Un concours architectural est lancé pour la conception, suivi et contrôle des travaux de construction du Centre hospitalier régional de Guelmim. La construction d’un Centre hospitalier régional d’une capacité de 250 lits dans la ville de Guelmim permettra de renforcer et d’améliorer l’accès aux services de la santé dans la région Guelmim–Oued Noun.

L’opération consiste en la construction d’un Centre hospitalier régional d’une capacité de 250 lits sur un terrain de 10 ha. Le budget prévisionnel maximum pour l’exécution des travaux à réaliser est de 275 millions DH.

Alors que le délai pour la réception des dossiers des concurrents expire le 26 août prochain.*

Le nouvel hôpital sera composé de départements d’hébergement (médecine, chirurgie, mère-enfant), les activités ambulatoires (hôpital de jour, consultations, explorations fonctionnelles, hémodialyse…), le plateau médico-technique PMT (bloc opératoire, imagerie, UTA, Urgences, laboratoire…), la logistique (cuisine, buanderie, pharmacie, stérilisation…), et les services administratifs.

Hôpital de référence, ce projet participera sans nul doute au développement des infrastructures hospitalières au niveau de la région de  Guelmim-Oued- Noun, et au renforcement des services de santé de base et leur rapprochement des citoyens qui n’auront plus besoin de se déplacer à Agadir pour des chirurgies compliquées ou certaines pathologies difficiles. A ce jour, la région dispose de 4 hôpitaux généraux, de 21 centres de santé urbains et de 69 centres de santé ruraux. La région ne dispose d’aucun hôpital spécialisé.

Le nombre total de lits est de 385, soit 1 lit pour 1.127 habitants, contre 1 lit pour 991 habitants au niveau national. La région est faiblement dotée en la matière. Outre ces structures, la région dispose d’un secteur privé composé d’une seule clinique, 23 cabinets privés de consultation médicale, 97 pharmacies et 8 cabinets dentaires.

Si la région est bien dotée sur le plan sanitaire, il y a lieu de relever une inégale répartition du personnel et des structures médicales sur le territoire régional. En effet, Guelmim dispose de la plus grande part.

L’encadrement médical public est assuré, au niveau de la région, par 175 médecins dont 90, soit 51,4%, exercent au niveau la province de Guelmim.  La densité médicale est de l’ordre d’un médecin pour 2.479 habitants, nettement meilleure que la moyenne nationale (3.776 hab/médecin). La région dispose de 345 infirmiers dont 76 sages-femmes, 36 anesthésistes et 7 psychiatres.

N.B. HOSPIHUB Selon la synthèse des éléments de  l'Appel d'offres auxquels nous avons eu accès la date limite est pour le 27/07/2017...Vous êtes annonceur sur HOSPIHUB et intéressé par cet appel d'Offres ? contactez-nous pour obtenir les références  du Dossier de consultation et le télécharger.

C'est par un article du Parisien que nous l'apprenons : "La transformation de l’Hôtel-Dieu (IVe) a franchi cette semaine une nouvelle étape : l’Assistance publique Hôpitaux de Paris (AP-HP) vient de désigner le groupement de maîtrise d’œuvre, qui sera chargé de restructurer le site à l’horizon 2024.

Cinq finalistes avaient été retenus et auditionnés par la commission de sélection lancée en novembre, et c’est finalement le projet architectural du cabinet Scau, associé au bureau d’études Setec, qui a été choisi pour cette transformation d’ampleur. Un sujet ultrasensible et polémique, dont les étapes vident peu à peu l’enceinte historique de l’Ile de la Cité de ses services hospitaliers. Début juillet, c’est ainsi le service d’ophtalmologie qui déménagera à l’hôpital Cochin (XIVe). A leur place, le projet médical « Hôtel Dieu 2020 » fait la part belle à la médecine ambulatoire et à la recherche en santé publique.

Le groupement lauréat engagera les études à la rentrée de septembre, pour des travaux lancés en juin 2019 et portant sur les deux tiers de la surface de l’hôpital, soit 32 000 m2. " (...)

Lire l'article entier sur   leparisien.fr

Dans le cadre des nombreuses séances d'explications sur les mesures mises en place par son Ministère pour améliorer la qualité des soins, le Professeur El Ouardi fait aussi l'inventaire de ses actions depuis sa prise de poste.

Il a détaillé ainsi, à l'attention des députés, lors de la séance du 20 juin dernier, que son institution a créé et équipé 88 centres hospitaliers de proximité, dépassant ainsi le nombre de 80 qui était programmé auparavant.

