Projet hospitalier

L'hôpital National de Niamey a abrité vendredi dernier (08/09/17), la cérémonie de signature de convention et la pose de la première pierre de la construction d'une salle  de consultation au niveau de service des urgences de l'hôpital national de Niamey. Cette cérémonie présidée par le ministre de la Santé Publique, Dr Idi Illiassou Mainassara,  s'est déroulée en présence de la représentante du groupe ABI, Mme Ango Nana Aissa, plusieurs membres du gouvernement, de M. N'gan Coulibali DG/A de la Banque Atlantique au Niger, Dr Ali Maazou DG de l'Hôpital National de Niamey et de plusieurs autres et invités.

Cette convention porte sur le financement et l'équipement d'un bâtiment à un coup global de 40 millions de franc CFA à l'hôpital national de Niamey.

Le groupe Banque Atlantique dans le cadre de sa politique de responsabilité sociale et environnementale a répondu favorablement à l'appel  lancé par les autorités de l'hôpital national de Niamey, pour améliorer les conditions de travail au service des urgences de l'hôpital à travers la construction d'une nouvelle salle de consultation.

(...)

Le projet de construction de ce bâtiment a pour objectif de permettre à l'Hôpital National de Niamey de disposer d'infrastructures et de matériels adéquats afin de faciliter l'accès aux soins à une population cible d'environ 3 millions de personnes, il vise également à garantir à l'équipe hospitalière de meilleures conditions de travail, dans la structuration de la prise en charge aux urgences et du parcours des malades .

« La future salle de soins, dédiée à la consultation au niveau du service des urgences, représente une capacité d'accueil de 803 Lits dont l'ouverture est prévue fin novembre 2017, sera entièrement équipée parla Banque Atlantique », a-t-il précisé." (...)

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Le ministre de la Santé marocain, le Professeur El Houssaine Louardi, a depuis plusieurs semaines un emploi du temps bien chargé en inspections ou lancements de chantiers hospitaliers.

Vendredi dernier, 08/09/2017, il s’est encore rendu sur le terrain, à Errachidia pour visiter le chantier de construction de l’hôpital d’Erfoud dont l’investissement atteint 120 millions de DH et. À en croire le département, les travaux sont achevés à hauteur de 40%. Le délai fixé pour l’exécution de ce projet d'une capacité de 86 lits est de 15 mois.

Dans la localité de Rissani, Louardi a cette fois-ci lancé les travaux de construction d’un nouvel hôpital. L'infrastructure, dont le coût s’élèvera à 98 millions de DH, sera réalisée sur un terrain de 4 ha et affichera une capacité d'accueil de 45 lits. Elle sera livrée dans trois ans.

Par la suite, le ministre a procédé en présence du Wali de la région de Drâa-Tafilalet et Gouverneur de la province d'Errachidia, Mohamed Benribag, à la remise d'équipements tels que cinq ambulances et huit unités médicales mobiles destinées aux centres de santé dans les zones rurales de la région.

180 tonnes de médicaments et dispositifs médicaux, pour le traitement des maladies cardiovasculaires, le diabète, l’asthme, les maladies mentales et psychique, la thalassémie, l’ulcère, les maladies d’insuffisance rénale, outre du matériel médical de maternité ont également été distribuées à la Direction régionale de la santé.

L'association pour le développement du Wê (Adewe), créée en août 2012 en France est à la tête d'un vaste projet de développement dans différents domaines, dont celui de la santé. A ce titre, elle a initié le projet de l’Hôpital Inter Régional Social Adewe (Hirsa) en Côte d’Ivoire.

L’Adewe prévoit un budget global de 30 millions d’euros incluant 15 millions pour les équipements, pour cet hôpital qui sera construit sur une surface de 12,5 ha dans la localité de Pinhou, au bénéfice de l’agglomération du Guémon et du Cavally dans l’ouest de la Côte d’ivoire. Les travaux de préparation du terrain - offert par les communes - ont commencé depuis mars 2017 avec la visite de conformité du site faite par le ministère de la santé.

« Ce projet vient combler le déficit des centres de santé dans la région et palier aux manques de soins de première nécessité dans cette zone majoritairement villageoise, et par conséquent, créer des emplois pour nos jeunes » nous a confié Armand Zahon, le président de l’association Adewé.

L’hôpital inter-régional social ADEWE est une structure de santé publique de type mutualiste à but non lucratif. C’est la raison pour laquelle l’association a mis en place une mutuelle de santé qui prendra en charge l’intégralité des dépenses de santé de ses adhérents. L’adhésion est fixée à 5000 fcfa et la cotisation annuelle à 20.000 fcfa. Elle donne droit à l’hospitalisation, aux soins de toutes les pathologies et aux médicaments. Mais si cette option est réservée aux villageois sinon aux plus démunis, les cadres quant à eux paieront une adhésion unique et 25% des frais de soins reçus.

