Projet hospitalier

L’hôpital Nord Franche-Comté dépose deux recours contre les projets de cliniques à Belfort et à Montbéliard.

« Dans le pays de Montbéliard, la perspective d’un recours contre la construction d’une nouvelle clinique faisait bien entendu partie des hypothèses.

On pensait, en premier lieu, au porteur du dossier retoqué dans le cadre de l’appel à projets lancé, au printemps dernier, par la ministre de la Santé pour l’implantation d’une nouvelle structure à Montbéliard. Ou, le cas échéant, à Pierre Mercier, patron du groupe Dracy Santé, un temps tenté de s’installer dans la Cité des Princes avant de lui préférer la proximité du site médian dans le Territoire de Belfort pour y construire un nouvel établissement en remplacement de la clinique qu’il possède à Belfort.

Finalement, l’attaque est venue d’un troisième homme. En l’espèce, le directeur de l’hôpital Nord Franche-Comté, Pierre Roche. Reste que la subtilité tient dans le fait que c’est, au final, la fédération hospitalière de France, dont le président n’est autre que le maire de Pontarlier, Patrick Genre, qui porte les recours devant la justice administrative.

Lesquels s’avèrent au nombre de deux : l’un contre l’autorisation donnée, par l’Agence régionale de santé (ARS), à la construction d’une nouvelle clinique dans le Territoire de Belfort, l’autre à celle concernant Montbéliard et désormais dévolue au groupe Noalys, du nom du groupe choisi pour l’émergence d’une clinique de 4.000 m² à Montbéliard pour laquelle le conseil municipal a validé, ce soir, l’autorisation de dépôt de permis de construire.

Motivations de la fédération hospitalière : concurrence trop forte, laquelle nuirait aux affaires et à l’attractivité de l’hôpital public. » (…) – Un article de l’est-republicain du 19/09/2016

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Une visite de l’hôpital Maalem Lahcene à Ghazaouet a été organisée le 15/09/2016 par les Autorités locales, afin de faire un point sur les travaux de réhabilitation, d’extension et de modernisation lancés dans cette structure sanitaire.

En effet, d’importants travaux de réhabilitation ont été entrepris à la fois pour mettre aux normes le bâtiment, rendre les chambres de malades plus agréables, et créer de nouvelles unités de soins : un service de consultation spécialisée, un service d’oncologie et la construction, au sein du service de la maternité, d’un bloc opératoire pour la gynéco-obstétrique.

L’enveloppe financière dégagée pour cette opération est de l’ordre de 34 milliards de centimes. « L’opération de réhabilitation permettra à l’hôpital de s’adapter à l’accroissement de sa fréquentation et de proposer la prise en charge des malades dans de meilleures conditions», a souligné M. Maamar, directeur de l’hôpital.

Un autre bâtiment est en cours de réalisation : il abritera les urgences médico-chirurgicales, un bloc opératoire, d’un service de pédiatrie et sera équipé notamment d’un scanner. Il est avancé à 70 %, et son budget total est de 45 milliards de centimes.

D’après l’article source ElWatan.

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L’hôpital provincial Sidi Mohammed Ben Abdellah d’Essaouira fait l’objet depuis peu de travaux d’extension et d’aménagement externe, a indiqué le délégué provincial du ministère de la santé, Dr. Khalid Sniter.

« Ces travaux rentrent dans le cadre du programme de mise à niveau des hôpitaux marocains mené par le ministère de la santé », a-t-il ajouté, précisant que les travaux sont programmés en deux tranches.

La première d’un coût global de 111 MDHS, dont 35 MDHS alloués à l’équipement, concerne les travaux d’extension de l’hôpital Sidi Mohammed Ben Abdellah.

Ces travaux d’extension visent à sécuriser la prise en charge des patients et à améliorer le cadre et les conditions de travail du personnel de l’hôpital. Ainsi le service des urgences, s’étendra sur 770 m2 sera spacieux, et le bloc opératoire sera doté de 06 salles d’opérations.

La fin des travaux pour cette première tranche est prévue à la fin 2017.