Répondant aux questions orales  sur les problèmes des services d’urgence, le Professeur El Ouardi a indiqué qu’en plus des scanners existants dans les centres hospitaliers publics, 23 autres ont été acquis cette année, tandis qu’un appel d’offre a été lancé pour l’achat de 26 autres l’année prochaine (N.D.L.R. :nous n'avons pas au moment de la publication trouvé les éléments de cet appel d'offres) .

Selon le Ministre, plusieurs mesures ont été prises pour la promotion et la mise à niveau des urgences et la création d’urgences pré-hospitalières (dont 4 hélicoptères et 4 unités mobiles d’urgence)..

Enfin, pour pallier le nombre insuffisant de spécialistes en médecine d’urgence, le Pfr El Ouardi a indiqué qu'une formation spécifique a été mise en place au profit des infirmiers, réalisée par des centres de formation relevant du ministère de la santé.

Des appels d'offres pour des prestations de services aussi

Notre équipe vous propose une sélection d'Appels d'offres actuellement en cours, il y a des besoins importants au Maroc en matière de maintenance et de formation par conséquent. Les références de chaque annonce sont indiquées, ainsi que l'acheteur public à contacter.

A Guingamp, un nouveau centre pour accueillir les enfants en souffrance : c'est le projet présenté par le media lechodelargoat, le 16/06/2017.

"Un nouveau pôle de pédopsychiatrie est en construction près de l'hôpital de Guingamp. A l'initiative de la Fondation Bon Sauveur de Bégard. Un investissement de 2,7 M€ HT.

Le nouveau pôle de pédopsychiatrie est en construction près de l’hôpital de Guingamp (sur la commune de Pabu), dans les Côtes-d’Armor. Il permettra de recevoir les enfants qui souffrent de pathologies très diverses dans de meilleures conditions. Il regroupera une trentaine de professionnels de la santé mentale.

Fin 2018, le centre médico-psychologique pour enfants et adolescents (CMPEA), le centre d’accueil thérapeutique à temps partiel (CATTP) et l’hôpital de jour pour enfants seront réunis sur le même site. Entre l’hôpital et l’ancien couvent des capucins.

2 000 m2 sur trois niveaux

Au pied de la grue qui domine Guingamp depuis avril et le début du chantier. Sur un terrain de près de 5 000 m2.

Le futur bâtiment sera sur trois niveaux, d’une surface totale de 2 000 m2. D’une hauteur maximale de 8,50 mètres. L’accès se fera par la rue de l’Armor (un peu plus haut que le rond-point du centre hospitalier). Coût de l’opération, 2,7 millions d’euros HT pour la Fondation Bon Sauveur, le pôle de santé mentale de Bégard". (...)

Lire l'article complet

Les travaux de construction de l’hôpital général de Doropo, dont la pose de la première pierre a été effectuée en décembre 2016 par le président du conseil régional du Bounkani, Hien Philippe, démarreront sous peu, a fait savoir à la presse  il y a une dizaine de jours, son directeur de cabinet .

Le site de la construction de cette infrastructure sanitaire, se trouve à l’entrée de la ville sur l’axe de Bouna à côté des ruines de l’ancienne maternité dont, souligne-t-on, les travaux de réhabilitation totale sont également prévus par le conseil régional du Bounkani.

Un geste fort salué par les populations de cette localité de près de 38 000 habitants. Celles-ci, en raison de l'absence de certains services médicaux, doivent se rendre fréquemment au Burkina Faso ou à Bouna, à 75 km pour se faire soigner.

« Avec la construction de cet hôpital général, c’est toute la zone nord du Bounkani qui bénéficiera de soins plus adéquats. Les travaux de construction de cette infrastructure démarreront très bientôt, au soulagement de la population », précise le directeur de cabinet.

Les responsables  indiquent que le centre de santé urbain (CSU) de Doropo, jusque-là fonctionnel, a une capacité d'accueil bien en-deçà des besoins, est saturé, et se trouvera soulagé lors de l'ouverture du nouvel hôpital.

Le premier ministre tunisien, Mr Youssef Chahed , en présence du Ministre de la santé, a lancé le démarrage du projet de construction d’un nouvel hôpital pluridisciplinaire dans le gouvernorat de Béja, le 8 juin dernier.

Ce projet s’inscrit dans un contexte où l’ensemble des centres hospitalo-universitaires sont concentrés dans le Grand Tunis et les régions littorales, et le nombre de lits par habitants dans certains gouvernorats continue à être relativement faible à l’instar du gouvernorat de Béja qui ne dispose que de 1,3 lits pour 1000 habitants contre une moyenne nationale de 2,1 lits pour 1000 habitants. Le nouvel hôpital offrira  des soins de proximité et de qualité pour la population des régions du Nord Ouest de la Tunisie qui comptent environ 1,2 million habitants.