La gestion de l’HIRSA relève de la compétence de la Mutuelle de Santé du même nom «ADEWE » qui pour son bon fonctionnement, sera dotée d’un conseil d’administration et d’un directoire financier.

Concernant le financement de ce projet, l'association Adewe, que l'équipe d'HOSPIHUB a pu contacter, espère beaucoup de la générosité des ivoiriens de la diaspora, qui sont conviés au Gala de levée de fonds prévu  le 4 novembre 2017 au 179 boulevard Serrurier à Paris 19ème. Les dons sont attendus sous toutes formes : équipements et matériels médicaux,  et numéraires.

Selon Armand Zahon, malgré la qualité du projet et des études de faisabilité présentées, il est difficile d’obtenir des aides institutionnelles internationales comme par exemple l’AFD, car il s’agit d’un projet associatif, classé privé. 

L’état ivoirien ne dispose pas dans sa stratégie actuelle de fonds pour participer à la création d’un établissement de santé dans cette région. mais le ministère a assuré l’association de la mise à disposition et de la formation de personnel médical et soignant une fois le projet construit.

La recherche de fonds ou dons auprès d’équipementiers hospitaliers se heurte à la difficulté de fournir un plan d’équipement abouti : ce qui est en train de se résoudre, l’association travaillant actuellement avec un ingénieur biomédical d’un grand hôpital en région parisienne.

D'autres pistes sont explorées afin de parvenir à boucler le budget minimum demandé par les bailleurs de fonds qui sont d’ores et déjà favorables au financement du projet.

La cérémonie de pose de la première pierre de l’hôpital est prévue pour le 16 décembre 2017 à Pinhou : un grand défi à relever ! Tous les membres de l'association s'activent ardemment pour que la soirée de gala du  4 novembre 2017 soit un succès.

Le projet HIRSA (hôpital inter-régional Social ADEWE) est ainsi présenté par l'association :

Les plans architecturaux ont été signés par Arnaud Sawadogo, de SAD ARCHITECTURE. Le coût de la construction est estimé à environ 10 milliards de francs CFA (15 millions d’euros) et la durée sera de 4 ans. La demande d’accord tacite de construction à été obtenue depuis le 10 Avril 2017 auprès du Ministère de la Santé et de lutte contre le Sida, tandis que la demande d’autorisation d’importation des équipements médicaux est en cours de traitement.

Un plateau technique ambitieux, un projet logistique et un système d’information hospitalier au service de la qualité

Doté de 400 lits et places sur 12 ha, l’Hôpital HIRSA disposera d’un plateau technique moderne. Accessible du fait de son inter connexion aux autres départements par un réseau routier de qualité, il offrira un parking visiteurs de 400 places.

Afin de satisfaire aux attentes des populations, l’Hôpital HIRSA ADEWE se composera de Pôles de santé et d’unités. Conçu selon les normes européennes, et adapté au spécificités climatiques le projet propose outre le plateau technique de moderne et de qualité, la création d’une plate-forme logistique centralisée (blanchisserie, cuisines et cantines, magasins, déchets, énergies).

Sur le papier, il est aussi prévu un système d’information conçu pour améliorer l’accueil et la gestion des soins, à travers des terminaux multimédia dans chaque chambre à usage du patient (télé, internet, téléphone) et des professionnels de santé (accès au dossier de soins), ainsi qu’à travers la mise en œuvre d’un réseau, pour le partage des données d’imagerie, et d’un dossier patient partagé.

Au plan environnemental, nous avons noté que là encore l’association a veillé : ainsi, l’hôpital HIRSA sera doté  d’une station de traitement de déchets de très haute technicité incluant un incinérateur et un système d’épuration des eaux usées pour permettre au HIRSA de répondre aux normes de l’OMS.

Par ailleurs une étude d’impact environnementale sera effectuée par des experts et les résultats seront publiés pour approbation publique avant le démarrage des travaux.

Dans le détail, le projet comporte plusieurs départements, et pôles parmi lesquels :

- Appui à la qualité des soins afin de regrouper des services transversaux de l’hôpital avec missions contribuant à la qualité de la prise en charge du patient et à son évaluation.

- Pharmacie : Achats, dispensation avec analyse des prescriptions et préparation des médicaments et des dispositifs médicaux stériles. Réalisation de préparations de médicaments en zone contrôlée (cytotoxiques, préparations radio pharmaceutiques).

- Stérilisation : Traitements des dispositifs médicaux stériles destinés à l’ensemble des services et blocs opératoires de l’hôpital. Conseil et centralisation des commandes de dispositifs médicaux restérilisables.

