Projet hospitalier

C’est une fin de chantier très attendue à l’hôpital maritime de Zuydcoote : celle du nouveau service enfants-adolescents.

La directrice de l’établissement, Isabelle Druesne l’a confié dans l’article de la voixdunord.fr : » Tout devrait être terminé pour le mois de mars et les enfants intégrer les lieux en avril « .

« … Lancé en 2010, le vaste chantier avait été stoppé à deux reprises, faute de financements, puis relancé le 5 janvier 2015.

Les patients, des enfants et des adolescents âgés de 0 à 18 ans – souffrant de problèmes locomoteurs, du système nerveux, endocrinien, d’obésité, etc. – bénéficieront bientôt d’un secteur beaucoup plus fonctionnel : le nouveau service sera déployé entre le rez-de-chaussée et le second étage du bâtiment actuel en front de mer.

Opération à tiroirs

Le rez-de-chaussée, outre un accueil pour les familles, sera consacré à l’hôpital de jour (les enfants rentrent dormir chez eux) et aux consultations, centralisées sur un seul plateau technique. Le second étage sera dédié uniquement à l’hospitalisation.

En intégrant leurs nouveaux locaux, les enfants vont « libérer » les pavillons D et E – deux ailes historiques de l’hôpital rénovées en 2013 – qu’ils avaient investis en septembre 2014.

Cette opération dite « à tiroirs » va ainsi permettre de redonner à ces pavillons leur vocation initiale, celle d’accueillir le futur service de soins de suite et de réadaptation (SSR) respiratoire, « qui va monter en puissance cette année », note Isabelle Druesne » (…)

Lire l’Article complet Publié le 16/01/2016 PAR BENJAMIN CORMIER

Ce sont les cérémonies de voeux qui font l’actualité souvent en début d’année. Elles sont l’occasion d’annonces de projets. Parmi les premiers vus sur la toile pour ce mois de janvier :

L’HÔPITAL DE CROZON

« Les vœux de l’hôpital local ont été l’occasion pour la Directrice, Claire Codet de faire le point sur le chantier débuté en 2015. (…) Les lourds travaux de rénovation et de construction sur le même site, ont débuté l’an dernier et se poursuivront jusqu’en 2018.

Fin 2016, le nouvel Établissement d’hébergement des personnes âgées dépendantes (Ehpad), et ceux de la logistique et de la technique, seront achevés. Ils se poursuivront en 2017 par la démolition de l’hôpital local actuel, puis la construction du nouveau centre hospitalier.

Actuellement, 110 personnes âgées y vivent, et 15 lits sanitaires accueillent les patients. À la fin des travaux, qui s’élèvent à 28 millions, l’établissement comptera 150 lits en Ehpad, 25 lits en sanitaire, 5 lits d’hébergement temporaire et quatre places d’accueil de nuit. »

Source : Article de ouest-france

CENTRE GÉRIATRIQUE DE PENTHIÈVRE

Hier, les traditionnels voeux ont été présentés par Dominique Colas, directeur du centre gériatrique du Penthièvre. L’année 2016 sera notamment marquée par des aménagements importants et la réduction du budget.

Le centre hospitalier de Lamballe regroupe une section d’hospitalisation traditionnelle, ainsi que cinq Ehpad (*), répartis sur les sites de La Méaugon, Trégueux, Langueux, Créhen et donc Lamballe. « Nous sommes le deuxième établissement des Côtes-d’Armor, mais l’avant-denier du département en termes de budget », a précisé le directeur du centre gériatrique du Penthièvre, Dominique Colas, au début de son discours des voeux pour 2016. Devant une centaine de personnes, le directeur a poursuivi son élocution en évoquant la volonté du personnel et des bénévoles de l’hôpital de toujours améliorer les conditions d’hébergement des résidants.

