Projet hospitalier

Les travaux de réhabilitation de hôpital de Skikda, qui figure parmi les premiers hôpitaux datant de la pértiode coloniale en Algérie, se poursuivent toujours. Certains services sont déjà opérationnels depuis plusieurs mois, et selon M. Bouaziz, directeur de l’établissement, d’autres services, dont le bloc opératoire sont en cours de finition.

Le service pédiatrie devient un pavillon mère-enfant

«Tout un étage de l’enceinte hospitalière a été converti en un pavillon mère-enfant de 120 lits, autant dire tout un hôpital dans un autre. Ce pavillon comprend une salle d’accouchement, une maternité, un service néonatal, une pédiatrie en plus d’un service dédié à la chirurgie infantile», a expliqué le directeur lors d’une visite avec la presse le 08/10/2016. La liaison directe existant entre le bloc opératoire et la salle d’accouchement est un exemple d’une réflexion sur la conception. Les travaux ayant concerné ce pavillon sont quasiment achevés.

A ce jour, seule la pédiatrie, d’une capacité de 24 lits, est fonctionnelle et les autres services tels la chirurgie infantile, la maternité et la salle d’accouchement, le seront dès la mise en fonctionnement du bloc opératoire qui reste tout de même le noyau de l’enceinte. «Les travaux au niveau du bloc se poursuivent toujours et à une bonne cadence, néanmoins, nous avons devancé les choses en achevant le pavillon mère-enfant. Nous allons passer à la phase finale de son équipement pour que le bloc opérationnel et le pavillon puissent être mis en service simultanément.»

Par ailleurs, l’ancien hôpital de Skikda a été doté d’une nouvelle salle de réanimation. Remise à neuf, cette aile qui communique avec le service des urgences dispose d’une capacité de 24 lits équipés de monitorings de surveillance.

L’opération de réhabilitation représente un investissement public de 550 millions de dinars.

Vendredi 14 octobre 2016, à 11h30, se déroulera la cérémonie de pose de la première pierre de l’hôpital privé de Provence et de la Maison médicale de Provence. A cette occasion, le Dr Lacoste, président de la polyclinique Rambot et les architectes présenteront le projet du nouvel établissement, ses ambitions et ses perspectives.

En avril dernier, le Docteur Jean Lacoste, le PDG de la polyclinique du parc Rambot, avait abordé le dossier de l’extension de ce pôle de santé avec sérénité, après la clôture des rebondissements administratifs qu’avait rencontrés le projet :

« Nous sommes dans la phase d’appels d’offres qui s’achèvera fin avril. Nous ferons notre choix dans le courant du mois de mai. Et on espère pouvoir dans la foulée donner des ordres de services. »

« Nous avons retravaillé le projet sans toucher, bien entendu, le permis de construire initial. Nous avons prévu d’élargir le plateau technique. En effet, 60 % de la chirurgie s’effectue en ambulatoire. L’objectif est de passer à 80 %. Vous savez, la grande mutation de la chirurgie est de passer d’une gestion d’hébergement à une gestion de flux. » avait confié le PDG de la polyclinique à la Provence.com.

Descriptif du projet (d’après le site web de la clinique)

Le ministre de la Santé algérien a affirmé la semaine dernière que la réalisation de centres hospitalo-universitaires dans les wilayas du Sud a été «gelée mais pas annulée».

« Le problème du manque d’établissements de santé ne sera pas réglé sitôt dans le Sud. En raison de la crise économique et la chute des prix du pétrole, le gouvernement a décidé de reporter de nombreux projets.

Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf, a affirmé jeudi à Alger que les projets de réalisation de centres hospitalo-universitaires dans les wilayas du Sud ont été «gelés, mais pas annulés».

Répondant à une question d’un député de la wilaya de Béchar, lors d’une séance plénière consacrée aux questions orales au niveau de l’APN, le premier responsable du secteur n’a pas été par quatre chemins pour avouer clairement la décision du gouvernement. M. Boudiaf a écarté le manque de ressources financières pour mener à bon port ce projet.

