Projet hospitalier

Ce lundi 19/12/2016, le Roi Mohammed VI a procédé, à la ville nouvelle d’Errahma dans la Commune de Dar Bouaaza (Casablanca), au lancement des travaux de construction du «Centre médical de proximité – Fondation Mohammed V pour la Solidarité».

Ce projet est le troisième du genre après ceux en cours de réalisation aux quartiers Beni Makada à Tanger et Sidi Moumen à Casablanca.

Ce centre, qui sera érigé sur un terrain de 6.314 m² (4.210 m² couverts), fait partie intégrante d’un plan d’action mené par la Fondation Mohammed V pour la Solidarité et visant à soutenir le secteur médical national, à travers la mise en place d’une filière de soins de proximité accessibles aux populations, et l’intégration d’une approche sociale complémentaire dans les mécanismes d’accompagnement des patients et bénéficiaires.

D’un investissement global de 37 millions de dirhams, il bénéficiera à près de 60.000 personnes par an.

Structure intermédiaire entre les Centres de santé primaire et le Centre hospitalier provincial, le futur « Centre médical de proximité – Fondation Mohammed V pour la Solidarité » sera réalisé dans un délai de 24 mois et comportera des pôles de consultations médicales spécialisées et des maladies chroniques, de traumato-orthopédie, de soins bucco-dentaires et des urgences médicales de proximité.

Il comprendra également un pôle de santé «Mère-Enfant» complet, abritant :

• une unité d’accouchement,
• des services de gynécologie et obstétrique,
• de pédiatrie,
• de vaccination,
• de pédopsychiatrie
• et de chirurgie pédiatrique

Il sera en outre doté d’un pôle médico-technique (bloc opératoire et hospitalisation), d’une unité d’exploration endoscopique et radiologique et d’un laboratoire d’analyses médicales, et d’une pharmacie.

Le Centre médical de proximité – Fondation Mohammed V pour la Solidarité» d’Errahma est le fruit d’un partenariat entre la Fondation Mohammed V pour la Solidarité, le ministère de la Santé, le Conseil de la Région de Casablanca-Settat, et le Conseil provincial de Nouaceur.

Comme chaque début janvier, Hospihub a relevé sur le web ce qui s’est dit au cours de cette cérémonie traditionnelle dans quelques hôpitaux :

Á Epinal

À l’occasion des vœux du centre hospitalier Emile-Durkheim, l’administrateur provisoire, qui gère depuis octobre dernier les hôpitaux d’Épinal et Remiremont, a confirmé que sa mission prendrait fin en septembre.

D’ici là, Mathieu Rocher aura encore du pain sur la planche. Car les projets ne manquent pas. Bien entendu, le plus important, le plus attendu, reste l’édification du nouvel hôpital d’Épinal, qui devrait sortir de terre d’ici quelques mois. D’ici sa livraison, pas attendue avant 2020, les deux hôpitaux d’Épinal et Remiremont, désormais sous la coupe d’une direction commune depuis octobre dernier, vont continuer à mettre en place une nouvelle organisation par le biais de pôles médicaux interhospitaliers. Le directeur a également indiqué que le personnel allait devoir poursuivre le virage de « l’ambulatoire » entrepris ces derniers mois.(…) (Lire l’article complet sur vosgesmatin.fr )

Á Albi

C’était une première pour le nouveau directeur Serge Foursans qui en a profité pour présenter les grands dossiers pour 2017.
«L’hôpital reste sur une bonne dynamique. L’an dernier, nous avons réalisé +9 % d’admissions avec une majorité de séjours ambulatoires. Du coup, les recettes augmentent. À très court terme, notre budget sera en équilibre. Ce qui est toujours bon pour l’indépendance financière et la nécessité de moderniser les soins et l’accueil.»

Pêle-mêle, il rappelle «la qualité du travail effectué par l’ensemble des services, de l’oncologie en passant par la dermato, la cardio, les urgences.» Les urgences parlons-en. «D’importants travaux sont actés pour moderniser la structure et intégrer les urgences psychiatriques.»

Et 2017 ? Serge Foursans rappelle que «l’hôpital va recevoir deux Gamma caméra, un futur IRM spécialisé dans l’ostéo-articulaire.» Il annonce la création pour cette année d’une maison médicale de garde, un nouveau plateau des consultations, plus simple pour les patients, mais aussi des projets public-privé avec l’UMT sur la rééducation fonctionnelle. Enfin, il montre du doigt un «fort absentéisme du personnel, qui impose la création d’un pôle de remplaçants.» Enfin, il admet «qu’aujourd’hui on y voit plus clair avec la finalisation du groupement hospitalier de territoire». (…)(Lire l’article complet sur ladepeche.fr).