- Prévention risque infectieux : Ce département assurera la prévention du risque infectieux lors de tous les actes professionnels : protocoles, audits, surveillance, formation

- Département de don et collecte de sang : Assurera la collecte, le contrôle et la dispensation de sang et autres produits sanguins

- Département d’Information Médicale : Recueil et analyse des données d’activité médicale, ….Évaluation des Pratiques Professionnelles, Évaluation des pratiques professionnelles, réalisation d’enquêtes et d’audits,…

Les Pôles :

- Pôle de bio-pathologie.

- Pôle de Chirurgie et anesthésie-réanimation adultes

Le pôle « chirurgie anesthésie-réanimation adultes » prend en charge l’ensemble des pathologies nécessitant une intervention chirurgicale et, dans certains cas, un traitement médical, dans l’ensemble des disciplines chirurgicales . Le pôle disposera d’un plateau technique moderne constitué de 5 salles de blocs opératoires et d’une unité de réanimation chirurgicale de 10 lits. La prise en charge des patients sera réalisée soit en hospitalisation traditionnelle (135 lits répartis entre les disciplines chirurgicales), soit en mode ambulatoire (sans hébergement) au sein d’une unité d’anesthésie et de chirurgie ambulatoires de 6 lits. Les spécialités envisagées :

• chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique
• chirurgie vasculaire et angiologie
• chirurgie viscérale, endocrinienne et thoracique
• neurochirurgie
• ophtalmologie
• ORL
• orthopédie
• traumatologie
• urologie
• andrologie
• stomatologie

- Pôle Femme et enfant (Maternité, Gynécologie, Pédiatrie, Chirurgie pédiatrique, Anesthésie-réanimation pédiatrique, Anesthésie-réanimation adultes)

- Pôle Imagerie  

- Pôle Médecine (Dermatologie, Médecine interne, Néphrologie, Rhumatologie, Gastro-entérologie, Maladies infectieuses et tropicales, Urgences médicales, Rééducation fonctionnelle )

Les autres composantes de l’HIRSA ADEWÈ

Composante du projet et pas des moindres pour un projet situé en Afrique :  la Mutuelle ADEWE a initié l’implantation d’un ensemble immobilier au service du personnel de l’HIRSA. Ainsi L’édification de la Cité ADEWE qui représente l’une des importantes réalisations du projet de l’association ADEWE devra permettre au personnel : cadres, employés, ouvriers du site, de bénéficier de toutes les commodités nécessaires à leur épanouissement dans l’exécution de leurs tâches quotidiennes.

Cette Cité disposera de logements décents et confortables, d’une école maternelle et primaire, d’une pharmacie, d’un super-marché, d’une boulangerie, d’une station d’essence, d’un emplacement (boucherie-poissonnerie dotée d’une chambre froide) ; des espaces de loisirs et de sports, etc.

NB : l’équipe d’HOSPIHUB ne manquera pas de suivre ce projet et de vous mettre en contact, si vous souhaitez en savoir davantage et apporter une aide sous quelque forme que ce soit à l’association.

Dans notre publication de juin 2016, nous faisions la présentation de ce projet à Mulhouse.

Après des problèmes lors de la phase de réalisation des fondations, le nouveau bâtiment sera finalement opérationnel courant novembre 2017. Le déménagement est donc en préparation. « Nous allons ouvrir un espace de 23 000 m² réparti sur six étages, contre 17 000 m² actuellement. C’est toute une organisation à mettre en place. Le transfert de la maternité et de la pédiatrie du Hasenrain sera lissé sur trois semaines. Il est déjà prévu que l’hôpital fonctionnera sur les deux sites pendant quinze jours, sauf pour les services sensibles comme la néonatalogie » a indiqué Dominique Reuschte, un des Responsables du chantier, à lalsace.fr, du 02/09/17.

Les nouveaux locaux sont répartis ainsi :

• Au rez-de-jardin : le lactarium, des locaux techniques et des salles de réunion. 
• Au rez-de-chaussée : l’accueil, les urgences pédiatriques et les consultations. 
• Le premier étage : réservé aux médecins, personnel médical et consultations pédiatriques, il comprend toutes les installations nécessaires des différents plateaux techniques. 
• Le deuxième étage : les urgences maternité et le service de néonatalogie.
• Le troisième étage : la pédiatrie, les chambres des enfants accueillis de 0 à 18 ans.
• Le quatrième étage : service d'hospitalisation des patientes de la maternité

N.B. : Rémy Butler est l' architecte en charge de ce projet.

Découvrez  la vidéo récemment mise en ligne sur Dailymotion

Lundi 21/08/201, le projet du nouvel hôpital de Sambre-Avesnois  a entamé la phase du terrassement et des voies d'accès provisoires. Bulldozer, pelleteuse, tracteurs, bennes…ont commencé leurs va-et-vient.