Le coût de cet établissement hospitalier est de 150 millions de dinars et la somme est attribuée par un financement anglais.

Il s’étendra sur 15 hectares, les services de soins seront répartis sur une superficie de 8394 m2. La superficie de l’administration et de logistiques s’étendra sur une surface de 4058 m2. Il sera doté d' une pharmacie, d'un service de stérilisation centrale, d' un service de banque du sang, d'un département d’hygiène et d'une unité de médecine légale.
Selon le site livretsante.com, ce nouvel établissement aura une capacité de 173 lits dans les services de différentes spécialités et 150 lits pour les services de chirurgie.
 

Comment avance le chantier du nouvel équipement hospitalier de la ville de Saint-Paul à la Réunion ?

Le lancement  de sa construction a débuté en septembre 2015 - cf notre article du 14 juin 2016 . Situé sur la zone de Cambaie à l'entrée Nord de la ville de Saint-Paul,  le Pôle Sanitaire Ouest (PSO) doit être livré en août 2018, et accueillir le Centre Hospitalier Gabriel Martin, actuellement implanté en centre-ville. Le déménagement étant fixé à mars 2019.

Selon nos informations, voici ce qui est constaté, à la date du 31 mai 2017 :

•  La phase de clos couvert est achevée. Ce qui veut dire de manière générale dans le BTP que les dalles, murs porteurs et huisseries extérieures ont été posées tout comme le toit. A ce jour, l’ensemble des bâtiments sont hors d’eau et hors d’air. Et à l'intérieur, de nombreuses cloisons, fermetures etc. sont aussi déjà en place. ​
•  On estime l’avancement global à 51%. Ce qui signifie que les délais prévus initialement sont respectés.
• Autre information importante : à ce jour, l’enveloppe budgétaire initiale de 127 millions d’euros est également tenue.

Pour mémoire, les éléments essentiels du projet :

• Il s'agit d'un projet en CONCEPTION/RÉALISATION

• Mandataire entreprise générale : Demathieu Bard
• Architecte : AIA Architectes avec l’Atelier architecte

• 28 900 m2 de surface sur 5 niveaux, 45 000 m2 avec plafonds et terrasses

• 310 lits et places répartis en 251 chambres dont 207 individuelles et en hôpital de jour.

• 28 salles de consultations externes au rez-de-chaussée

• 2 IRM, 2 scanners 

• 564 places de parking

Le projet dans sa dimension environnementale Les informations suivantes sont issues du document "candidature off DD" daté de septembre 2014.

"Le projet du PSO procède de la volonté du Centre Hospitalier Gabriel Martin d’offrir aux usagers et au personnel, un établissement sain, confortable et économe, dont la conception et l’exploitation répondent au développement durable de l’île.

Contexte

• Conserver le passé agricole, en restaurant à l’identique les édifices patrimoniaux (7 bâtiments).
• Restituer à l’ensemble bâti de l’ancienne demeure agricole de « La Poncétière » ses qualités paysagères
• Associer la nature et le construit pour animer et rassurer avec une intériorité apaisante.
• Assumer un rôle d’articulation entre le « village hospitalier » et l’hôpital psychiatrique situé au sommet du talus, afin de créer un ensemble architectural unique.

Parti paysager

• Le projet s’implante de façon idéale dans le contexte paysagé. La végétation omniprésente est pleinement intégrée au projet par des coulées vertes qui pénètrent au cœur des bâtiments en prolongement logique de la nature au travers du bâti.
• Les espaces végétalisés représentent 54% de la parcelle et le nouveau bâtiment une surface de 14%.

Gestion de l’eau

• Aménagement de noues, d’un bassin de rétention/infiltration et limitation du débit en sortie.
• Traitement des eaux pluviales issues des parkings et voiries à travers ces noues et le bassin.
• Dimensionnement des collecteurs et du réseau eaux pluviales pour des événements rares de façon à éviter toute mise en charge du réseau et tout ruissellement en surface.

Climatisation naturelle

• Un des objectifs majeurs du projet est de mettre en fonction le rafraichissement ou la climatisation pendant des périodes réduites, au strict nécessaire. Le confort thermique peut-être grandement amélioré grâce à une ventilation assurant des vitesses résiduelles de l’air supérieure à la normale
• Le projet a développé un jeu de puits dépressionnaires qui extraient l’air de transit des volumes intérieurs.
• Le Hall d’entrée est conçu sur un système aérodynamique traversant de par sa transparence de façade à l’Ouest et à l’Est.
• Etude menée en collaboration avec la soufflerie Eiffel et Jacques Gandemer. Phase 1 déterminer les coefficients moyen de pression sur les façades et dans les patios - Phase 2 étude qualitative du fonctionnement de la ventilation naturelle dans les locaux.