Á Chateau-Gonthier

« Après une année 2016 bien remplie, l’hôpital du Haut-Anjou a encore des projets à lancer en 2017. Ils ont été évoqués par le directeur Patrick Plassais, lors de la cérémonie des vœux.

Après un rappel des projets qui ont vu le jour en 2016 (arrivée de l’IRM, inauguration du Pôle santé de Segré, de l’Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes des Marronniers à Château-Gontier, mise en place de la télémédecine, etc.), le directeur a évoqué les projets, qui seront mis en place cette année. « Le déploiement du GHT (groupement hospitalier de territoire) va se poursuivre intensément. Nous avons l’obligation d’élaborer un projet médical partagé et de le communiquer à l’Agence régionale de santé (ARS) au plus tard pour samedi 1er juillet », a annoncé le directeur.

Pour 2017, « Une étude de programmation est déjà lancée pour restructurer et agrandir notre service des urgences, créer un restaurant du personnel et des vestiaires centraux. Et construire une nouvelle chambre mortuaire, car les locaux actuels ne sont pas conformes »,(…) » (Lire l’article complet sur ouest-france.fr).

Á Abbeville

… »Souvent évoquée, jamais confirmée, la modernisation de l’hôpital a finalement été présentée lors de la cérémonie de départ en retraite du directeur du C.H. Hervé Ducroquet.

Massés dans le self de l’hôpital pour assister aux derniers vœux du directeur, les agents, officiels et élus ont pu découvrir en avant-première les projections permettant de découvrir le futur hôpital après les lourds travaux prévus. Des plans présentés par les architectes en charge du projet, Olivier Cubizolles (A3 Architectes Urbanistes Designers) et Christian Jadot (Art & Build).

Une première tranche de 30 millions d’euros comme l’a annoncé Hervé Ducroquet, » …comprendra les urgences, le bloc opératoire, le bloc obstétrical, la maternité, la pédiatrie et néonatologie, la réanimation, la surveillance continue et l’unité de soins intensifs cardiologiques ainsi que l’hélistation. » Une tranche dont les travaux devraient débuter en 2018 pour être livrée vers 2021. … » (Lire l’article complet sur lejournaldabbeville.fr).

Á Amiens

« Les années 2015 et 2016 avaient déjà été particulièrement difficiles pour les personnels du centre hospitalier (psychiatrique) Pinel engagé depuis fin 2015 dans un plan de retour à l’équilibre financier. L’année 2017 ne sera pas moins morose à en croire le directeur Elio Melis qui présentait ce lundi après-midi ses premiers vœux aux personnels de l’établissement après sa nomination en juin dernier. (…)

« La restructuration est nécessaire, la transformation inévitable », a assuré Elio Melis alors que l’hôpital Pinel finalise actuellement l’élaboration de son nouveau projet d’établissement. Il doit s’écrire en lien avec l’Agence régionale de santé et le Groupement hospitalier de territoire (GHT) Somme littoral Sud qu’il a intégré en juin dernier. (…)

Malgré le contexte morose, l’hôpital Pinel veut continuer d’étoffer son offre de soins sur le territoire. Parmi ses projets : l’ouverture d’une unité de soins, avec une capacité d’une dizaine de lits, pour les enfants âgés de 5 à 12 ans. Le dossier devrait être déposé dans le courant du mois de janvier à l’Agence régionale de santé chargée de l’examiner et de le valider. (Lire l’article complet sur courrier-picard.fr).

Á Riom

(…) « Selon Régis Thual,le directeur de l’hôpital de Riom, les projets de l’EHPAD et des Urgences restent deux priorités majeures. « Pour l’EHPAD, on a lancé une consultation pour étudier la meilleure formule en matière de construction. Un accord doit être trouvé avant les échéances électorales. Une grue devrait apparaître sur le terrain en 2018, suivie de 18 mois de construction. Les études concernant les Urgences ont été lancées, et le chantier devrait attaquer en juillet 2018 pour s’achever en 2019 ». (…)

« L’année 2017 sera celle de la réorganisation de l’offre de soins. Nous allons optimiser les services en en déplaçant la chirurgie à côté du bloc opératoire (sur le même étage), et en rassemblant les services de médecine polyvalente.

Nous avons prévu de réaménager l’Unité hospitalière de courte durée, en augmentant le nombre de lits, et ouvrir un hôpital de jour en médecine et gériatrie à la fin de l’année.

Parallèlement, le bloc opératoire va faire l’objet de travaux de mise aux normes.