"En septembre, les ouvriers passeront la main à ceux de Montaron, à Maubeuge, pour «  la voirie, la fin du terrassement et l’assainissement  », précise Thierry Phillipart, le directeur dans une interview à la voixdunord. Un travail assez délicat, puisque le terrain n’est pas des plus faciles à travailler : d’une part, «  il y a un important dénivelé de 14 m qu’il faut prendre en compte dans les questions de mise en accessibilité du site  ». D’autre part, le sol présente «  un fort clivage de matériaux (argile, calcaire…) et la présence de cavités souterraines.»

(...)

Bouygues Bâtiments Nord Est pourra ensuite s’affairer à la construction de l’imposant bâtiment de 130 mètres de long sur 80 mètres de large qu’a imaginé l’agence d’architecture Brunet Saunier, capable d’accueillir 265 lits, un parking de plus de 500 places et une hélistation en terrasse. Le tout pour une enveloppe de 115 millions d’euros.

Les équipes médicales devront cependant encore s’armer de patience avant de quitter l’établissement du centre-ville. La première pierre du centre hospitalier «  devrait être posée en septembre  », assure le maire, Arnaud Decagny. L’ouverture au public, elle, est prévue au second semestre 2020.(...)

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Un projet à suivre aussi sur le site de l'hôpital

Au cours d'une cérémonie présidée par la gouverneure Aldina da Lomba Catembo, le ministre de la santé angolais Luis Gomes Sambo a posé la première pierre pour la construction de l'Hôpital général de Cabinda vendredi 18/08/2017 à Luanda .

La première phase ainsi lancée comprend un bâtiment de neuf étages d'une capacité de 110 lits, sur les 200 lits prévus à terme.

Le  projet, dont le budget estimé à plus de 27 milliards de kwanzas ( soit environ 137 millions d'euros)  est prévu d'être exécuté en 24 mois. Il sera contruit sur une zone de 48.575 mètres carrés dans la localité de Chibodo, près de la ville de Cabinda.

Le ministre de la Santé a précisé qu'il s'agissait d'un projet financé par l'Exécutif, dont l'offre sanitaire comprendra des services de  médecine interne,  pédiatrie, chirurgie, gynécologie et obstétrique, une unité de soins intensifs et une salle des urgences.

Selon lui, ce nouvel hôpital représentera une réelle valeur ajoutée dans le réseau de soins de la province,  en termes de qualité, par sa  technologie et la spécialisation du personnel.

Pour sa part, la gouverneure Aldina da Lomba Catembo rappelant que le projet répondait aux souhaits de la population de Cabinda, a exhorté l'entreprise chargée des travaux à respecter les du contrat et celle en charge de l'inspection à accomplir sa mission.

La ministre de la Santé Samira Meraï de Tunisie a annoncé vendredi 18/08/2017 de nouvelles mesures pour améliorer l'offre de soins du gouvernorat de Zaghouan :

• Modernisation de quatre centres de santé de base qui passeront de la catégorie 2 à la catégorie 4,
• Création de quatre nouveaux centres de santé de base (catégorie  4) dans le cadre des projets de développement intégré à Oued el-Kenz, Zriba, Dleyil Laarous, Bir Mchergua, la cité de la police et Bir Mgara (el-Fahs),
• Création d'une  unité médicale de traitement des maladies du sang et du cancer,
• Ouverture d’un service d’urgences au centre intermédiaire de Zriba et à l’hôpital local d’el-Fahs.

La ministre a complété son annonce par ses projets en équipements médicaux. Ainsi, une ambulance (catégorie B) sera accordée à l’hôpital local d’Ennadhour, une unité médicale mobile sera créée à l’hôpital local d’el-Fahs et une autre à l’hôpital régional de Zaghouan.

Elle s’est également engagée à fournir à la région un bus pour le transport des malades dialysés , à allouer une enveloppe d’1.4 million de dinars pour équiper le service d’urgences de l’hôpital régional de Zaghoun et à le doter l’an prochain d’un scanner performant.

Lors de sa visite à Zaghouan, Mme Meraï a donné le coup d’envoi aux travaux de construction du centre de santé de base de Kediet Chaïr (el-Fahs) et visité les divers services de l’hôpital régional de Zaghouan.

Après la France, voici notre sélection de l'actualité projets hospitaliers au Maroc pendant l'été. Il en ressort que le Ministre de la santé du Royaume a réalisé de nombreuses visites et inaugurations sur le terrain. D'autres sont attendues, ainsi que des mises en construction.