Hôpital Algé
Le ministre a, cependant, imputé le gel des projets de réalisation de centres hospitalo-universitaires dans les wilayas du Sud, «aux coûts élevés des offres des bureaux de réalisation des sociétés multinationales, qui ont dépassé le taux de 170% du coût réel de ces centres». «Ces projets sont actuellement gelés et peuvent être relancés prochainement» a indiqué le ministre en guise de rassurer les gens du Sud.
Le ministre n’a pas donné le pourcentage des projets gelés. Ses déclarations sont en contradiction avec celles de Sellal. Interpellé en mois de mars dernier sur la même préoccupation, le Premier ministre avait affirmé que seulement 3% des projets ont été annulés. Le Premier ministre Abdelmalek Sellal a annoncé, jeudi, à Alger, que les travaux de réalisation de deux hôpitaux, l’un à Tamanrasset et l’autre à In Salah, seront lancés dans les prochains jours lors d’une séance de questions orales à l’APN.
Le Premier ministre a, en outre, souligné que les projets de réalisation d’un hôpital de 240 lits à Tamanrasset et un autre de 120 lits dans la wilaya déléguée d’In Salah «sont parmi les projets publics importants qui ne sont pas concernés par les mesures d’annulation et de gel», précisant que «des instructions ont été données pour accélérer leur réalisation». »

(…) lire la suite sur lexpression.dz

A relire : Réalisation de 5 CHU parmi les 10 prévus par le ministère de la Santé

Nouveaux CHU : Signature d’un accord de coopération avec UBIFRANCE

Voici notre sélection des derniers appels d’offres publics pour la France, publiés sur le BOAMP, pour les semaines 42 et 43.

Pour en savoir davantage (dossiers, règlement de consultation…) sur l’offre qui vous intéresse : cliquez directement sur le titre en bleu.

N.B. : à compter du 15/11/2016, ce service de veille sera adressé par mailing spécifique aux Prestataires et Fournisseurs abonnés PREMIUM.

Une nouvelle blanchisserie est en construction à l’hôpital Emile-Roux du Puy-en-Velay.

Dès le mois d’avril, elle centralisera la laverie des draps et blouses de dix-huit hôpitaux et structures médicosociales de Haute-Loire, dont l’hôpital Emile-Roux et l’hôpital Sainte-Marie. Soit la moitié des lits du département.

L’activité de blanchisserie est déjà mutualisée entre ces dix-huit structures qui, sur deux distincts, traitent 5,5 tonnes de linge par jour.

La nouvelle unité, construite pour un montant de 7,7 millions d’euros, permettra de faciliter les conditions de travail de la trentaine de salariés et surtout de réaliser des économies : elle n’utilisera plus que quatre litres d’eau par kilo de linge traité contre une vingtaine pour les anciens mécanismes datant d’une trentaine d’années.

En savoir plus sur le site leprogres.fr.

Cabinet d’architecture : AGERON & YOTx

Vu sur le web : » Le groupement d’architectes et d’ingénieurs qui aura la charge de construire le nouveau bâtiment «Centre» du CHL a été dévoilé lundi (10/10/16). L’édifice sera construit pour la fin 2023.

Les travaux de construction du nouveau bâtiment sont prévus fin 2018. Le projet devra passer par le vote d’une loi de financement. Il devrait coûter 364 millions d’euros, selon une première estimation.
Un pas après l’autre, le futur Centre hospitalier de Luxembourg (CHL) se concrétise. Lundi, les responsables de l’établissement hospitalier de la capitale ont dévoilé le nom du groupement d’architectes qui aura la charge de construire le nouveau bâtiment «Centre» qui ouvrira ses portes en 2023. Le projet sera réalisé par le groupement «4 bund Planungsgemeinschaft» rassemblant des partenaires allemands (Wörner Traxler Richter Planungsgesellschaft mbH, R&P Ruffert Ingenieursgesellschaft mbH, Club L94 Landschaftsarchitekten) et luxembourgeois (M3 Architectes SA, Golblet Lavandier & Associés et BEST Ingénieurs-Conseils).
La genèse de ce projet date de décembre 2014 : le Conseil de gouvernement donne alors son accord de principe pour la construction d’un nouveau bâtiment «Centre» de 464 lits, afin de mieux répondre aux besoins sanitaires du pays. Il prévoit une enveloppe de 364 millions pour ce projet. La direction du CHL a ensuite effectué, au début de l’année 2015, une analyse fonctionnelle et organisationnelle pour la construction de ce nouveau bâtiment. L’étape suivante a été le lancement du concours européen de planification architecturale, en juillet 2015. L’objectif pour les candidats : concevoir un nouvel hôpital fonctionnel, agréable, moderne et évolutif adapté aux besoins et attentes des patients et des professionnels de santé. Sept groupements ont été retenus pour ce concours.

