
A Douarnenez, les projets vont bon train à l’hôpital Michel-Mazéas : après la livraison d’un laboratoire tout neuf, un programme d’extension et rénovation apportera des changements significatifs.
Au bout de six mois de travaix, un nouveau bâtiment a été livré à la mi-mai 2016. D’un coût total d’environ 450 000 euros, il abrite dans ses 279m2 le laboratoire d’analyses, et des chambres de garde pour les équipes médicales d’urgentistes et les internes.
Le programme d’extension et rénovation, entre dans le cadre du projet médical 2016-2020 de l’hôpital de Douarnenez qui devrait y consacrer 14 millions d’euros.
Il prévoit :
- la construction de 2 700 m2 de bâtiments neufs, dont 800 m2 pour externaliser les services techniques et informatiques, les ambulances et la chambre mortuaire,
- la restructuration de 7 200 m2 existants.
- 100 places de stationnement supplémentaires
Dans les détails, parmi les objectifs du cahier des charges de cette opération figurent :
- l’amélioration des flux de patients externes et hospitalisés
- l’amélioration de la qualité hôtelière
- la création d’un service de soins de suite des affections cardio-vasculaires de dix lits
- l’augmentation de la capacité d’accueil en réadaptation cardiaque ambulatoire
- la création d’un hôpital de jour de dix places
- l’augmentation du service de jour en gériatrie
- la modernisation du service des urgences
Les travaux seront réalisés « en site occupé » : et devraient s’étaler sur 24 mois. La consultation sera lancée cet automne pour définir un phasage détaillé, pour un lancement de chantier au début 2018.
Par ailleurs, dans le cadre de la sécurisation des systèmes d’information hospitaliers, l’hôpital dispose depuis peu d’une seconde salle serveur et a mis en place une politique de sécurité, pour satisfaire aux nouvelles normes du programme Hôpital numérique (depuis 2012) et de la certification V2014 de la Haute Autorité de Santé. Coût de l’opération : 330 000 euros.
Tous les projets à venir seront sous la responsabilité du nouveau directeur ou directrice, qui sera nommé(e) le 27 juin prochain.
Le site web de l’hôpital Michel-Mazéas de Douarnenez.

Depuis plus de 20 ans Karine Breack-Touzet évolue dans le domaine du projet hospitalier, ce qui l’a conduite à créer HOSPIHUB.
Elle est en constante relation avec les acteurs de la santé en France, au Maghreb et en Afrique. Son expertise s'étend aussi dans le tourisme de santé

corsematin.com 19/05/2016 – « Jusqu’en 2020, d’importants travaux sont entrepris à la fois pour mettre aux normes le bâtiment et créer de nouvelles unités de soins pour les urgences pédiatriques, la gériatrie ou encore la réhabilitation cardiaque.
L’équipe de direction, Antoine Tardi, Pascal Forcioli et l’ingénieur Jean Guyard suivent de près
le déroulement des chantiers./ Photo Christian Buffa pour corsematin
Le centre hospitalier de Bastia s’est engagé dans un vaste programme d’investissement destiné à la fois à rénover le bâtiment principal qui date de 1985 et à créer de nouvelles unités de soins.
La construction du bâtiment ressource, situé en face, a pris quelques semaines de retard mais le chantier devrait être réceptionné en juillet prochain.
Il devait à l’origine recevoir uniquement les services administratifs mais a été, en cours de route, complètement repensé.
« L’année dernière, nous avons décidé d’y installer une unité de soins de suites cardiaques qui fait cruellement défaut dans notre région, alors que le nombre de patients augmente chaque année, explique Pascal Forcioli, le directeur de l’hôpital. Les personnes qui ont souffert d’un accident cardiaque ou coronarien ou subi une chirurgie pourront se rééduquer à Bastia et entamer leur réhabilitation à l’effort. Nous serons le seul centre de Corse qui offrira une telle prise en charge. »