Et tout notre système informatique va muter en collaboration avec le CHRU de Clermont-Ferrand. Un seul système informatique permettra une gestion optimisée des dossiers sur les deux sites. » (Lire l‘article complet sur lamontagne.fr).

Á Quimperlé

Le Centre Hospitalier poursuit « son développement en se rapprochant des autres centres de notre territoire, par la création d’un Groupement Hospitalier de Territoire (GHT), processus qui relève d’une obligation prévue par la loi. (…) ainsi, « décision a été prise de nous engager dans un processus de fusion de nos établissements de Quimperlé, de Lorient, de Port-Louis et du Faouët et de coopérer encore plus fortement avec Charcot à Caudan « .

(…) conscients que Quimperlé n’échappe pas à la désertification médicale, nous avons évoqué notre projet de Maison de santé, sur l’îlot Saint-Yves (secteur de la rue de Pont-Aven) ». (lire l’article complet sur ouest-france.fr).

Á Mont-Saint-Aignan : des voeux à venir le 27 janvier 2017

« La construction du plateau technique du centre hospitalier du Belvédère, à Mont-Saint-Aignan, n’aura nécessité que neuf mois de gestation pour être construit. Le 27 janvier, à l’occasion des vœux, la directrice Roselyne Bôquet inaugurera symboliquement les nouveaux locaux situés au cœur de l’établissement avec une ouverture programmée le 30 janvier.

Dans ce nouveau bâtiment vont être déménagées les activités obstétricales et chirurgicales actuellement installées dans la chapelle. Le bloc obstétrical comprendra un secteur des urgences gynécologiques et obstétricales, avec trois cabinets d’examen équipés d’un échographe et de deux salles de monitorage. Huit chambres de détente individuelles et huit salles de naissance seront proposées aux futures mamans. Le bloc opératoire sera composé de quatre salles et d’une zone de surveillance post-interventionnelle.(…)

La directrice indique qu’ « Un plan de retour à l’équilibre a été signé en 2015 avec l’Agence régionale de santé. En 2016, nous avons réduit nos dépenses, mais avec la baisse d’activité, cela n’a pas suffi. » Elle espère « revenir à l’équilibre grâce à l’ouverture du plateau technique qui sera le principal levier à de nouvelles recettes ». La restructuration se poursuivra jusqu’à mai 2017 avec la rénovation de l’accueil et des chambres de l’établissement. Parmi les projets : développer l’ambulatoire, l’hôpital de jour, en tenant compte de l’évolution des besoins et rénover des chambres. (Lire l‘article complet sur paris-normandie.fr).

Á Luçon

« Dernière cérémonie des vœux, hier, pour Emmanuelle Michaud-Combes, directrice du site de Luçon du CHD Vendée. Après trois ans et demi, elle part pour Albi. Son successeur sera bientôt connu.(…)

Après l’arrivée du Dr Doizon en médecine générale, en novembre, deux nouveaux praticiens doivent arriver à Luçon en 2017. Pour la directrice, le site de Luçon est bien un site à part entière, avec un large panel de consultations sans avoir à se déplacer, grâce à la présence des médecins spécialistes de La Roche qui viennent travailler à Luçon. 2017 sera l’année des propositions architecturales pour la restructuration du plateau de consultations, avant la réalisation des travaux en 2018. » (Lire l’article complet sur ouest-france.fr ).

Des voeux, des médaillés, des départs en retraite, des sourires, mais pas que …! la cérémonie des voeux a été aussi comme chaque année, l’occasion d’exprimer des revendications…

Á Montargis par exemple,

Dominique Paré a mis autant de soin à rendre hommage aux forces vives de l’hôpital de l’agglo (médecins, agents, usagers et, une fois n’est pas coutume, syndicats) qu’à fustiger l’établissement orléanais, qualifié d’« armée de robots » et même de « nécropole » : « On a parlé d’un chantier titanesque. J’espère que l’hôpital d’Orléans ne finira pas comme le Titanic. » (…)

Encore un peu surpris du coup de sang de Dominique Paré, Jean-Pierre Door, le président de l’agglo, a tenu à « rester quand même optimiste », mettant l’accent sur le futur projet médical du GHT, sur lequel le CHAM doit avoir son mot à dire : « On a obtenu qu’il soit reconnu « pôle de référence », c’est inscrit noir sur blanc. » (Lire l’article complet sur larep.fr).

Cette première sélection de voeux annonce quelques projets à suivre pour les prestataires et fournisseurs du secteur hospitalier en particulier, et pour tous ceux qui travaillent POUR, AVEC ou Á l’hôpital.