Nouvelle aile au pavillon Calmette
L’inauguration des 14 nouvelles chambres particulières dans le pavillon Calmette a été un point important de cette année 2015. Cette nouvelle aile permet un confort plus adapté aux besoins des résidants. Le conseil de surveillance, avec la récente fusion de nouvelles communes, est passé de 9 à 15 membres, « une évolution afin de responsabiliser tous les acteurs du territoire », a ajouté Dominique Colas.

Parmi les « gros chantiers » de 2016, un Ehpa (2) sera ouvert au niveau du pavillon Villedeneu, avec sept studios pour les couples et personnes âgées non dépendantes mais fragiles. Le projet de surélévation des deux pavillons Lavergne et Le Briand suivra son évolution avec pour dessein le dédoublement des chambres. Dix millions d’euros de travaux seront ainsi engagés.

(…)

Lire la suite sur le telegramme.fr

L’HÔPITAL SAINT-JACQUES – LES ANDÉLYS

Marianne Cardalaguet, directrice de l’hôpital Saint-Jacques, a annoncé plusieurs chantiers pour 2016. L’hôpital va devoir préparer la certification qui concerne le service de soins de suite et de réadaptation.

« La visite des experts est programmée en janvier 2017, indique la présidente. Les groupes ont déjà entamé une réflexion et vont proposer des actions qui se déploieront au 2e trimestre. »

Chambres individuelles pour tous

Cette année, une réflexion va débuter sur la réhabilitation des locaux et sur le projet d’extension afin de créer des chambres individuelles pour tous. L’hôpital va poursuivre son ouverture sur l’extérieur et contribuer avec les autres hôpitaux à l’écriture du projet médical de territoire et à la construction d’une filière gériatrique partagée. »…

Article de paris-normandie.fr

HÔPITAL D’YVETOT

« Pour la Directrice de l’hôpital Asselin-Hédelin, Michelle Mochalski, la nouvelle année se présente sous les meilleurs auspices. Les travaux de l’Ehpad sont désormais terminés. Ils auront coûté près de 23 millions d’euros. Le Pôle de santé de territoire, qui intégrera l’hôpital Asselin-Hédelin, va bientôt sortir de terre.

Travaux en avril

Concept inédit en France, ce pôle mêlera capitaux privés et investissements publics. Il comprendra une clinique psychosociale, une maison privée pluridisciplinaire de santé et une clinique chirurgicale, l’ex-clinique Cléret. Dans cette dernière, on trouvera un service de radiologie, un service de dialyse et un service de chirurgie ambulatoire. Les travaux devraient débuter en avril 2016, parallèlement à la déconstruction de la chapelle Saint-Louis. Reste en suspens le service de permanence 24 heures/24, l’implantation d’une IRM et la construction d’un héliport pour l’évacuation des blessés. Concernant le personnel médical, Michelle Mochalski s’est réjouie de l’arrivée d’un médecin le 1er mars prochain. »

L’article complet de paris-normandie.fr

L’HÔPITAL D’HAZEBROUCK

Sylvie Lecoustre, la Directrice, a confirmé l’ouverture début mars du nouveau bâtiment des consultations externes (cf notre actu ), et le lancement courant 2016 de la réflexion pour les travaux concernant cette fois les consultations de chirurgie et d’anesthésie.

La maison de retraite Le Clos des tilleuls, adossée à l’hôpital, accueillera une unité d’hébergement renforcé (UHR), pour les malades d’Alzheimer à un stade avancé. Le dossier ayant reçu un avis favorable de l’Agence régionale de santé (ARS) pour la labellisation, selon la Madame Lecoustre.

Les travaux d’aménagement de l’accueil et du secrétariat de la toute nouvelle unité ambulatoire ( 6 places) ont démarré en ce début 2016, et seront finalisés.