EN AOUT

Màj 22/08/2017 18:00:00

Mediouna bénéficie d'un nouvel hôpital

Le ministre de la Santé, El Houcine Louardi, a présidé vendredi 18 août 2017, la cérémonie de mise en service d’un nouvel hôpital à Médiouna pour un coût de réalisation estimé à 57 millions de DH.

Construit sur une superficie de 23.479 m2, cette structure hospitalière d’une capacité de 45 lits est dotée d’équipements ultra-modernes biomédicaux, dont un scanner et comprend notamment une unité de médecine, une unité mère et enfant et une unité de chirurgie, ainsi qu’un service des urgences et deux unités de radiologie. L’hôpital abrite également un bloc opératoire, 4 salles de consultations externes, une unité de stérilisation, un espace d’accueil, un laboratoire équipé et une morgue avec salle d’autopsie. 60 cadres médicaux et biomédicaux y officient.

Cette structure, réalisée en partenariat avec le Conseil de la région Casablanca-Settat,...lire la suite

Casablanca: mise en service de l’hôpital de proximité de Sidi Moumen

Le ministre de la Santé, El Houcine Louardi, a présidé vendredi (11/08/2017 ) à Casablanca, la cérémonie de mise en service de l’hôpital de proximité de Sidi Moumen, dont le coût de réalisation est estimé à plus de 67.634.000 dhs.

Construite sur un terrain de 14.132 m2, cette structure hospitalière d’une capacité de 45 lits est dotée d’équipements ultra-modernes biomédicaux, dont un scanner, et comprend notamment une unité de médecine, une unité mère et enfant et une unité de chirurgie ainsi qu’un service des urgences et deux unités de radiologie.

L’hôpital est doté également de deux blocs opératoires, 4 salles de consultations externes, une unité de stérilisation, un laboratoire équipé et une morgue avec salle d’autopsie.

S’exprimant à cette occasion, M. Louardi a indiqué que cette structure vient consolider l’offre en matière de santé au niveau de la région Casablanca-Settat,

En savoir plus sur  lavieeco.com
 

EN JUILLET

Marrakech : Inauguration du Centre d'hémodialyse de l'hôpital Ibn Tofail

Le Centre d'hémodialyse de l’hôpital Ibn Tofail relevant du Centre hospitalier universitaire (CHU) Mohammed VI a été inauguré, vendredi à Marrakech, après son aménagement et son équipement.

Les travaux d’aménagement et d’équipement de ce centre, dont le coût financier s’est élevé à 500.000 dirhams, ont porté sur l’acquisition de 13 nouvelles machines d’hémodialyse (générateurs) pour atteindre un nombre de 23 machines et une salle dédiée au stockage, ainsi que sur l’aménagement et l’équipement de la salle d’hémodialyse.

Ce centre, qui a été inauguré par le Wali de la région Marrakech-Safi, Abdelfettah Labjioui, se compose de 3 salles de dialyse, 3 bureaux, une salle d’attente, un bureau pour les médecins internes, une pharmacie, une salle pour le stockage et d’autres espaces.

Dans une déclaration à la MAP, le professeur de néphrologie et chef de service au centre d'hémodialyse Ibn Tofail, Inass Laouad, a indiqué que la réalisation de ce centre a mobilisé un montant global de plus de 2,24 millions de dirhams (MDH) dont la construction d’une station de traitement d’eau…

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Un nouveau centre hospitalier de proximité inauguré à Rich

Le ministre de la Santé, Houcine El Ouardi, a inauguré le vendredi 29/07/2017  un nouvel hôpital de proximité à Rich, dans la province de Midelt.

Les infrastructures de santé dans la province de Midelt viennent d’être renforcées suite à la mise en service, vendredi 28 juillet, du nouvel hôpital de proximité à Rich construit avec un budget de plus de 76,53 Millions de DH.

Le nouvel hôpital est doté de plusieurs unités dédiées à la médecine générale, la gynéco obstétrique et la pédiatrie, en plus d’un service des urgences, deux salles de radiologie et un bloc opératoire.

Il comprend également un laboratoire équipé de matériels modernes, une morgue, une pharmacie et d’autres structures.

Edifié sur un terrain de plus de 4.000 m2, l’hôpital présentera ses prestations à plus de 122.000 personnes conformément à la politique sanitaire suivie par le département de tutelle visant à rapprocher les prestations de soins des habitants, à alléger la pression sur d'autres centres hospitaliers de la région et à réduire les disparités territoriales.

Selon le ministère de la Santé, cette nouvelle structure, qui dispose d’une capacité de 45 lits avec des équipements biomédicaux modernes et de haute qualité, permettra de renforcer l’offre de soins au niveau de la région Drâa-Tafilalet surtout après l’inauguration du nouvel hôpital provincial à Midelt et de l’hôpital local à Kelâat Mgouna, et le lancement des travaux de construction du Centre hospitalier provincial (CHP) à Tinghir.