Choix directeur et parti architectural

• Architecture sous forme de patio, avec une séquence « pièce –circulation –patio » pour irriguer de façon optimale les locaux non contraints (bureaux – chambres d’hébergement).
• Porosité des façades : ouvrant à la française – brise soleil fixe orientable non relevable. Jalousie vitrée sur les patios.
• Dimensionnement des écopes en toiture avec la Soufflerie, pour atteindre « l’effet de pompe » recherché

Maîtrise des consommations énergétiques tous postes et tous services

• Dispositions mises en œuvre sur le bâti : surtoiture isolée et ventilée avec débord pour mise à l’ombre des façades – protection solaire généralisée – porosité des façades – isolation des locaux process – possibilité de ventilation naturelle (la moitié des surfaces du programme).
• Dispositions mises en œuvre sur les systèmes : chambres d’hospitalisation traitées en ventilation double flux rafraichie – brasseur d’air dans les bureaux (complément) –récupération d’énergie sur les groupes froids – production ECS solaire pour l’eau chaude – stockage d’eau glacée – production photovoltaïque sur ombrière piétonne – traitement des locaux process (équilibrage – réduit de nuit – filtration...).
• Répartition des consommations : 55% ventilation et auxiliaires – 28,6% refroidissement– 8,8% ECS – 7,6% éclairage.

Confort

Un lieu de soins, avec des attentions spécifiques :

• Acoustique : voie routière – circulation sur le site – Pôle Energie
• Visuel : exigence FLJ pondéré Addendum Dom-Com - critère autonomie important
• Hygrothermique : STD Virtual Environnement – Diagramme de Givonni
• Sanitaire : choix des matériaux – processus de nettoyage – renouvellement d’air"

Selon Ouest-France du 9 juin dernier : les travaux de l’hôpital de Le Palais vont démarrer...." C’est ce qu'a confirmé Françoise Bruneaud, directrice déléguée du site, vendredi, après le lancement des travaux officialisé par François Hollande le 28 avril dernier.

Les étapes du projet

Il se déroulera en trois temps. « Les services abrités dans l’aile ouest du bâtiment de médecine - accueil administratif, admissions, radiologie, télé-échographie et soins inopinés - seront déménagés pour être opérationnels dès le 12 juin au soir, au rez-de-jardin du bâtiment principal de médecine. La destruction de cette aile débutera dès la fin du mois de juin. C’est la phase d’opérations préalables », précise Françoise Bruneaud, directrice déléguée du site.

La construction du nouveau bâtiment se déroulera au cours de la période qui courra de septembre 2017 à mars avril 2019, date prévue pour la réception des travaux. « La livraison du nouvel hôpital devrait intervenir au cours du dernier trimestre 2019, à la fin des opérations de déménagement et l’implantation des espaces de stationnement ». lire l'article complet.

CONAKRY- La construction et la réhabilitation des infrastructures sanitaires est une priorité chez le Ministre Abdourahmane Diallo. Ce mercredi 7 juin 2017, le Ministre de la santé, accompagné de son homologue de l’aménagement du territoire, était sur le chantier de rénovation de l’hôpital Donka de Conakry, a constaté sur place Africaguinee.com.

Ce chantier dont la pose de la première pierre a été effectuée le 05 octobre 2015 par le chef de l’Etat Guinéen Alpha Condé est à 68% du taux d’avancement pour un délai contractuel de 21 mois.

Pour le Ministre Santé, Abdourahmane Diallo, le projet de rénovation et d’extension de l’Hôpital National Donka est rentré dans sa dernière phase d’exécution. 

‘’ Depuis la dernière visite que j’ai effectuée dans cet hôpital en rénovation, je suis content de constater que les travaux de finition sont entamés. Le second objectif qui est très important, c’est cette visite conjointe de mon homologue de la ville et de l’Aménagement du territoire, même si le ministère de la santé est le maitre d’ouvrage d’ici, cette infrastructure n’existe pas d’elle-même. Elle est connectée à son environnement de mille et une manières. Je suis optimiste et content de l’évolution, le gros des travaux est fait’’ s’est félicité le ministre de la santé, avant de revenir sur les difficultés auxquelles sont confrontées son département dans l’exécution des travaux.