« Nous travaillons également à la possibilité de déposer un dossier pour démarrer une activité de dépistage du cancer du sein courant 2016 », a annoncé la directrice, qui a tenu à mettre également en avant le vaste travail qui attend les équipes administratives et techniques. Cela va de l’informatisation du « dossier patient » à l’extension du réseau wifi. « (…)

L’article complet de lavoixdunord.fr

HÔPITAL DE SAINT LÉONARD DE NOBLAT

Le maire, Alain Darbon , présentant ses voeux aux habitants de Saint-Léonard ou du territoire de Noblat, a annoncé que les études effectuées avaient montré qu’une nouvelle construction de l’hôpital serait moins coûteuse qu’une rénovation des bâtiments actuels.

« Il sera reconstruit sur le site du Panaud, à proximité des locaux de la régie municipale électrique. Il s’agit de reconstruire l’hôpital en amenant de nouveaux services (radiologie) et en renforçant les consultations avancées.

Concernant la requalification du site actuel, des pistes sont à l’étude : création d’une maison de santé et de logements adaptés aux personnes à mobilité réduite, renforcement de l’activité de l’hôpital de jour, par exemple. ».

Début des travaux prévue à la fin de l’été 2016.

L’article complet de lepopulaire.fr

HÔPITAL DE CARHAIX

.. »Philippe El Saïr, le Directeur du CHRU de Brest-Carhaix, a pour sa part, évoqué les projets qui marqueront 2016. En premier lieu, la construction d’un nouvel Ehpad.

« Quelque chose de très attendu par les familles et les personnels », a indiqué le directeur. Un terrain situé sur la commune et plutôt en ville doit au préalable être trouvé et acheté.

Le projet d’implantation sur l’hôpital de l’IRM mobile, aujourd’hui présent sur Lannion Guingamp, pourrait également être finalisé dans les prochains mois. Au printemps, une équipe de liaison en addictologie pilotée par le centre hospitalier de Morlaix doit aussi ouvrir. »

L’article complet de ouest-france.fr

HÔPITAL D’EPINAL

La construction du nouvel hôpital d’Épinal a occupé une bonne partie des vœux exprimés par la direction du Centre hospitalier Emile-Durkheim pour 2016.

Les responsables administratifs réunis pour la cérémonie ont évoqué l’avenir du nouvel hôpital – projet qui a déjà un an de retard, suite aux appels d’offres déclarés infructueux .

Ainsi, relate vosgesmatin.fr : » Un avenir qui se dessine à l’horizon de l’automne. Tout a été remis à plat, le dossier démonté et remonté, les consultations d’entreprises ont démarré fin décembre 2015. Pour éviter tout nouveau couac, « le projet a été revu dans sa structure, passant de 5 à 12 lots afin de faciliter l’accès au marché à de petites entreprises » a précisé Michel Heinrich.

Objectif, que le montant des travaux rentre dans les clous des 124 millions d’euros initialement prévus. Pour rappel, ce budget a été dépassé de 22 millions d’euros à l’issue du dépouillement des appels d’offres. « Notre crédibilité se jouera sur ce projet » a souligné Mathieu Rocher. Consolation tout de même, l’hélistation est, elle, terminée et rentrera en service d’ici quelques semaines.

Du côté des finances de l’hôpital la situation ne s’arrange guère et si aucun chiffre n’a été dévoilé, Mathieu Rocher a indiqué que « le sujet est préoccupant, le déficit est important, essentiellement lié à la baisse de l’activité, cette situation nous alerte ! » Précisant qu’un plan de redressement est à envisager afin de garantir la pérennité de l’activité et des investissements.