D’un coût global de 13 MDHS, la deuxième tranche concerne l’aménagement externe et les travaux d’assainissement de l’hôpital Sidi Mohammed Ben Abdellah, en plus des travaux de la mise à niveau de l’ancien bâtiment, a-t-il ajouté. Une fois les travaux achevés, la capacité d’accueil de l’hôpital passera de 303 à 359 lits.

La capacité du service de la maternité augmentera de 20 lits.

Par ailleurs, le projet de construction de l’hôpital de proximité Tamanar devrait alléger la pression sur l’hôpital provincial Sidi Mohammed Ben Abdellah et renforcer l’offre de soins dans la province.

Cette infrastructure sanitaire à Tamanar sera dotée d’une capacité de 45 lits et proposera 5 spécialités (accouchement obstétrique, pédiatrie, urgences et médecine de la chirurgie).

Concernant le retard dans les travaux, Sniter a expliqué qu’un hôpital n’est pas un bâtiment ordinaire. « Il y a les gros œuvres mais il y a aussi les lots architecturaux spécifiques et des lots techniques, dont la réalisation et les travaux nécessitent du temps », a-t-il dit.

D’après la MAP 14/09/2016.

Le Roi Mohammed VI, a procédé, vendredi 30/09/2016 à l’arrondissement Beni Makada à Tanger, au lancement des travaux de construction du «Centre médical de proximité – Fondation Mohammed V pour la Solidarité», pour un investissement global de 37 millions de dirhams.

La réalisation de ce Centre sous l’égide de la Fondation Mohammed V pour la Solidarité vise à favoriser l’accès des personnes démunies aux soins de santé de base, à accélérer les interventions en cas d’urgence médicale, et à assurer un suivi médical périodique et régulier des personnes dont l’état de santé nécessite des consultations spécialisées.

Structure intermédiaire entre les Centres de santé primaire et le Centre hospitalier régional, le futur Centre médical de proximité sera construit sur un terrain de 6.000 m2 et réalisé dans un délai de 24 mois.

Il comportera une unité des urgences médicales de proximité, des pôles de consultations médicales spécialisées et des maladies chroniques, de traumatologie et de rééducation fonctionnelle, et de soins bucco-dentaires.

Il comprendra également un pôle de santé mère-enfant abritant une unité d’accouchement, des services de gynécologie et obstétrique, de pédiatrie, de médecine préventive et promotionnelle, outre un pôle médico-technique doté d’une unité d’exploration endoscopique et radiologique, d’un laboratoire d’analyses biologiques, d’un bloc opératoire, de salles d’hospitalisation et d’une pharmacie.

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N.B. : à compter du 15/11/2016, ce service de veille sera adressé par mailing spécifique aux Prestataires et Fournisseurs abonnés PREMIUM.

« Les pelleteuses sont entrées en action à Cery; elles n’ont pas fini de s’activer. Il faudra attendre 2021 pour assister à la mise en service du nouvel hôpital psychiatrique vaudois.

Moyennant un investissement public de 106 millions de francs, les structures aussi vétustes qu’inadaptées datant de la fin des années 1950 doivent faire place à un établissement moderne. Le CHUV annonce un lieu ouvert, davantage d’espaces collectifs, moins de lits par chambre, deux entrées séparées pour les patients et les visiteurs, un Centre de neurosciences psychiatriques… Bref, un lieu plus pointu, plus accueillant et décomplexé.

Déstigmatiser le site

Parallèlement à l’amélioration de la prise en charge, il s’agit en effet de déstigmatiser le site. Le professeur Jacques Gasser, chef du Département de psychiatrie du CHUV, est particulièrement attaché au décloisonnement de Cery. «Avoir un environnement agréable, un beau bâtiment, un beau jardin, est très important. Nous aurons gagné ce pari si les habitants de Prilly viennent pique-niquer le dimanche dans le parc. Cery n’est pas un lieu dangereux ou bizarre. C’est un lieu de soins.» (…) Lire la suite sur le site de 24heures.ch

D’après les informations du Télégramme, la Mairie de Dinard envisage la construction d’un nouvel hôpital.

Le sujet a été abordé la semaine dernière, en Conseil, et voici ce qui en ressort, toujours d’après le télégramme.fr : « le projet, qui n’est encore qu’à l’étude, divise déjà, et même dans le camp de la majorité ».