Continuez à nous suivre hospihub.com en 2017 pour l’Actualité des projets hospitaliers !

Le gouvernement sénégalais compte construire 4 nouveaux hôpitaux en 2017, à Touba, Kaffrine, Sédhiou et Kédougou, a annoncé le chef de l’Etat, Macky Sall, samedi, dans son message à l’occasion du nouvel an.

« Dans le domaine de la santé et de l’action sociale, nos efforts porteront en 2017 sur la construction de 4 nouveaux hôpitaux, à Touba, Kaffrine, Sédhiou et Kédougou », a-t-il indiqué.

Macky Sall a également annoncé « l’acquisition de 195 ambulances médicalisées » et « le renforcement du système d’approvisionnement en médicaments grâce à l’initiative « Yeksinaa », qui facilitera la distribution de médicaments et produits essentiels aux zones isolées ».

Il est par ailleurs prévu « le recrutement de 1 000 agents dans le secteur de la santé », a indiqué le président de la République.

CP du Ministère

Comme chaque début d’année, Hospihub a relevé sur le web ce qui s’est dit au cours de cette cérémonie traditionnelle dans quelques hôpitaux. Après celle du 10 janvier, voici la seconde sélection :

Hôpital d’Yvetot

Michelle Mochalski, la directrice d’Asselin-Hédelin, a présenté ses vœux, jeudi dernier, et détaillé les projets 2017.

Le futur Pôle de Santé de territoire, concept inédit en France, va prendre forme. Pour preuve, le chantier de la clinique ambulatoire avance à grand pas. Les bâtiments sont sortis de terre.

Ils seront bientôt complétés par un plateau d’imagerie médicale et une maison de santé pluridisciplinaire, créée par des médecins libéraux, réunis en une SCI (société civile immobilière). Parallèlement, la municipalité va achever l’aménagement des parkings et l’enfouissement des réseaux le long de la D6015, le tout pour 1,5 million d’euros.

Ultérieurement, une clinique de réhabilitation psychosociale verra le jour, tout comme une permanence des soins. (Lire l’article complet sur paris-normandie.fr ).

Centre Hospitalier du Pays d’Olmes

Jean-Marc Viguier, directeur de la communauté hospitalière CHIVA-CHPO, a présenté ses vœux aux personnels du CHPO, dressé un bilan de 2016 et donné des détaisl pour les projets de 2017.

Evoquant rapidement la problémantique des GHT, il a mis en avant la réalisation de l’équipement informatique autour du dossier du patient, «un considérable atout à privilégier pour l’avenir».

Un moment très attendu, la construction du nouvel hôpital, «un projet qui porte un nom digne d’un roman d’espionnage, CHPO 2, peut-être faudra-t-il lui donner un nom qui corresponde à l’ambiance de nos vallées», proposait Jean-Marc Viguier, sourire en coin.

«La phase du projet CHPO 2 est passée. Aujourd’hui, toutes les conditions sont réunies pour sa réalisation grâce à des partenaires qui se sont retroussé les manches, le plan de financement tient la route, les derniers points ont été résolus entre Noël et le jour de l’An, assurait Jean-Marc Viguier. Désormais, l’énergie déployée à lancer le projet doit se porter sur sa réalisation.»

Le directeur a rassuré sur les activités du nouvel hôpital. «…les activités ne manqueront pas, avec les soins de court séjour, centre d’urgences, centre périnatal de proximité, etc.

L’établissement aura son directeur, sa communauté médicale, un esprit, une identité forte et pas seulement par son nom, il restera à renforcer le lien, passer de la coopération à la complicité, un lien plus fraternel.» (Lire l’article complet sur ladepeche.fr).

Centre hospitalier de Bagnols

Cette année, il y a de la moquette au sol et de la peinture aux murs : la nouvelle salle de conférences du centre hospitalier de Bagnols, achevée courant 2016, a accueilli jeudi pour la deuxième année consécutive la cérémonie de voeux de l’établissement.

Une salle comme un symbole de l’année écoulée, « une grande année de réalisations », dixit le directeur Philippe Péridont.

Il faut dire que le centre hospitalier de Bagnols a pas mal changé en peu de temps, avec la mise en service de son nouveau plateau technique, avec nouveau hall d’accueil, nouvelle stérilisation et nouveau bloc opératoire, et regroupement des activités de chirurgie de l’hôpital et de la clinique, le tout pour 14 millions d’euros d’investissement. « Nous avons un centre hospitalier moderne, et même ultramoderne pour certains services, c’est un atout majeur pour le Gard rhodanien », estime le directeur avant évoquer d’autres réalisations de 2016, comme le changement de scanner ou encore la construction d’un nouvel internat.