Et quand on parle de recherche d’économies, le mot « synergie » n’est jamais loin. Mathieu Rocher a bien sûr évoqué le renforcement du partenariat entre l’hôpital de Remiremont dont il est le directeur par intérim, parlant même de « destin commun ». Les coopérations entre les deux établissements, dans le cadre de la communauté hospitalière de territoire, sont déjà nombreuses. « Il faut rendre de plus en plus proche notre fonctionnement, en privilégiant la complémentarité, l’évolution de la démographie et de la natalité nous y poussent » a-t-il insisté. » (…)

L’article complet de vosgesmatin.fr

HÔPITAL DE LENS

Le directeur du centre hospitalier de Lens, Edmond Mackowiak, a profité des vœux au personnel pour présenter l’architecte retenu pour la construction du nouvel hôpital. Michel Beauvais a présenté les premières vues de cet établissement du futur qui doit voir le jour en 2020 sur le site de la Gohelle.

Un projet gigantesque de 70000 m2, avec une capacité d’accueil de 600 lits.

« C’est un magnifique écrin qui nous attend », se réjouit le directeur. …

« Nous avons encore beaucoup de travail. Notre objectif est de déposer le permis de construire du nouvel hôpital dans un an pour pouvoir débuter les travaux fin 2017. »

L’article complet de la voixdunord.fr

C’était l’objet de la fierté de Christine Louchet, la directrice de l’établissement de Chaumont-en-Vexin, lors de la cérémonie des voeux : donner les premières nouvelles du chantier démarré mi-décembre 2015.

« Le chantier prend forme »

Le projet de l’extension est destiné à accueillir l’unité de soins de longue durée (SLD) : 78 chambres individuelles avec douche et quatre chambres doubles. Le service de soins de suite et de réadaptation (SSR) disposera de 16 chambres individuelles supplémentaires.

Le montage financier destiné à le financer à hauteur de 13.2 M€ a été compliqué à mettre en place. L’ARS verse une aide de 100 000 €. Pour ce projet, l’hôpital a aussi reçu une subvention du conseil départemental de 1,2 M€. « Outre un autofinancement de 2 M€, nous sommes obligés d’emprunter 10 M€ alors que notre budget de fonctionnement est de 9 M€ », souligne la directrice.

L’établissement bat des records de fréquentation. En 2014, il avait enregistré 10 000 passages. En 2015, on dénombre 12 036 consultations auxquelles s’ajoutent 2 563 actes infirmiers. « L’équipe composée d’un médecin et d’une infirmière reçoit quotidiennement 70 à 80 patients, précise la directrice. Et cela ne va pas aller en diminuant puisque nous sommes en plein désert médical. »

Autres points qui ravissent la directrice :

L’hôpital a développé un partenariat avec celui de Magny-en-Vexin (Val-d’Oise) pour rendre opérationnel un service de télé-radiologie. Un service de radiologie sera ainsi disponible en permanence. Enfin, l’hôpital a reçu l’autorisation de faire des soins de médecine ambulatoire et de pratiquer l’hospitalisation de jour.

Le premier service d’oncologie de proximité – de niveau national – sera ouvert prochainement à la nouvelle polyclinique de Hassi El Ghella (15 km d’Ain Temouchent), selon le directeur de la santé et de la population de la wilaya.

Ce service, d’une capacité d’accueil de 35 places, sera encadré par un médecin oncologue qui sera détaché de l’hôpital Dr Benzerdjeb, a-t-il ajouté, soulignant qu’en cas de succès, cette expérience sera lancée également au niveau de la polyclinique de Oulhaça.

Cet établissement sanitaire a été réalisé en treize mois et a nécessité une enveloppe budgétaire de 48 millions DA dont 18 millions DA pour les équipements.

Lors de cette même tournée, les autorités locales ont visité le chantier de l’hôpital de 60 lits d’El Amria qui a été confronté à des difficultés de réalisation avec une entreprise espagnole dont le contrat a été résilié depuis.L’administration prend en charge le financement de ce chantier et des ses avenants estimés entre 80 et 100 millions DA.

Repris par une entreprise nationale, les travaux sont bien avancés et une livraison semble envisagée pour le 20 février prochain.

Un budget de 500 millions d’euros sera consacré au projet annoncé par la Direction : le chantier de modernisation de l’Hôpital de Tours.