Source : CP Ministère

Azrou: Un hôpital des spécialités pour 54.000 habitants

"L’Exécutif de Saâdeddine El Othmani semble avoir senti la «chaleur» des revendications sociales des populations vulnérables. Ses ministres sont mobilisés pour répondre aux doléances des petites bourgades. Ils entament d’ailleurs une tournée dans les différentes provinces du Royaume.

C’est ainsi qu’El Houcine Louardi a fait le déplacement, la semaine dernière à Azrou, pour l’inauguration de l’hôpital du «20 août». Le ministre de la Santé était accompagné notamment du Secrétaire d’Etat (MP) chargé du développement rural et des eaux et forêts, Hamou Ouheli, qui est par ailleurs président du conseil provincial d’Ifrane, le wali de la région Fès-Meknès, Essaid Zniber, le gouverneur de la province d’Ifrane, Abdelhamid El Mazid, et le député (MP) d’Ifrane, Mohamed Ouzzine. 

«J’étais la semaine dernière à Tinghir pour lancer la construction d’un hôpital de 120 lits, avant j’étais à Midelt pour ouvrir un hôpital, idem pour Khénifra… A Al Hoceïma, deux hôpitaux sont en cours de construction. Tout cela pour dire que nous sommes dans l’action et pas dans la réaction», précise le ministre de la Santé. Dans une déclaration à L’Economiste, ce dernier a noté qu’il inaugurera incessamment un nouvel hôpital dans la localité d’«Errich» (près de Missour)…"

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Casablanca: inauguration du nouveau service des urgences de l’hôpital Moulay Youssef

Le ministre de la Santé, El Houssaine Louardi, a inauguré, mardi (18/07/2017) à Casablanca, le nouveau service des urgences du Centre hospitalier régional Moulay Youssef relevant de la préfecture des arrondissements de Casablanca-Anfa, après huit mois de travaux de restauration, de réhabilitation et d’équipement.

Cette mise à niveau, qui s’inscrit dans le cadre du Plan national des urgences médicales, a nécessité un investissement d’environ 2,1 millions de dirhams (MDH), réparti entre le ministère de la Santé et l'Initiative nationale pour le développement humain (INDH).

Ce service se compose principalement de trois salles d'examen médical, d’une salle de contrôle médicale, de deux salles de soins infirmiers, d’une salle dédiée au traitement des traumatismes, d’une unité consacrée aux femmes et enfants victimes de violence, ainsi que d’une pharmacie et d’autres services, a indiqué M. Louardi dans une déclaration à la presse à cette occasion.

Le ministre a également effectué une visite d'inspection aux services de réanimation du Centre hospitalier qui se composent de six unités fraichement rénovées et rééquipées pour une enveloppe de quelque 2,5 MDH et ce, avec la contribution de l’INDH.

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Marrakech  :  L'hôpital privé de Marrakech (Groupe Evya)

Le groupe Evya a inauguré le centre de Soins de suite et de réadapatation.

L’Hôpital Privé de Marrakech dispose d’un Centre de Soins de Suite et de Réadaptation (SSR) attenant à la polyclinique. Le Centre accueille depuis juin 2017 plusieurs profils de patients :

• Les personnes ayant subi des opérations chirurgicales nécessitant des soins prolongés
• Les personnes ayant subi un accident ou un traumatisme (AVC, fractures…)
• Les personnes âgées nécessitant des soins de rééducation en gériatrie
• Les personnes présentant des pathologies de surpoids / obésité
• Les sportifs de haut niveau ayant besoin de rééducation

La mission des professionnels de l’établissement est de faciliter la réinsertion des patients à leur vie sociale ou professionnelle, en parfaite autonomie et avec une aide extérieure réduite au minimum.

Annoncé en Novembre 2015 (cf notre actu), le projet de Centre Hospitalier Universitaire de Laâyoune a atteint ce mois de juillet 2017 une phase plus concrète : le lancement du Concours architectural.Ce projet entre dans le cadre du plan de développement des régions du Sud.

Le ministère de l’Equipement, maître d’ouvrage délégué du projet porté par le ministère de la Santé, vient de lancer un concours architectural pour la conception, le suivi et le contrôle des travaux de construction. Le budget estimatif est de 830 millions de dirhams.

Dans les documents relatifs à ce concours, il est expliqué que l’hôpital sera conçu comme un projet urbain à part entière, avec ses espaces publics, ses fonctionnalités, ses espaces spécialisés, mais aussi ses capacités de transformation permanente. «L’adaptation du futur bâtiment à des évolutions techniques, médicales et fonctionnelles qu’il est difficile d’anticiper constitue le gage de la qualité du projet», peut-on lire.