Concernant 2017, Philippe Péridont a évoqué un début d’année « dans le prolongement » de 2016, avec l’arrivée des opérateurs de la clinique dans le nouveau bloc la semaine dernière, ou encore l’attente « sans réserve » des résultats de la certification.

Par ailleurs, le directeur a annoncé « la mise en place d’un second scanner » au plateau technique, la participation de son établissement au Projet médical et au projet de soins du nouveau Groupement hospitalier de territoire du Gard, avant de finir par les travaux à venir. « La reconfiguration des locaux va se poursuivre avec l’installation sur le bâtiment Urbain-Richard du service informatique, du service biomédical, des assistantes sociales permettant le démarrage des travaux des niveaux 2 et 3 du bâtiment principal pour reconfigurer les activités de consultations et d’explorations fonctionnelles des services de médecine », a ainsi présenté le directeur, avant d’évoquer la dernière phase des travaux du plateau technique qui sera livrée début 2018. (Lire l’article complet sur objectifgard.com).

Centre hospitalier de Blois

Affichant une croissance de son activité de 4 %, le centre hospitalier de Blois se lance dans un chantier d’envergure : celui d’une réhabilitation entière.

A l’heure de présenter ses vœux, Olivier Servaire-Lorenzet, directeur du centre hospitalier de Blois, s’est félicité d’afficher un excédent pour le budget principal, « ce qui est particulièrement exceptionnel aujourd’hui dans un contexte économique très contraint ». Le chef d’établissement a souligné que l’équilibre comptable n’était pas sa seule priorité. « Je voudrais avoir une pensée particulière pour nos équipes des urgences qui ont vu ces derniers mois leurs conditions d’exercice se dégrader. Nous avons une réflexion à mener pour améliorer la qualité de vie au travail de tous ces personnels exposés à une activité continue non programmée. »

Regroupement. L’année 2016 a été marquée par la naissance du groupement hospitalier de territoire (GHT). Il comprend les sept hôpitaux publics du département.

(…)
Rénovation intégrale. L’hôpital est jugé vétuste et en manque de fonctionnalité dans son ensemble médecine-chirurgie-obstétrique. Un audit a démontré la nécessité de rénover entièrement l’établissement pour améliorer la prise en charge des patients et les conditions de travail du personnel. « Au cours du premier semestre 2017, un schéma directeur immobilier et urbain sera élaboré pour que notre hôpital continue de jouer son rôle de référence dans l’offre de soins. Ensuite, notre objectif sera d’engager un dialogue de gestion avec l’ARS pour réfléchir au plan de financement d’une opération de près de 100 millions d’euros », déclare le directeur. (Lire l’article complet sur lanouvellerepublique.fr).

Hôpital d’Auxerre

Pascal Gouin, directeur du centre hospitalier d’Auxerre, a présenté ses vœux pour 2017, hier après-midi. « Nous sommes un hôpital en difficulté », a-t-il notamment déclaré face au personnel.

Selon lui, les motifs d’inquiétude sont nombreux. « L’exercice 2016 sera déficitaire, a-t-il annoncé. D’environ 1,5 M€ sur un budget de 156 M€. » Même si les chiffres n’ont pas encore été finalisés.

Concernant le nouveau grand chantier en vue à l’hôpital (une nouvelle aile pour accueillir les services de cardiologie, d’hémodialyse et de néphrologie), qui devait initialement démarrer début 2017, « il ne se lancera qu’en fin d’année, avec une vingtaine de mois de travaux, comme nous l’avions annoncé », indique Pascal Gouin.

(…)

Mais surtout, le directeur de l’hôpital d’Auxerre a plaidé pour le regroupement des forces. L’union sacrée de tous les hôpitaux icaunais. Il regrette que deux groupements hospitaliers de territoires (GHT), plutôt qu’un, aient été créés dans l’Yonne. (Lire l’article complet sur lyonne.fr).

Hôpital de Montauban

« Si tout va bien, l’Agence Régionale de Santé (ARS) pourrait être en mesure d’avaliser l’opportunité et la faisabilité d’un nouvel hôpital à Montauban avant l’été, a confirmé aujourd’hui le directeur de l’hôpital de Montauban, à l’occasion de la traditionnelle cérémonie des voeux.

Resterait ensuite à Bercy à débloquer les fonds… Environ 200 millions. Cela pourrait être fait avant la fin de l’année. Ce projet pourrait alors aboutir d’ici 3 ou 4 ans.

