros consacrés au  remplacement de la centrale électrique
• 2 millions d’euros pour installation d’une centrale biomasse alimentée par des plaquettes de bois.
• 4,8 millions d’euros pour un système de désenfumage sur les 4 niveaux l’établissement
• 1,8 million d’euros nécessités pour le regroupement du service pédiatrie avec le pôle mère – enfants

Enfin pour la période 2016-2019, ce sont 11 millions d’euros qui sont réservés au financement des travaux de la première tranche, débutée il y a deux semaines avec l’installation sur un an des consultations externes dans l’ancien service pédiatrie, au rez-de-chaussée.

En 2018, cinq salles d’opération polyvalentes seront construites, ainsi qu’un service d’imagerie complet.

En 2019 ce sera au tour du service des urgences de subir une reconstruction /extension.

Les travaux se feront avec maintien de l’activité.

Selon Patrick Penven, directeur du CHOV* (centre hospitalier de l’ouest vosgien) « Les distances avec Nancy et Épinal justifient son intérêt dans l’offre de soins du secteur ».

Les opérations de construction de l’Ehpad du Val-de-Meuse et d’extension prochaine de l’hôpital Beau-Site à Vittel porteront les dépenses d’investissement à environ 50 millions d’euros.

*Le CHOV regroupe les hôpitaux de Neufchâteau et Vittel ainsi que les Ehpad du Val-de-Meuse (Neufchâteau) et du Petit-Ban (Vittel).