Ce CHU avait été annoncé en marge du lancement du plan de développement des provinces du Sud en novembre 2015. Il s’agit d’un des projets les plus structurants et les plus attendus de ce programme. Il doit permettre de répondre aux besoins de l’ensemble de la région de Laâyoune-Sakia El Hamra, en matière de couverture sanitaire. Il réduira ainsi la pression qui s’exerce sur d’autres centres hospitaliers, en particulier sur le CHU de Marrakech. Il devrait être achevé à l’horizon 2021.

Il est prévu une visite des lieux jeudi 24 aout 2017 à 10 heures. Le lieu de rencontre est la Direction provinciale de l’Equipement, du Transport, de la Logistique et de l’Eau de Laâyoune. Il est à signaler que la visite des lieux n’est pas obligatoire selon le règlement du concours.

Le programme prévoit l’allocation de primes aux cinq projets les mieux classés parmi les projets retenus, le montant de la prime attribuée au lauréat retenu est déduit des honoraires qui lui sont dus au titre du contrat relatif à la conception, au suivi et au contrôle de l’exécution du projet.

• Le premier du classement :     1.500.000,00 Dhs
• Le deuxième du classement :  1.000.000,00 Dhs
• Le troisième du classement :      750.000,00 Dhs
• Le quatrième du classement :     500.000,00 Dhs
• Le cinquième du classement :    250.000,00 Dhs

Date limite de remise des plis :  le 27/09/2017 à 16h00

N.B. : Vous êtes annonceur sur HOSPIHUB et souhaitez accéder au dossier de consultation : écrivez à direction@hospihub.com

Nous avons  continué notre veille pendant les congés d'été, et réalisé une sélection des projets annoncés, en cours ou inaugurés en France.

DEPUIS DEBUT AOUT

Villiers-le-Bel : l’hôpital gériatrique remplacé par un complexe pour séniors dépendants

L’hôpital gériatrique Adélaïde-Hautval laissera place à un EHPAD,  plate-forme multiservice qui verra le jour en 2020. Il s’agit d’un chantier colossal à 21,4 M€, dont la première pierre sera posée au printemps 2018. L’Agence régionale de santé a choisi comme gestionnaire l’association Arpavie.

La nouvelle structure comprendra :

• un Ehpad de 110 places,
• une unité de 14 places pour les malades d’Alzheimer
• 12 places dédiées aux personnes souffrant de maladies neurodégénératives sévères ou en fin de vie
• un accueil de jour
• ou encore un service d’accompagnement des aidants.

 « Cet Ehpad va pouvoir accueillir des gens du secteur à des tarifs compétitifs. La journée coûtera 70 €, les aides sociales seront acceptées. On n’est pas dans une maison de retraite à 3 200€ par mois », insiste le maire.

Cette plate-forme multiservices arrive sur fond d’un conflit social qui dure depuis des mois. Elle est liée au projet de fermeture d’Adélaïde-Hautval, géré par l’AP-HP.

D’après l’article de leparisien.fr

Le centre hospitalier de l’Ouest vosgien sur la voie de la guérison

Des travaux simultanés vont se dérouler sur les sites de Neufchâteau et Vittel du Centre hospitalier de l’Ouest vosgien (Chov). Le service des urgences et cinq salles d’opération vont ainsi être reconstruits totalement dans le chef-lieu d’arrondissement. Dans le même temps, un chantier débutera en fin d’année sur le site de la ville thermale avec une réhabilitation sur cinq niveaux de trente chambres, du bâtiment Beau Site. Chaque chantier représentant 11 millions d’euros de travaux.

Lire l'article entier sur vosges.matin.fr

FIN JUILLET

Dijon :  l’hôpital privé Dijon-Bourgogne emménage au Parc Valmy

La pose de la première pierre du futur établissement avait eu lieu le mardi 16 juin 2015, et c’est dans un planning parfaitement respecté, que  le grand déménagement  a commencé le 31 juillet 2017.

Rappelons que l’hôpital privé Dijon-Bourgogne construit à neuf, appartient au Groupe « Ramsay Générale de Santé ». Il  accueillera au parc Valmy l'activité des cliniques de Chenôve, Fontaine-lès-Dijon et Sainte-Marthe.

Ce nouvel équipement recevra plus de 43.000 patients par an, une opération planifiée de longue date et supervisée par une partie du personnel.

Ce déménagement a nécessité quelques 70 millions d'euros d'investissements. Le déménagement des trois sites s'étalera sur trois semaines. A Valmy, les premiers patients sont attendus dès jeudi 3 août 2017, avec l'ouverture des urgences et du bloc opératoire.

"Certains patients arrivent demain matin donc je contrôle que tout ce dont nous pourrions avoir besoin parte bien,  explique Isabelle Fremiot, infirmière anesthésiste Clinique de Chenôve. Ensuite nous allons aménager les salles pour que tout soit fonctionnel". D’après l’interview de france3-regions.