Lors de la présentation des voeux 2016, la Directrice l’avait indiqué : « Les difficultés de fonctionnement du CHU résident en trois problématiques majeures : le manque de cohérence médicale dans la répartition des activités du CHU entre les cinq sites d’hospitalisation, leur dispersion, rendant complexe toute recherche d’efficience, et la vétusté de la plupart d’entre eux, à laquelle il est de notre responsabilité de trouver des solutions.

Pour répondre à ces questions, le CHU prépare un projet de schéma directeur immobilier qui vise, à l’horizon d’une dizaine d’années, à regrouper nos activités sur nos deux principaux sites. Ce projet constitue un enjeu majeur pour l’avenir du CHU de la région. Il engage une réflexion médicale, organisationnelle, urbanistique et de desserte par les transports en
commun. Nous souhaitons le mener avec l’ARS et l’ensemble de nos partenaires de la région, du département, de l’agglo Tour(s) Plus et de la Ville, mais aussi avec nos usagers et les professionnels. »

Le chantier devrait comprendre les étapes suivantes :

• la construction d’un nouveau bâtiment de 3 à 4 étages dont l’offre en chambres simples et avec  salle de bains individuelles sera appréciée
• la démolition de la tour de l’hôpital Trousseau, une fois le nouveau bâtiment construit
• le déménagement  de l’hôpital Clochevile  au sein de l’hôpital Trousseau, en vue de constituer un pôle mère-enfant
• la répartition des spécialités médicales à l’hôpital Bretonneau, et de l’activité chirurgicale à l’hôpital Trousseau

Les premières lignes du projet seront présentées aux tutelles en juin 2016. Si celui-ci et son budget de 500 millions d’euros sont approuvés, les travaux pourraient démarrer d’ici la fin 2016.

Lors de la présentation des voeux 2016 aux personnels, la Directrice du CHU a tenu a rappelé les nombreuses réalisations de 2015. Sélection :

« En 2015 le CHU de Tours a poursuivi ses réorganisations.

> En 2015, l’arrivée du Dr Laribi à la tête du département de médecine d’urgence adulte, regroupant désormais le SAU, le SAMU et le SMUR, a permis au CHU de poursuivre la réorganisation qu’il a prévu depuis 2013. En 2015, le CHU a pris en charge 93 500 urgences, soit 256 urgences par jour en moyenne. 10 % de celles-ci donnent lieu à une hospitalisation.
> Pour mieux articuler les hospitalisations urgentes et programmées, le CHU a préparé en 2015 une nouvelle organisation de la gestion des lits, structurée autour d’une cellule centralisée. Elle est créée en janvier 2016 et le pôle reconstruction a inauguré cette nouvelle organisation.
> Les services de Trousseau ont poursuivi leur réorganisation, notamment les secteurs de dermatologie, rhumatologie, chirurgie plastique et maxillo-faciale, de chirurgies vasculaire et thoracique, de réanimation et soins continus. Au total de cette restructuration qui s’achève en 2016, 54 lits de +24H auront été fermés, mais 20 lits d’unité de médecine communautaire, 6 lits de soins continus, 4 lits d’hémorragies digestives, 6 places de jour auront été créés, donnant lieu à la création d’une quinzaine d’emplois supplémentaires.
> Ainsi, au fil de cette réorganisation et des évolutions médicales, le CHU a atteint en 2015 un taux de 33,75 % de chirurgie ambulatoire soit 3,78 points de plus qu’en 2014. Le CHU de Tour se place au premier rang des CHU français dans ce domaine.
> Se réorganiser, c’est aussi poursuivre le développement du système d’information. En 2015, à partir d’un calendrier très ambitieux, la Direction des systèmes d’information, accompagnée de la Direction des Soins et la Pharmacie, a déployé la prescription connectée, permettant ainsi de fiabiliser la prescription. 86 % des lits du CHU sont aujourd’hui en prescription connectée et 2 465 professionnels ont été formés en un an. »

Extrait du message des voeux 2016 au personnel

La Chaîne de l’espoir permet aux enfants les plus démunis d’accéder aux soins et à l’éducation dans plus de 30 pays. Chaque année, 100 000 enfants bénéficient ses programmes de soins (dont 5 000 qui sont opérés) et 11 000 à ses programmes d’éducation.