« Depuis quinze ans, le bâtiment présente d’importants désordres structurels », a indiqué la maire, Martine Cravéia-Schütz. Elle a rappelé qu’à plusieurs reprises, ces dernières années, les services de sécurité ont délivré un avis défavorable à la poursuite de l’exploitation de l’hôpital. et souligné le souhait légitime de garantir la sécurité des malades et du personnel, en construisant un nouvel établissement.

L’Agence régionale de santé a retenu et validé le terrain, de 12.335 m², situé rue des Trois-Frères-Julien.

L’actuel hôpital compte actuellement 81 lits, dont 58 en soins de suite. Le futur Pôle de santé comprendra 64 lits en hospitalisation complète et entre 47 et 53 places en hospitalisation de jour. Le coût de construction du nouvel hôpital a été estimé à 22 M€.

Pour la maire : « L’emplacement du futur hôpital est bien situé, car en lien avec la voie verte et proche de l’aéroport ».

Il apparait malgrè cet exposé, des discordances pour l’avenir de ce projet hospitalier, dont nous suivrons le dénouement.

Depuis plusieurs années ce projet revient à l’ordre du jour : article du 15/10/2014 (paysmalouin.fr)

Un nouvel hôpital en projet
Des bâtiments vétustes, une nouvelle organisation hospitalière… l’hôpital Gardiner va devoir faire peau neuve.

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« Un chantier pas comme les autres est en cours dans le quartier Delta, à Auderghem. Un chantier gigantesque qui verra s’ériger l’hôpital Chirec-Delta. 100 000 mètres carrés, 500 lits et 28 salles d’opération. Il est présenté comme l’hôpital du futur.

Les riverains du site, qui ont pu le visiter hier en avant-première, étaient particulièrement nombreux. Si ces personnes sont venues, c’est « parce j’y viendrai sûrement plus tard, compte tenu de mon âge… » ou « par curiosité, et comme l’échevin avait parlé d’emplois qui se libèreraient, afin de voir quelles possibilités s’offrent à moi »

De grandes vitres, une technologie de pointe, l’hôpital ne démérite pas son surnom d’hôpital du futur. Il faudra faire tourner l’hôpital plusieurs mois à vide, pour roder les installations avant le premier patient. » (…)

Lire la suite sur le site www.rtbf.be

Quelques précisions nous sont apportées par la libre.be :

« Loin des couloirs sombres et déprimants, le Chirec Delta impressionne par sa luminosité. Grâce aux treize puits de lumières présents sur le site et aux larges baies vitrées, toutes les chambres bénéficient d’une vue sur l’extérieur. D’une hauteur de cinq étages, le bâtiment compte également deux niveaux au sous-sol. Le rez-de-chaussée accueillera la réception ainsi qu’un mini-Delhaize, un magasin d’optique, une pharmacie et bien d’autres services.

Limiter les déplacements

Le site a été entièrement pensé pour éviter aux patients de se déplacer inutilement. « Nous avons tout rassemblé par niveau. Les urgences se trouvent sur le même plateau que les soins intensifs, la radiologie et le bloc opératoire. Comme cela, les déplacements sont limités en cas de problème », explique Philippe el Hadded, directeur général médical du Chirec, durant la visite.

Une division par pôle

Le futur hôpital sera divisé en plusieurs pôles disciplinaires. Au sein de ceux-ci, les spécialistes qui travaillent autour des mêmes organes seront réunis. « Pour donner un exemple concret, sur le plateau du pole viscéral, c’est-à-dire qui relève du ventre, les gynécologues, les gastro-entérologues et les urologues seront rassemblés. Cela permettra aux patients qui se sont peut-être tournés vers un spécialiste non adapté, de consulter un autre médecin « , ajoute Philippe el Hadded. De plus, les urgences bénéficieront de deux salles d’attente : une pour les enfants et une autre pour les adultes afin de préserver les plus jeunes de toute vision d’effroi. » (…) lire la suite

La construction de cet hôpital a commencé en mars 2014. Budget total : 314 millions d’euros.

LE FUTUR HÔPITAL DELTA SORT DE TERRE