Depuis plus de 20 ans Karine Breack-Touzet évolue dans le domaine du projet hospitalier, ce qui l’a conduite à créer HOSPIHUB.
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Les pays en développement, et plus particulièrement les pays africains, ont connu de nombreux échecs liés à la gestion de concepts hospitaliers occidentaux inadaptés à leur situation économique et sociale. Cet historique limite les nouveaux projets et réduit l’accès aux soins de qualité pour les populations.
Cette question de l’accès aux soins pour ces pays est devenue un enjeu majeur de développement. Il est donc indispensable de trouver des solutions pérennes prenant en compte le contexte économique et culturel des pays concernés.
Pour répondre à cet enjeu majeur, Clinifit concepteur de solutions globales et innovantes pour la prise en charge du patient, a développé un concept inédit baptisé CuraDay.
CuraDay est conçu à partir de la technologie pré-constructive de Clinifit. Il repose sur un modèle économique en adéquation avec le pays d’accueil : l’association avec un exploitant local pour la cogestion et le suivi du développement de l’activité économique autour de l’hôpital.
Une solution clé en main exclusivement ambulatoire qui réduit les coûts et les délais de fabrication de manière drastique et répond aux problématiques de chaque pays en couvrant de façon fiable 80% des besoins de la population sur un bassin de vie.
UNE ALTERNATIVE ÉCONOMIQUE ET DURABLE POUR LES PAYS ÉMERGENTS
CuraDay est un hôpital exclusivement ambulatoire : les patients entrent et sortent le même jour. Une approche qui divise les coûts de construction par 20 et le coût des soins par 5. Il couvre en outre de façon fiable 80% des besoins de la population sur un bassin de vie à un tarif accessible pour ses habitants. Il constitue une révolution majeure dans le domaine de la santé en offrant une réponse sur mesure aux pays concernés.
UNE SOLUTION CLÉ EN MAIN
Le concepteur s’adapte à chaque pays en tenant compte des contraintes et du contexte économique local afin de remettre au pays concerné un hôpital CuraDay clé en main viable.
Clinifit, associé à un partenaire local pour le volet exploitation, initie ainsi toutes les démarches pour permettre un cycle d’exploitation équilibré, gage de la pérennité et du bon fonctionnement dans la durée de CuraDay :
- Prise en compte des contraintes d’autonomie énergétique et d’eau
- Mise en place d’une grille tarifaire publique pour éradiquer la corruption
- Négociation de salaires décents pour les professionnels de santé
- Prise de contacts avec les mutuelles et assurances pour développer une couverture de santé aux habitants
- Négociation d’une délégation de service publique pour une exploitation pérenne
- Mise en place de formations permanentes par des experts occidentaux et locaux afin de délivrer des soins ambulatoires de qualité répondant aux standards occidentaux
- Contrôle qualité assuré par les experts indépendants 1 à 2 fois par an
UN MODÈLE ÉCONOMIQUE INÉDIT
Clinifit propose un nouveau modèle économique encore jamais vu avec un coût de moins de 5 millions d’euros par site.
DES COÛTS DE CONSTRUCTION DIVISÉS PAR 20
En proposant une structure exclusivement ambulatoire, Clinifit recentre l’hôpital sur son cœur de métier et l’affranchit de toutes les surfaces et coûts superflus ; à l’instar de la suppression des chambres qui permet à isopérimètre de diviser les surfaces de l’hôpital par 4.
Ainsi un bâtiment CuraDay de 2000 m2 environ permet de produire 8000 actes chirurgicaux par an, 2000 accouchements (25% par césarienne) et plus de 45000 consultations.
UNE TECHNOLOGIE PRÉ-CONSTRUCTIVE
Pour créer CuraDay, Clinifit a mis au point une technologie pré-constructive exclusive s’appuyant sur le savoir-faire de l’un de ses partenaires, spécialiste de la fabrication de panneaux sandwich.
L’utilisation de cette technologie éprouvée pour pré-construire un bâtiment complet présente de nombreux avantages :
- Un avantage logistique puisque les panneaux destinés à être assemblés sont transportables dans des containers standards et les volumes à transporter sont de fait optimisés
- Un avantage technologique grâce à l’intégration dès la fabrication de toutes les techniques dans les parois (câbles électriques, réseaux d’alimentation en eau….). Cela réduit ainsi les temps de mise en œuvre lors du montage sur place, les finitions étant limitées à de simples raccordements.
- Enfin, le caractère autoporteur des panneaux permet de s’affranchir de toute structure extérieure au bâtiment.
La technologie ainsi utilisée permet d’obtenir un bâtiment fini aux caractéristiques parfaitement connues et reproductibles quelque soit le lieu de déploiement dans le monde.
DES COÛTS DES SOINS DIVISÉS PAR 5
CuraDay permet également d’optimiser le coût des soins grâce au recentrage sur le cœur de métier et la réduction de tous les coûts de fonctionnement (restauration, hébergement, équipe, énergie, entretien etc.).
UN ANCRAGE DANS LA CULTURE LOCALE
Aujourd’hui, 80% de la population en Afrique renonce encore aux soins hospitaliers en raison de leurs coûts. CuraDay tient compte du contexte économique local et de la culture pour proposer des tarifs abordables et donc accessibles au plus grand nombre. La grille tarifaire des soins est publique et affichée afin d’éviter toute corruption.
En outre, le fait de proposer une offre de soins au meilleur standard mondial à un prix très inférieur à la réalité quotidienne (coût officiel vs coût réel des soins actuels) permet le développement de solutions assurancielles accessibles (mutuelle ou assurance).
La qualité de l’offre de soins justifie l’intérêt de souscrire à une assurance pour y avoir accès et le tarif de cette assurance devient accessible en raison du coût des soins produits.
Ainsi, pour le prix de l’accès aux réseaux de téléphonie mobile (649 millions de cartes de téléphonie mobile ont été vendues en Afrique en 2011 !), il devient possible de garantir à sa famille un accès aux soins.
PROTOTYPE GRANDEUR NATURE DANS LA RÉGION HAUTS DE FRANCE
Situé à proximité de l’usine de production des panneaux sandwich, Clinifit a développé un prototype grandeur nature de 100m2 à Bapaume (notre illustration) . Investisseurs et professionnels de santé peuvent ainsi découvrir le projet CuraDay au travers d’une salle de consultation, d’une salle de naissance et d’un bloc opératoire complet. Des visites de l’usine sont également possibles afin de mieux compendre la technologie pré-constructive utilisée pour mettre au point CuraDay.
Pour toute information complémentaire et demande renseignement : CLINIFIT
HOSPIHUB est associé à ce projet en tant que partenaire communication.