La chirurgie cardiopédiatrique est aujourd’hui absente au Mali alors que le nombre d’enfants y souffrant de cardiopathie ne cesse d’augmenter. La Chaîne de l’Espoir permet, chaque année depuis 15 ans, à 20 jeunes malades de venir en France pour se faire soigner dans les meilleures conditions possibles. Mais dans les faits, le Pr Diarra a identifié plus de 2 000 cas qui ne reçoivent pas aujourd’hui de réponse médicale.

Toujours d’après le Journal Afriquejet, : » aujourd’hui, la Chaîne de l’Espoir a pour projet de réhabiliter l’hôpital Mère-Enfant du Luxembourg au Mali. Elle veut en faire le second pôle d’excellence cardiopédiatrique de l’Afrique de l’Ouest avec une prise en charge des cardiopathies de l’enfant du diagnostic au suivi post-opératoire. Elle avait déjà mis en place le Cendre Cardiopédiatrique Cuomo (Dakar) et le lien entre les deux s’inscrit comme une évidence.

Le Professeur Alain Deloche, (qui a créé la Chaîne de l’Espoir) en 1994 va prochainement faire un séjour à Bamako pour mettre en oeuvre ce projet de réhabilitation. A cette occasion, il présentera aux autorités maliennes et au Pr Mamadou Bocary Diarra, directeur de l’hôpital et cardiologue, le projet de mise en place d’un plateau technique et de rénovation du bâtiment au service de l’optimisation de de l’unité de cardiopathie initiée par le Pr Diarra, du développement d’une unité de cardiologie interventionnelle et d’une autre de chirurgie cardiaque.

Grâce à ce projet, de plus en plus d’enfants cardiaques pourront être pris en charge par le personnel médical local et bénéficier d’une structure médicale présentant la même exigence de qualité et de sécurité des soins qu’en Europe. »

LES COORDONNÉES DE LA CHAÎNE DE L’ESPOIR

8, rue Maria Helena Vieira da Silva – CS 11417 – 75993 Paris Cedex 14

téléphone : +33 1 44 12 66 66

Site web

Le roi Mohammed VI a inauguré le 14 février 2016 de nouvelles installations sanitaires dans la capitale économique du Maroc :

• un nouveau service de maternité au sein de l’hôpital des enfants Abderrahim Harouchi. Un investissement de 53 millions de dirhams, financé par le CHU Ibn Rochd et la fondation Amine Kabbaj et qui s’étend sur plus de 3 700 mètres carrés.
• un nouveau service d’urgences au sein de l’hôpital 20 août 1953. Comprenant, entre autres, trois blocs opératoires et s’étendant sur près de 1 300 mètres carrés. La construction de ce nouveau service a coûté 16,7 millions de dirhams, assurés par le CHU et la préfecture de Casablanca.

Mohammed VI a par ailleurs donné le coup d’envoi aux travaux :

• du  chantier d’un service d’urgences, nommé trauma center, au sein du CHU Ibn Rochd. Il devrait ouvrir dans un an et demi. Coût total : 132 millions de dirhams.
• d’un centre psychiatrique, toujours au sein du CHU. Construit sur 5 600 mètres carrés pour un coût de 48 millions de dirhams, il comprendra un hôpital de jour, des salles de consultation, un secteur fermé et un secteur ouvert. Au total, ce service sera composé d’une centaine de lits.

Ainsi, l’offre hospitalière se renforce à Casablanca, autant dans le secteur public que dans le secteur privé.