(…)« Dès cette semaine, un dossier technique, financier et structurel sera soumis à l’ARS », assura le docteur Mardegan, le patron des urgences. (Lire l’article complet sur ladepeche.fr)

Lire ou relire l’article Hospihub :

FRANCE | UNE ÉTUDE EN COURS POUR CONSTRUIRE LE NOUVEL HÔPITAL DE MONTAUBAN

Réaffirmation de la construction prochaine d’un hôpital à Thala. Les travaux de construction d’un hôpital régional catégorie B, à Thala, devront démarrer mi-2017, a indiqué le directeur régional de la santé, Abdelghani Chaabani lors d’un point presse le 11/01/2017.

Le projet est actuellement au stade de l’appel d’offres pour l’élaboration des études, jeudi dernier délai des candidatures . (NB Hospihub : initialement prévu au 12/12/2016).

Programmé en 2012, le projet a été retardé pour des problèmes fonciers. Les travaux devront se poursuivre durant deux ans moyennant 30 millions de dinars et 5 MD pour les équipements. Il devra comprendre des services de chirurgie générale, génécologie-obstétrique, médecine interne, radiologie, médecine dentaire, service d’urgence et consultations externes.

Lire aussi notre article HOSPIHUB :

Tunisie | Lancement d’un appel d’offres architecturales : projet d’un hôpital à Thala

A Gafsa, l’hôpital local de Sned évolue

« Le cout de transformation de l’hôpital local de Sned (gouvernorat de Gafsa) en hôpital régional catégorie “B” est estimé à 4,1 MD, a indiqué Néji Laabidi, responsable à la direction régionale de la santé.

Les travaux, qui ont démarré début janvier courant et se poursuivront sur une période de 18 mois, portent notamment sur la construction des services d’urgence, de pédiatrie et de gynécologie-obstétrique ainsi que l’aménagement de deux blocs opératoires, d’une salle de chirurgie, d’un magasin et d’une cuisine, a-t-il ajouté.

Grâce à ces travaux, la superficie totale du nouvel hôpital sera portée à 1800 m2, a souligné la même source au correspondant de la TAP.

Il a également rappelé que les travaux d’extension et d’équipement du centre de santé de base de Zannouch (environ 500 mille dinars) se sont achevés alors que ceux relatifs au centre d’El Ksar (600 mille dinars) se sont presque terminés. » Article source

L’opération Dupuytren 2 est l’une des étapes importantes du projet de modernisation que le CHU de Limoges attendait depuis longtemps. La première pierre a été posée le 20 janvier dernier.

Le futur bâtiment « Dupuytren 2 », sera édifié sur 26 000 m2, et abritera d’ici deux ans de nombreux services :

• la cardiologie,
• la chirurgie cardiaque,
• la chirurgie thoracique et vasculaire,
• les pathologies respiratoires,
• la néphrologie (dialyse, transplantation),
• les maladies infectieuses et tropicales,
• la dermatologie,
• la médecine interne et la polyclinique,
• la médecine endocrinienne et métabolique,
• la rhumatologie.

Bénéficiant d’un hall d’accueil dédié, Dupuytren 2 sera un hôpital à part entière, relié à Dupuytren 1 par une passerelle de cent mètres de long.

Les patients et le personnel y apprécieront alors un niveau de confort supérieur, puisque » 80 % des chambres seront individuelles et toutes équipées de leurs propres sanitaires et douches », et d’un éclairage naturel, venu des patios.

Doté de 340 lits et places, Dupuytren 2 disposera d’un plateau au rez-de-chaussée exclusivement dédié aux consultations de l’ensemble des services présents dans les étages.

La rénovation et la mise en conformité de Dupuytren 1 pourront commencer à la livraison de Dupuytren 2 : 25 000 m2 seront alors à réhabiliter.

Côté budget et financement, l’opération coûtera plus de 500 millions d’euros pour le montant global des travaux, incluant la réhabilitation du bâtiment historique. Un financement de 50 millions d’euros est accordé par l’Etat.

Selon le directeur des constructions et du patrimoine du CHU, Abdelaali Gaidi, le gros œuvre doit être terminé dans un an et le bâtiment de 26.000 m2, certifié HQE (haute qualité environnementale), sera livré au troisième trimestre 2018.

Comme chaque début d’année, Hospihub a relevé sur le web ce qui s’est dit au cours de cette cérémonie traditionnelle dans quelques hôpitaux. Après celles du 10 et du 17 janvier, voici la troisième sélection :

Centre hospitalier Henri Dunant

« Ouvertures et chantiers marqueront 2017, à l’hôpital Henri-Dunant, qui compte 280 salariés.