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L’édition numérique de BienPublic fait un point ce matin (31/05/2016) , sur les travaux de l’hôpital privé Dijon-Bourgogne et offre de belles photos de chantier – ce que nous avons trouvé interessant à vous proposer :
« La construction de l’Hôpital privé Dijon-Bourgogne avance à grand pas. Les travaux de gros œuvre sont terminés. Ceux de l’étanchéité du toit sont en cours.
Situé au nord de la ville, au cœur du parc d’activité Valmy, l’établissement de santé doit regrouper les cliniques Sainte-Marthe, Chenôve et Fontaine-Lès-Dijon à l’horizon été 2017. Le groupe Ramsay Générale de santé (124 établissements de santé en France) investit plus de 70 M€ dans ce projet. La chirurgie ambulatoire (sortie du patient le jour même de son admission) sera au cœur de l’activité de l’établissement avec 23 000 patients attendus par an dans ce secteur. »
Pour mieux connaître ce projet, nous vous invitons à revenir sur notre actu de juin 2015 :
La première pierre de l’hôpital privé Dijon Bourgogne a été posée (Générale de santé)
Pour rappel, la mise en service de cet établissement d’envergure est prévue pour octobre 2017. Le gros œuvre est réalisé par l’entreprise Léon Grosse. L’architecte Olivier de la Barre, directeur de l’agence de Lyon et président d’AIA (architectes ingénieurs associés) est en charge du projet.

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Le projet qui a remporté le concours pour la rénovation de l’hôpital du Haut-Valais a été rendu public ce lundi (06/06/2016).
L’hôpital de Brigue va être agrandi. Le projet qui a emporté le concours international de rénovation a été dévoilé lundi. C’est un bureau bernois, Burckhardt Partner AG, qui a recueilli l’unanimité du jury. Il l’a emporté sur seize concurrents, dont six bureaux valaisans.
Un nouveau bâtiment de neuf étages viendra s’ajouter à celui qui existe aujourd’hui.
Toutes les activités hospitalières du Haut-Valais vont être regroupées sur le site de Brigue dès 2020. Pour permettre ce regroupement de ce qui se fait aujourd’hui sur Viège et Brigue, l’hôpital de Brigue va être agrandi. Un montant de 100 millions est prévu pour cette opération. Le coût de la construction des parkings, qui devra être autofinancée, n’est pas compris dans ce montant.
La pose de la première pierre devrait avoir lieu dans le courant de 2019.
Vu sur le web : le nouvelliste.ch