En juin 2015 les travaux de terrassement du futur Centre hospitalier du Nord de Koné ont démarré. A la tête de ce vaste chantier, l’entreprise OCR, spécialiste en bâtiment et en travaux publics, chargée de piloter le groupement d’entreprises chargé de la conception et de la réalisation. Le Centre hospitalier du nord sera un outil complémentaire du Médipôle de Koutio (cf actu Hospihub). Le coût de l’opération est de plus de 6 milliards de francs CFP, répartis entre le gouvernement, le Centre hospitalier, l’Etat, la Province Nord, l’agence sanitaire et sociale, la Caisse des dépots et consignations, et l’AFD, pour une livraison prévue fin 2017.

Avancement du chantier en février 2016

D’après Inc.nc, « le gros oeuvre devrait être achevé au cours du premier semestre : les niveaux sont montés et les équipes de charpentiers ont commencé à investir les lieux. Les plaquistes sont aussi en cours d’intervention.

Étage logistique

Imaginé par les agences d’architectes Néo et K, le bâtiment principal de 9 400 m2 sur trois niveaux, regroupera tous les services. Faisant la part belle à la lumière naturelle, il disposera de deux patios à l’air libre, et d’un patio central couvert par des tôles transparentes.

L’entrée principale du futur hôpital est prévue en lieu et place de l’actuelle entrée du chantier, côté zone industrielle des Cassis. Un parking accueillera les visiteurs qui entreront au niveau du rez-de-chaussée, quand le personnel médical, qui pourra être jusqu’à une centaine sur le site, accédera par le niveau inférieur, en rez-de-jardin. Ce premier niveau sera principalement réservé aux professionnels. Il comprend notamment des vestiaires, des bureaux médicaux, une salle de réunion pour le personnel, mais aussi le laboratoire et la pharmacie. En avançant, on trouve une partie plus logistique avec un espace dédié à la stérilisation. Les services qui y seront affectés s’occuperont de faire passer le matériel stérilisé au personnel soignant à l’aide de deux monte-charges qui desserviront le bloc opératoire. Puis, encore plus au fond, se trouvera un lieu réservé au stockage du linge et des repas, deux services externalisés.

Sur deux niveaux

Passage au rez-de-chaussée, où le pôle administratif d’accueil jouxte les bureaux de consultations médicales : ils accueilleront les services du dispensaire, la consultation hospitalière, l’Agence sanitaire et sociale de la Nouvelle-Calédonie et l’antenne du CHS (Centre hospitalier spécialisé).

Cinq places d’hospitalisation de jour seront aménagées.

À proximité également, le bloc d’imagerie médicale. Ces espaces seront déployés autour d’une cafétéria, qui disposera d’une terrasse donnant sur un patio. Une unité de six lits de soins critiques fera la transition avec le service des urgences, qui posséderont leur propre entrée, sur la façade opposée à l’entrée principale, et d’un accès à une hélistation au sol.

Monte-malades

Au premier étage, place aux lits d’hospitalisation et aux blocs opératoires et obstétricaux, sachant que pour passer d’un niveau à l’autre, des « monte-malades » seront mis en place. Le pôle maternité, avec ses 12 lits situés en face de deux salles de naissance et d’une salle de réanimation des nouveau-nés, sera localisé contre la façade d’entrée. Puis, 20 lits d’hospitalisation de chirurgie, et 20 de médecine suivent.

Chaque chambre donne, soit sur l’extérieur, auquel cas elle dispose d’un balcon, soit sur le patio central. Pour faire le lien avec la partie bloc opératoire, qui comprend trois salles d’opération et une salle d’exploration fonctionnelle, un espace de recueillement a été imaginé au niveau du patio central, pour les proches des patients.

Bâtiments voisins

À proximité directe de l’hôpital, les terrassements du futur centre d’hémodialyse viennent d’être effectués. Ce bâtiment de 300 m2 comprendra 10 postes de dialyse, et sera confié à un exploitant privé.