L’ouverture d’une Unité d’hébergement renforcée (UHR) : Cette ouverture de quatorze lits, en mars, qui complétera l’offre de soins en direction des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, a été saluée par l’ensemble des intervenants lors de la cérémonie des vœux, vendredi.Les travaux sont programmés en février.

2017 coïncidera avec plusieurs chantiers. L’hôpital disposera d’ici la fin de l’année d’un réseau d’eau entièrement rénové, pour 1,2 million d’euros. Le CH s’attachera aussi à réhabiliter les façades des bâtiments et la cuisine, « afin de répondre aux dernières normes et standards », a précisé le directeur.

Après les fresques réalisées par Bruno Vialatte grâce au financement de l’association Nièvre Alzheimer, la fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France, l’association de prévoyance santé Allianz, l’hôpital souhaite, cette année, rénover le hall d’accueil du Val de Loire, participer à l’expérimentation des Ehpad du futur lancée par le Département.

Et enfin, « engager les études pour une réhabilitation de grande ampleur des Ehpad » ».

Lire l’article complet sur lejdc.fr

Hôpital de Lisieux

« La rénovation des urgences adultes de l’hôpital de Lisieux (Calvados) pourrait démarrer en 2017. Le service a doublé son activité en 15 ans (30 000 passages par an).
Urgences adultes : début du chantier en 2017
Le dossier a été érigé en priorité. L’hôpital de Lisieux (Calvados) va engager des travaux pour redimensionner les urgences adultes. Le service a vu son activité doubler en 15 ans en passant de 15 000 à 30 000 passages par an, mais les murs, eux, sont restés en l’état.

« Cette augmentation de l’activité est notamment due au manque de médecins libéraux. Nous rencontrons trois problèmes : des locaux vétustes, un nombre insuffisant de places d’hospitalisation de courte durée ou de lits de repli et une difficulté à faire accéder les patients aux services d’hospitalisation » indique le directeur de l’hôpital, Eric Graindorge.

Le chantier pourrait démarrer dans le courant de l’année mais le directeur n’a pas donné de date précise.

Des travaux dans l’ensemble de l’hôpital

Au delà des urgences adultes, le directeur souhaite engager des travaux dans l’ensemble de l’hôpital.

« Il va falloir entreprendre des travaux sur le tripode du neuvième étage afin de refaire progressivement l’ensemble des services » annonce-t-il.

Le projet, ambitieux mais coûteux, s’étalera sur plusieurs années. « Mais nous ne pouvons plus faire une médecine et une chirurgie du 21ème siècle dans des locaux de plus de 50 ans ». (…)

Lire l’article complet sur lepaysdauge.fr

Centre hospitalier de Saint-Brieuc

Une année pleine de projets pour l’hôpital
Lors de la cérémonie des vœux au personnel de l’hôpital, mardi soir, le directeur Jean Schmid a évoqué les projets de construction, le télétravail, et la suppression d’une dizaine de lits.

« Nous allons lancer la construction de notre nouveau bâtiment dédié aux activités ambulatoires », explique-t-il. (…)

Le bâtiment sera bâti sur trois niveaux, « devant l’entrée principale actuelle ». L’architecte sera choisi au mois de juin. Le directeur espère une ouverture d’ici quatre ans. Il remplace le projet de la « cinquième aile », évoqué depuis 2005 et reporté à de nombreuses reprises.

Autres projets en cours cette année, la résidence des Embruns doit être reconstruite au centre gériatrique des Capucins, et un nouveau bâtiment de l’IFSI (Institut de formation des soins infirmiers) va voir le jour au campus Mazier. « Il faut compter encore deux ans de travaux pour ce dernier », précise-t-il.
Depuis fin 2016, quelques salariés peuvent faire du télétravail. « Il s’agit d’assurer une partie de ses missions depuis chez soi. Par exemple, un médecin cadre peut bâtir le plan de travail du mois chez lui. C’est le personnel qui décide. On rend cela possible, ils choisissent. » D’ici la fin du premier semestre, une quinzaine de personnes pourra en bénéficier. »

(…) Lire l’article complet sur ouest-france.fr

Hôpital de Niort

« L’hôpital au service du territoire. En choisissant cette affirmation clairement lisible de l’ensemble de leurs invités à la cérémonie des vœux hier après-midi, le directeur du centre hospitalier de Niort, Bruno Faulconnier et Philippe Volard, le président de la commission médicale de l’établissement, ont clairement donné la couleur de leur discours.