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A l’hôpital de Forcilles de Férolles-Attilly (Seine-et-Marne), la réflexion de la fondation Cognacq-Jay, dont dépend l’établissement tend à trouver des solutions d’amélioration du qutidien des patients.
L’établissement reçoit chaque année 15 000 patients pour bénéficier de traitement de cancers, problèmes digestifs, diabète ou maladies respiratoires. La fréquentation a augmenté de 27 % ces trois dernières années.
Selon le Parisien, « La direction attend la validation d’un projet de réhabilitation de plusieurs dizaines de millions d’euros qui doit intervenir dans les prochaines semaines. Par ailleurs, le parc qui encadre les bâtiments doit être intégralement repris. « On sait que des locaux bien adaptés sont bénéfiques aux patients », souligne Thibaut Tenailleau, le directeur, qui regrette « la chute des investissements » dans l’établissement avant sa reprise par la fondation Cognacq-Jay il y a trois ans. »
Myhospifriends, pour échanger entre patients
Côté divertissement, les malades pourront découvrir prochainement Myhospifriends. Le réseau virtuel permet aux malades de se contacter et d’échanger sur leurs expériences et de trouver ainsi un soutien.
HOSPIHUB Projet Hospitalier réunit les prestataires et fournisseurs spécialistes du secteur hospitalier, aptes à répondre à vos demandes tout au long de la vie de votre établissement de santé : public, privé, EHPAD, médico-social.
Architectes, Programmistes, B.E.T., Consultants, Solutions SIH, équipements de bloc opératoire, de salle de bains (éclairages, sanitaires, robinets, auges…), revêtements muraux et sols, cloisons étanches, modulaires, signalétique, stérilisation,traitement d’air, chariots, toiletet hygiène du patient, textiles pour les soignants, conseil, déménagement : leurs informations, en libre accès, sont présentées sur une fiche PREMIUM, vous permettant ainsi, à tout moment, de mieux les connaître, de prendre connaissance de leur documentation « santé », de contacter immédiatement le service commercial. Consultez nos répertoires !

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Le CHRU de Nancy (Meurthe-et-Moselle), face à un important déficit et à des problèmes d’organisation se prépare à plusieurs opérations afin de réussir sa mutation.
Le président du conseil de surveillance du CHRU et maire de Nancy Laurent Hénart ainsi que Bernard Dupont, directeur général du CHRU Nancy et le Docteur Claudon, président de la commission médicale d’établissement l’ont annoncé le 06 juin dernier : la maternité régionale de Nancy va déménager d’ici 2020 sur le plateau de Brabois à côté du CHU.
En raison d’un déficit de 35 millions d’euros et d’une dette abyssale de 430 millions, le CHRU de Nancy est « condamné » à retrouver l’équilibre d’ici quatre ans tout en ne dégradant pas le parcours de soins.
Outre le déménagement de la maternité régionale sur le site de l’hôpital de Brabois à Vandœuvre-lès-Nancy, l’hôpital central de Nancy accueillera à terme le site ambulatoire de soins spécialisés. Le site de Saint-Julien devrait fermer ses portes à l’horizon 2026. Le CHRU avec ses sites multiples sur l’agglomération emploie 8 000 personnes dont 10% de médecins. Un effort est en cours sur le nombre de postes : 200 sur les 572 annoncés sont déjà supprimés, a indiqué M. Dupont.
L’objectif pour le CHRU de Nancy est de réaliser des économies sur l’entretien et le fonctionnement de certains bâtiments. La fermeture du site de Saint-Julien par exemple représente 2 millions d’euros d’économies par an. Le CHRU veut aussi anticiper les importants investissements que représentent la réfection et la mise aux normes du bâtiment principal du site de l’hôpital de Brabois, soit plus de 400 M d’euros selon une première estimation.
Par ailleurs, le plateau de Brabois, dans le cadre du regroupement d’autres activités en lien avec la santé, a prévu :
- a réhabilitation et la restructuration de plusieurs bâtiments de la faculté de médecine, en particulier les amphithéâtres et des surfaces permettant l’implantation des laboratoires de recherche associés à la faculté de pharmacie, la création d’une nouvelle salle de lecture au sein de la bibliothèque universitaire ;
- la mutualisation et la rationalisation des infrastructures pédagogiques et scientifiques en concertation avec le Centre Hospitalier Universitaire et un complément d’aménagement des espaces extérieurs du site. Le chantier doit démarrer en septembre 2016 pour s’achever en mai 2018.
- Le projet comprend aussi la reconstruction des facultés de pharmacie (actuellement face à l’hôpital central près de la place des Vosges) et dentaire (situé près de l’hôpital central) ;
- la construction d’un amphithéâtre de 400 places et de surfaces administratives partagées, le tout regroupé dans un bâtiment principal (8 570 m2) ;
- la restructuration des accès au site et du parking principal de 850 places ;
- la reconstruction de l’animalerie centrale (1 850 m2) pour la recherche et l’école de chirurgie
et la création d’un parking de 250 places.
Afin de faciliter vos recherches des meilleurs prestataires et fournisseurs du secteur hospitalier, HOSPIHUB Projet Hospitalier réunit les spécialistes aptes à répondre à vos demandes tout au long de la vie de votre établissement de santé : public, privé, EHPAD, médico-social. Leurs informations, en libre accès, sont présentées sur une fiche PREMIUM, vous permettant ainsi, à tout moment, de mieux les connaître, de prendre connaissance de leur documentation « santé », de contacter immédiatement le service commercial.