Est également en projet un centre d’hébergement pour les familles des patients, qui sera construit par la province Nord sur la parcelle contiguë à l’opération.

Chambre témoin

Un prototype a été conçu au rez-de-jardin. S’il est voué à la destruction, ce modèle grandeur nature doit permettre aux équipes de vérifier l’ergonomie des locaux et d’apporter d’éventuelles corrections aux aménagements. Une chambre témoin a été construite et meublée. Elle possède sa salle de douche privative, ainsi qu’un balcon, et est équipée de volets roulants et d’un placard. Sur le même principe, un espace d’accueil a aussi été réalisé. »

Mardi 16 février 2016 la directrice régionale adjointe de la Région Aquitaine Limousin Poitou-Charentes de la Caisse des Dépôts et le directeur du centre hospitalier de Brive, ont apposé leur signature pour le prêt de 2,5 M€ obtenu pour l’extension de l’établissement Limousin.

Le prêt s’insère dans un programme global de 8,5M€ consacré à la construction d’un bâtiment de deux étages, comprenant 14 lits de réanimation et 12 lits de surveillance continue.

Situé au-dessus des urgences, ce nouveau bâtiment se trouvera à proximité de l’activité de gynécologie-obstétrique, des blocs opératoires et du service d’imagerie médicale et des activités chirurgicales. Celui-ci compte actuellement 619 lits d’hospitalisation complète et 113 places d’hospitalisation de jour.

Ce prêt va permettre de déployer, via la Caisse des dépôts, des financements issus de la Banque européenne d’investissement (BEI), l’institution financière des Etats membres de l’Union. Le soutien de la BEI permet de bénéficier de prêts à taux fixes avantageux pour les investissements inférieurs à 25 M€, en complément des prêts sur fonds d’épargne de très long terme de la Caisse des dépôts. Ce partenariat existe entre les deux institutions depuis juin 2013, pour relancer la croissance et l’emploi dans les territoires.

22/02/2016 – Egis livre la 1re phase du futur plus grand hôpital cardio-thoracique d’Europe.
Entamé en mars 2014, le chantier de construction du futur Institut Cœur Poumon (ICP) du centre hospitalier régional universitaire (CHRU) de Lille vient de connaître une première étape importante avec la livraison par Egis dans les délais du bâtiment tertiaire, marquant la fin de la première phase de travaux.

D’une superficie de 18 000 m² environ, ce bâtiment accueillera notamment :

• l’ensemble des services techniques/ maintenance,
• l’entrée malades couchés,
• le hall d’accueil général et les services administratifs de l’hôpital,
• l’ensemble du tertiaire médical.

Sur cette opération, Egis s’est vu confier la mission d’ingénierie complète (études et assistance technique travaux) pour les lots désamiantage – curage – démolition, gros œuvre, charpente métallique, CVC – plomberie – paillasses, fluides médicaux, courants forts et faibles, appareils élévateurs, TAL (transport automatique léger) et VRD (voirie et réseaux divers), ainsi que la mission de coordination SSI (système de sécurité incendie).

La livraison de la 2e phase, qui concerne la réalisation de l’Unité de soins intensifs cardiologiques (Usic) et des 4 premiers blocs opératoires est prévue pour mars 2017. Une nouvelle aile d’hébergement d’une capacité de 180 lits environ sera livrée courant septembre 2017. Deux nouvelles phases successives de réhabilitation et extension du bâtiment existant (moitié Sud, puis moitié Nord) viendront compléter les travaux. L’ensemble des travaux d’extension et de réhabilitation devraient être achevés en juin 2020, portant la superficie de l’ICP à 75 000 m², ce qui en fera l’hôpital cardio-thoracique le plus grand d’Europe.

Architectes : MAES, mandataire du groupement en charge des études de phasage et de la direction de travaux