Lundi, une nouvelle étape, très importante, a été franchie en désignant les architectes et les ingénieurs qui donneront un autre visage au CHL. Ce groupement luxembourgeo-allemand doit maintenant finaliser un avant-projet sommaire avec les équipes du CHL. Il devra être déposé en mars 2017. L’avant-projet définitif sera, quant à lui, déposé en avril 2018. Le chantier doit débuter fin 2018 après, bien sûr, l’obtention de l’accord du Conseil de gouvernement et… le vote d’une loi de financement. L’ouverture du nouveau bâtiment «Centre» est prévue à la fin de l’année 2023. (…)
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Le 11 octobre dernier la construction du «Centre médical de proximité – Fondation Mohammed V pour la Solidarité» de Sidi Moumen (à Casablanca –Settat) qui fait partie intégrante d’un plan d’action mené par la Fondation du même nom a été lancée en présence du Souverain marocain, le Roi Mohamed VI.

La future structure hospitalière (37 millions DH), qui sera érigée sur un terrain de 6.200 m2 bénéficiera d’un statut intermédiaire entre les Centres de santé primaire et le Centre hospitalier préfectoral.

Le chantier devrait durer 24 mois et comportera une unité des urgences médicales de proximité, des pôles de consultations médicales spécialisées et des maladies chroniques, de traumatologie et de soins bucco-dentaires.

Il comprendra également un pôle de santé mère-enfant abritant une unité d’accouchement et une autre de consultations spécialisées, outre un pôle médico-technique doté d’une unité d’exploration endoscopique et radiologique, d’un bloc opératoire, d’un laboratoire d’analyses biologiques, de salles d’hospitalisation et d’une pharmacie.

Ce projet est le fruit d’un partenariat entre la Fondation Mohammed V pour la Solidarité, le ministère de la Santé, le Conseil régional de Casablanca-Settat, et le Conseil préfectoral de Casablanca.

Le 30 septembre dernier un projet similaire a été lancé dans la région de Tanger.

Voici notre sélection des derniers appels d’offres publics pour la France, publiés sur le BOAMP, pour les semaines 43 et 44.

Pour en savoir davantage (dossiers, règlement de consultation…) sur l’offre qui vous intéresse : cliquez directement sur le titre en bleu.

N.B. : à compter du 15/11/2016, ce service de veille sera adressé par mailing spécifique aux Prestataires et Fournisseurs abonnés PREMIUM.

C’est en présence des autorités préfectorales et communales que les travaux de rénovation et d’extension de l’hôpital préfectoral de Fria ont été lancés dans l’enceinte même dudit hôpital ce vendredi 21 octobre 2016.

Vingt quatre milliards huit cent millions de francs guinéens (24 800 000 000 GNF) : c’est le coût global de la réalisation des travaux de reconstruction, de rénovation et d’extension de l’hôpital de Fria.
L’hôpital préfectoral de Fria, de par la vétusté de ses installations, est parmi les établissements sanitaires choisis par l’État dans le cadre de la réhabilitation des infrastructures sanitaires.

Dix sept ouvrages sont concernés par ce projet, dont les sept blocs existants concernés par la rénovation : la maternité, la chirurgie, la pédiatrie, les urgences, la médecine générale, la chambre froide et le laboratoire. Seront construits, une buanderie, un bloc administratif, des toilettes externes, un bloc de stérilisation, une pharmacie, un bloc de maintenance, un abri accompagnateur, une fosse à déchets, un château d’eau et un parking.
Le délai d’exécution des travaux est de douze mois à compter du mois d’octobre 2016. Pour être dans les normes d’exécution, l’ingénieur, Kikala Camara, a rassuré que tout est mis en œuvre pour rendre le chantier à la date prévue.

Selon les informations de ouest France, en date du 23/10/2016, le centre Jean-Bernard et la clinique Victor-Hugo, devraient quitter le centre-ville du Mans.

Le futur centre de cancérologie devrait voir le jour sur le terrain où se dresse le petit château accueillant les internes de l’hôpital.

Au Mans, le centre hospitalier, la clinique Victor-Hugo et le centre Jean-Bernard unissent leurs forces pour créer un institut de pointe à l’horizon 2020. Un plus pour les patients. Et les praticiens.

Le nouveau centre de cancérologie devrait voir le jour face à l’hôpital, courant 2020.

La clinique Victor-Hugo et le centre Jean-Bernard, spécialisés dans la prise en charge du cancer, vont donc déménager pour s’installer dans ce nouveau bâtiment. Pas une mince affaire: les structures emploient plus de 200 salariés et il faudra transférer des machines coûteuses et fragiles.

En attendant le lancement du chantier, hôpital et clinique travaillent ensemble pour préparer le projet médical de ce groupement qui réunira le public et le privé. Médecins, infirmières : les hospitaliers travailleront avec leurs collègues du secteur libéral.