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La construction du Pôle Sanitaire Ouest a débuté en septembre 2015. Un futur hôpital qui permet de rapprocher le Centre Hospitalier Gabriel Martin et l’établissement public de santé mentale. Après 9 mois de travaux, un moment d’échanges a eu lieu le 10 juin 2016 au matin sur le site du chantier.
Surnommé « l’hôpital papillon », le Pôle sanitaire Ouest (PSO) accueillera 310 lits, sur 3 niveaux. 28 000 m2 de site consacrés à la santé. Il est construit sur le site du Domaine de la Poncetière à Cambaie, et devrait être achevé en 2018
Divers thèmes ont été abordés : l’offre de soin et les capacités du futur hôpital, la distribution des activités dans les 5 niveaux de l’ouvrage, la place des usagers dans le projet, l’état d’avancement du chantier, la forte dimension Haute Qualité Environnementale du projet et le dispositif prévu par le CHGM pour anticiper le fonctionnement du futur hôpital et associer fortement et au plus tôt l’ensemble des personnels.
« Ce nouvel ensemble permettra, d’une part, d’augmenter les capacités hospitalières du CHGM, saturées, sans possibilité d’extension et localisées en centre de ville de Saint-Paul et d’autre part de rapprocher les deux établissements publics de santé de l’ouest déjà liés par un projet médical partagé ». « Le CHGM et le PSO seront indépendants ». Le nom du futur PSO n’est pas encore définie et un sondage devrait être lancé pour laisser la parole aux Réunionnais.
Répartis sur trois étages, plus un rez-de-chaussée et un rez-de-jardin, les services couvriront 28.000m2. Le nouveau bâtiment sera placé au cœur du domaine de la Poncetière à Cambaie, entouré d’un parc arboré de 3,5 hectares.
Le média zinfos974.com précise : « Sur le site, parmi les sept bâtiments inscrits au titre de monuments historiques, quatre accueilleront des activités destinées aux usagers et leurs familles. Deux bâtiments constitueront la maison des usagers, un autre la cafétéria et le dernier servira de lieu de cultes.
« À l’heure où les hôpitaux ont tendance à fermer »
L’enveloppe globale du PSO s’élève à 127 millions d’euros, dont 50 millions d’euros de l’état. « C’est le projet majeur de la Réunion, mais aussi de la France dans le milieu hospitalier. À l’heure où les hôpitaux ont tendance à fermer, on assiste ici à un chanter exceptionnel » commente Bertrand Parent, Directeur de la Délégation Réunion de l’ARS (Agence Régionale de Santé).
Au niveau de l’accès, 564 places de parking (gratuit) seront mises à disposition. La question de l’accès n’a pas encore été déterminée définitivement mais plusieurs options sont à l’étude. « Pour le moment, nous avons le choix entre trois variantes d’accès : soit en direct, en sous-terrain ou alors à l’aide d’un pont. Nous attendons le compte-rendu du cabinet d’études en Septembre, mais le TCO, la commune, le Département et la Région vont participer » déclare le Maire de Saint-Paul, Joseph Sinimalé.
Le chantier a été certifié Haute Qualité Environnementale de niveau exceptionnel. Ventilation naturelle, forme du bâtiment, tout est étudié pour réduire au maximum l’utilisation de la climatisation.
Une livraison en août 2018, comme prévu
La première phase du chantier est terminée. Le premier niveau est sorti de terre et les maîtres d’ouvrage prévoient une livraison en août 2018, comme prévu. « Nous sommes en temps et en heure » déclare Laurent Bien. La phase gros-œuvre est maintenant en vitesse de croisière et les premiers corps de métiers vont pouvoir intervenir dès septembre 2016.
Le déménagement de l’hôpital Gabriel Martin actuel est donc prévu pour octobre ou novembre 2018, ou après la saison des pluies si un retard devait être accusé. »