‘’Naturellement comme dans l’exécution de tous gros chantiers comme celui-ci, il y a des difficultés sur le terrain mais il faut faire des ajustements (… ), c’est comme le cas du bloc de la maternité où en plein travaux on s’est rendu compte que l’infrastructure existante il y avait des fissures partout. Donc dans le but de faire un travail de qualité et durable, il y a eu une réunion technique de travail, la décision de démolir et de recommencer a été prise pour faire un travail de qualité’’ a indiqué Docteur Abdourahmane Diallo.

(...)

 ‘’C’est une grande infrastructure qui va recevoir plus de 600 lits d’hospitalisation avec des salles VIP  et humanisées où nous n’avons plus besoin mettre à la fois des malades ensemble, où la dignité des personnes n’étaient pas respectées. Aujourd’hui nous sommes heureux de constater que ces salles d’hospitalisations sont des salles de luxe permettant de réduire dans un futur proche l’évacuation sanitaire vers l’extérieur. (...)" s’est félicité pour sa part le Ministre Louceny.

‘’Le coût global de réalisation est pris en charge par un co-financement:

• Le Génie civil est financé à concurrence de 32 millions de dollars par le fonds saoudien de développement.
• Les équipements et la formation, l’appui à la gestion de l’hôpital est financé sur le Fond de la BID à concurrence de 28,8 millions de dollars.
• Le bureau d’étude est payé à près de 12 milliards GNF pour le travail qui a été effectué et également dans le même fonds avec un appui à Ebola d’un montant de 6 millions de dollars’’ a précisé le Docteur Aboubacar Conté spécialiste en gestion des projets au ministère de la Santé."

Article source

Lire aussi : en avril 2017 : Conakry : le Ministre Abdourahmane Diallo distingue trois hôpitaux

Les articles HOSPIHUB : février 2016 : Le nouveau ministre de la Santé visite les chantiers hospitaliers

octobre 2015 Travaux de réhabilitation et d’extension pour l’hôpital Donka

Lundi 31 mai dernier, Francis Teulier, le Directeur du centre hospitalier de Figeac, a présenté les plans, visuels et façades du futur établissement, qui entre dans sa phase de réalisation.

Le projet prévoit une extension : un bâtiment sur trois niveaux construit côté ouest  et relié à l'existant par une large passerelle fermée. L'accueil général du public et les services de médecine y seront abrités.

Pour André Mellinger, maire de la ville et président du conseil de surveillance du centre hospitalier : «C'est un dossier de longue date qui aboutit. La réflexion aura été longue entre un hôpital neuf à l'Aiguille, une rotonde adossée à l'existant, et ce projet définitif. Francis Teulier a su relever ce challenge pour débloquer notre dossier et faire en sorte qu'il aboutisse».

Le Directeur a indiqué que l'investissement consacré à cette extension est de 7.1 M€, dont 5.10 M€ apportés par l'ARS, le reste étant financé par emprunt.

Pour sa part, Jean-Philippe Lemozit, président de la CME du centre hospitalier, estimait que cette opération  d'extension et modernisation contribuerait  à renforcer l'attractivité de l'hôpital. D'autant que les spécialités actuellement dans l'offre de soins seront conservées, et que les nouveaux locaux adaptés pourront accueillir des médecins extérieurs aussi sur des activités telles que la neurologie, la rhumatologie, l'endocrinologie et la diabétologie.
 

Le projet d'extension en trois axes :

• Repositionner une entrée générale et l'accueil pour les admissions à proximité du grand parking public tout en ayant les consultations externes regroupées en rez-de-chaussée, avec la pharmacie de l'hôpital.
• Dédier les étages à la médecine, avec au 1er niveau : 30 lits de médecine polyvalente, de cardiologie et de gastro-entérologie, etc. ; et au 2e : 18 lits du service de médecine gériatrique et court séjour, avec deux lits pour les soins palliatifs.
• Dans un souci d'optimisation de ses moyens et de ses capacités, l'hôpital procédera ensuite à l'agrandissement des urgences sur les actuelles surfaces dédiées aux admissions des patients et aux consultations externes, soit plus de 100 m2. Les autres surfaces libérées serviront à créer une salle de restauration, des vestiaires, bureaux et locaux d'archives.

C'est le groupement d'architectes Calvo-Tran Van (mandataires toulousains) et Casadepax-Charras (architectes figeacois co-traitants)  qui a remporté ce projet.

La phase d'avant-projet détaillé va se dérouler entre juin et décembre 2017. Puis suivront celle des études, consultations et appels d'offres aux entreprises, avec pour objectif une ouverture de chantier en mai 2018, et une livraison en janvier 2020.