(…)

Les grands projets de 2017

Le directeur Bruno Faulconnier après être revenu sur les grandes réalisations de l’année 2016, marquée par la certification de l’établissement désormais classé B, a évoqué les projets « méritant une attention particulière » :

• L’engagement de l’acquisition d’un nouvel accélérateur de particules en radiothérapie.
• La mise en œuvre des travaux au service de soins de suite et de réadaptation.
• Le déplacement de l’unité de soins palliatifs à Goise.
• L’ouverture d’Handisanté.
• L’installation du Tepscan.
• Le développement de la chirurgie ambulatoire.
• La définition du projet de réorganisation du bloc opératoire.
• Le déplacement de l’hôpital de jour d’oncologie.
• La poursuite de la réorganisation interne des services avec le déplacement de l’ophtalmologie à la place de l’hôpital de jour d’oncologie.
• Les premières interventions en chirurgie bariatrique (pour les personnes obèses).
• Le développement d’un projet de diabétologie avec le déploiement de la prescription d’activités sportives et l’élaboration d’un projet territorial de prévention. »

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Le chantier du pôle de périnatalité de Dunkerque va démarrer sous peu, permettant ainsi Centre Hospitalier de Dunkerque d’offrir une prise en charge de la mère et de l’enfant, moderne et complète.

La mission de l’agence d’architecture Chabanne+Partenaires comprend la déconstruction préliminaire d’un escalier et d’une rampe d’accès d’urgence. Puis en mai 2017, interviendra le début des travaux de construction du nouveau bâtiment -sur la partie Nord du site du CHD- pour une livraison fin juin 2018.

L’ensemble du projet comprend 23 lits dans le service obstétrique, le service de gynécologie, les consultations et 4 lits en service néonatologie.
Selon l’agence d’architecture, « Le pôle de périnatalité s’insère sur le site du Centre Hospitalier de Dunkerque en continuité des bâtiments existants et en devient la nouvelle entrée, par la promenade verte qui le signale et parcourt le nouveau bâtiment. Les visiteurs, patients et nouveaux nés sont accueillis sur un jardin « promenade verte ». La nature apaisante forme la matière première du projet.
L’image hospitalière est gommée : le visiteur se sent dans un espace privilégié où la santé va de pair avec le bien-être. »

Le nouveau bâtiment, construit sur trois niveaux, pour une surface totale de 4 690 m2. Le budget consacré au projet et à la réalisation de ce nouvel équipement est de 13.5 Millions d’euros H.T.

FICHE TECHNIQUE :

• Projet conçu Haute Qualité Environnementale
• Maîtrise d’ouvrage : Centre Hospitalier de Dunkerque
• Entreprise Générale mandataire : SOGEA CARONI
• Maîtrise d’oeuvre : CHABANNE + PARTENAIRES : architecte mandataire
• PROJEX Ingénierie : BET TCE
• DIAGOBAT : BET HQE Acoustique
• Mission : Base

LE FUTUR PÔLE DE PÉRINATALITÉ DE DUNKERQUE EN IMAGES © EDDIE YOUNG / CHABANNE & PARTENAIRES

A Tours, les équipes du chantier de la « Nouvelle Clinique de Tours Plus » (regroupement de celles de l’Alliance et de Saint-Gatien) sont à pied d’oeuvre depuis mi-décembre 2016.

La « Nouvelle Clinique de Tours Plus » ( NTC+) ouvrira ses portes en 2019.

L’objectif est de créer une entité à l’image nouvelle dotée d’une structure totalement repensée. Le projet est une restructuration complète du bâtiment existant et un doublement de surface de l’actuelle clinique de l’Alliance. Un impératif complexe doit être pris en compte pour le chantier, les travaux se déroulent en site occupé afin de permettre la continuité des soins.

Un pôle ambulatoire
Le pôle dédié à la chirurgie ambulatoire de 24 lits est très important. Il est directement relié aux blocs opératoires et dispose d’une entrée spécifique avec sa propre signalétique.

Un principe innovant d’espaces de confort permettant d’avoir une intimité en intégrant le lit et les équipements médicaux nécessaires est spécifiquement développé par la cellule recherche et développement de Sanae architecture*.

Le projet en chiffres :

• 45 millions d’euros de budget d’investissement
• 28.000 m2 de locaux.
• 353 lits et places.
• Quatre pôles de soins ambulatoires.
• Un bloc opératoire de vingt-cinq salles.
• Un robot chirurgical.
• Une salle hybride.
• Un service d’urgences polyvalent.
• Un service d’urgences cardiologiques.
• Une aire d’atterrissage pour hélicoptères.

*Le projet est réalisé avec SANAE Architecture concepteur de bâtiments de santé.

Maître d’ouvrage : Christophe Alfandari

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