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Selon mplusinfo, le chantier du nouvel hôpital Femme-Mère-Enfant du Groupement Hospitalier de la région de Mulhouse et Sud Alsace (GHR Mulhouse) est en bonne progression. Sa livraison est prévue pour l’été 2017.
L’occasion pour nous de vous proposer de visionner trois vidéos :
- La présentation du projet – mars 2016 (en fin d’article)
- VIDEO du CHANTIER (mai 2015)
- le chantier du nouveau Pôle Femme-Mère-Enfant vu de l’intérieur (octobre 2015)
Implanté à proximité immédiate de l’hôpital Emile Muller – auquel le nouveau bâtiment sera rattaché par une passerelle – son architecture est originale : trois « doigts » aux toits courbes surplombent un socle commun constituant la base du bâtiment.
L’architecte Rémy Butler a souhaité offrir « le cadre le plus agréable possible pour les patients. La conception des “ doigts ” permet de faire entrer la lumière dans les chambres, de profiter de la vue sur les Vosges et d’éviter les vis-àvis. »
D’un point de vue médical, l’organisation du nouvel hôpital a un sens fonctionnel et très logique qui répond aux nécessités d’offrir des conditions de prise en charge modernes et adaptées aux besoins des femmes, enfants et professionnels de santé.
Les six étages de l’hôpital, construit aux normes Haute qualité environnementale (HQE), sont organisés autour d’un hall d’entrée très lumineux et à taille humaine. L’hôpital occupera 23 600m² de bâti sur un terrain de 8 ha.
Pour Rémy Butler, « il y a des limites au gigantisme. Quand on rentre dans un hôpital, on n’a pas envie de se retrouver dans un hall d’aéroport ! »
Démarrés en 2013, les travaux se poursuivront jusqu’à l’été 2017 avant l’emménagement progressif des différents services et l’accueil des premiers patients.
L’hôpital en quelques chiffres :
- 71 millions d’euros, c’est le coût du nouvel hôpital Femme-Mère-Enfant.
- 2900 naissance en 2015
- 11 salles d’accouchement Niveau 3, seule maternité du département avec un service de réanimation et un service de soins intensifs en néonatologie
- 5 salles d’échographie
- 4 blocs opératoires
PRÉSENTATION DU FUTUR PÔLE FEMME-MÈRE-ENFANT - GHR MULHOUSE SUD ALSACE

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Plusieurs projets seront réalisés dans le secteur de la santé à Gafsa, dont notamment la transformation des hôpitaux locaux à Redayef et Medhila en hôpitaux régionaux (catégorie B).
Selon le directeur régional de la santé à Gafsa, Salem Nasri , le constat d’avancement des différents chantiers en cours est le suivant :
-
les travaux de transformation de l’Hôpital de Médhila en hôpital régional sont réalisés à hauteur de 20%. Le projet comprend : un service de pédiatrie, des urgences, une unité de médecine du nourisson, une salle d’opération, une unité de dialyse, une morgue.
-
les travaux de transformation et d’extension de l’hôpital local de Redayef sont réalisés à 85%. Ils comportent la construction d’un service de pédiatrie, des services divers, un entrepôt et une cuisine.
-
l’hôpital local de Om Laarayes sera transformé en hôpital régional à travers la création d’un service de pédiatrie, une unité de consultation pour les nourrissons, une salle d’opération chirurgicale. Ce projet est actuellement en phase d’appel d’offres.
-
le projet de transformation de l’hôpital de la délégation de Sned en hôpital régional est actuellement en phase d’étude et comprend la création de nouveaux services de médecine des urgences, de chirurgie générale, de gynécologie et des salles d’opération.

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