CHRU de Lille : Ouverture des urgences et soins intensifs du futur hôpital cœur-poumon

Les équipes d’ingénierie et de construction ont livré à la toute fin de juillet dernier la seconde phase de réalisation de celui qui deviendra le « L’hôpital cardio-thoracique le plus grand d’Europe »  appelé encore l’ICP (Institut Cœur Poumons). L’Unité de soins intensifs cardiologiques (Usic) et les 4 premiers blocs opératoires étaient attendus  pour mars 2017 (cf notre actu de février 2016).

Ainsi, selon la Voix du Nord, « …Le nouveau vaisseau constitue une réponse idoine à une problématique régionale de santé publique. Dans le Nord – Pas-de-Calais, les maladies cardiovasculaires représentent la deuxième cause de mortalité chez l’homme et la première raison du décès chez la femme et les personnes de plus de 65 ans. Le cancer du poumon se situe lui, dans la région, au premier rang des cancers. Il fallait réagir. Le nouvel ICP, qui a pour vocation d’être un établissement d’excellence, accueillera ainsi des patients de la toute région. Plus large que le nom d’hôpital, le choix du terme institut permet de réunir la dimension hospitalière mais aussi celle de la recherche et de l’enseignement.

Ce chantier pharaonique, d’un coût total de 179 millions d’euros, consacre aussi le génie humain. Car le défi pour les bâtisseurs aura été de combiner la construction de bâtiments neufs et la réhabilitation d’un immeuble ancien : l’actuel hôpital cardiologique et ses 35 000 m2. Le tout, naturellement, dans une structure toujours en fonctionnement. Sans baisse d’activité et avec, en revanche, un niveau optimal de sécurité pour les patients principalement.

En ce sens, l’installation, chirurgicale, de la grande passerelle qui relie sur quatre niveaux l’ancien hôpital à la nouvelle aile Est a été à elle seule un modèle. D’un poids de 160 tonnes pour 45 mètres de long, il a fallu deux grues géantes pour l’insérer au millimètre près entre les deux bâtiments. Une authentique prouesse technologique qui n’est pas passée inaperçue. Une question demeure cependant en suspens : quel sera l’avenir de l’hôpital Calmette, futur navire abandonné, qui a fêté en 2016 ses 80 ans ? »

Le dernier chantier de grande ampleur de l'hôpital d'Auxerre sur le point de démarrer

L’hôpital d’Auxerre va donner ses premiers coups de pioche, pour la réalisation du bâtiment qui accueillera néphrologie, hémodialyse, cardiologie et Médecine 1.

Ce seront les derniers travaux d’ampleur du centre hospitalier d’Auxerre (CHA). Mais des travaux de longue haleine. Alors que la partie démolition doit s’engager dans le début de la semaine du 31 juillet, la réception définitive est prévue à la fin du printemps 2019. « Il s’agit de la dernière grosse opération de construction », assure le directeur du site, Pascal Gouin.

Dans les services libérés grâce au pôle urgences  et mère-enfant

Une opération qui accuse déjà du retard, puisque son démarrage était initialement prévu pour le début de cette année. D’un coût total TTC pour le bâtiment seul évalué à 10,5 millions d'euros, ce chantier est plus que moitié moins coûteux que celui du pôle mère-enfant et urgences (PME-U, 24,5 M€ HT). Mais il sera en revanche tout aussi visuel, avec ses bardages et sa toiture végétalisée.

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Belfort /Monbeliard : deux cliniques neuves d’ici 2019

L’hôpital a abandonné ses recours contre les deux projets : les élus de l’Aire urbaine ont enfin trouvé une issue à l’épineux dossier de la santé, publique et privée.

Au final, deux cliniques verront bien le jour et ce d’ici deux ans. Porté par le propriétaire de la Miotte de Belfort, le groupe Dracy Santé et son PDG Pierre Mercier, le premier établissement privé s’étendra sur 10 000 m² à la Jonxion, non loin de l’hôpital Nord Franche-Comté (HNFC) à Méroux-Moval. Il sera consacré à la chirurgie et à la cancérologie.

Comme prévu initialement, le groupe Noalys, porté par Jean-Loup Durousset, s’installe lui au Pied des Gouttes à Montbéliard. Mais du fait de l’accord qui vient d‘être signé avec son concurrent mais aussi l’ARS (agence régionale de santé), et l’hôpital, il abandonne le chirurgical et devient une clinique spécialisée dans les soins de suite, la rééducation fonctionnelle et les consultations avancées, aussi bien pour les maladies chroniques que pour les opérations qui se pratiqueront à l’hôpital ou dans l’autre établissement privé.

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