Inaugurations

C’est à la fin du mois d’août 2015 que le GRoupe Capio a procédé à l’ouverture de Capio Clinique Belharra, après six ans d’élaboration d’un projet médical fédérateur et deux années de chantier.

Le nouvel établissement, fruit d’un partenariat avec Gecina, regroupe trois anciennes cliniques de Capio Bayonne : Lafourcade, Paulmy et Saint Etienne. Il est implanté à Bayonne, plus exactement dans la zone urbaine du Prissé.

Les patients trouveront au sein de cette infrastructure neuve de 30 000m2, un ensemble de filières de soins MCO (médecine, chirurgie et obstétrique). De même ils bénéficieront du modèle de Récupération Rapide Après Chirurgie : gestion spécifique des flux, permettant une optimisation de l’organisation et ainsi de la prise en charge des patients.

La clinique, ultra-moderne, dispose de 255 lits, dix-huit blocs opératoires, dont un robotisé et un autre pour la radiologie interventionnelle, et un total de 21 blocs prévus à terme. Elle emploie 950 salariés dont 250 de personnels de santé.

Capio envisage d’accueillir 50 000 patients par an, et la réalisation d’un chiffre d’affaires annuel de 60 millions d’euros, pour un investissement global de 80 millions d’euros – qui devrait être amorti en douze ans.

Ce nouvel établissement, baptisé du nom de la grande vague déferlante locale, fera du Pays Basque un pôle de santé d’envergure avec le Centre hospitalier de la Côte basque, lui aussi récemment modernisé.

Aujourd’hui leader en chirurgie sur le territoire Sud Aquitain, Capio Clinique Belharra entend proposer une offre de soins de qualité et devenir ainsi sur l’ensemble de ses prises en charge, l’établissement de référence de santé du sud de l’Aquitaine.

Capio Clinique Belharra
2 allée du Docteur Lafon
64100 BAYONNE
Tél : 08.26.96.64.64 (0,15 euros TTC par minute)
fax : 05 40 07 83 00

Le Groupe CAPIO

Du centre de consultation de proximité aux cliniques spécialisées et à la gestion d’hôpitaux publics (en Suède et en Allemagne), Capio gère au total une centaine d’établissements et emploie plus de 11 000 salariés en Europe. Il est présent en France, en Allemagne, en Suède et en Norvège.

Il y a tout juste une semaine, l’hôpital du Blanc inaugurait son service d’addictologie flambant neuf. Les premiers patients sont attendus à partir de la fin septembre.

D’une capacité d’accueil de 20 places, le service propose des chambres tout confort, une salle d’activité dédiée à l’art-thérapie, une grande cuisine pour préparer collectivement les repas, une salle de sport. Les futurs patients se feront prescrire un séjour dans ce service de soin de suite et de réadaptation par leur médecin traitant, ou bien en complément de la cure de sevrage qu’ils auront reçu à l’hôpital de Châteauroux, partenaire de ce projet.

« Les patients que nous allons accueillir seront tous volontaires pour venir ici et auront tous déjà passé une période de sevrage » explique Joëlle Moure, cadre de santé à l’Hôpital du Blanc. Le service prendra en charge tout type d’addictologie. Les séjours pourront s’étaler sur une période de deux à quatre mois. Dix-huit membres du personnel se consacreront au quotidien des pensionnaires : médecins, infirmiers, aides soignant, neuropsychologues, diététicienne et art-thérapeute.

« Nous leur proposerons des activités sportives, mais aussi des activités pour préparer l’avenir » insiste Joëlle Moure. Ils se verront ainsi invités à pratiquer des sports d’équipe, à cuisiner, à assister à des groupes de paroles, à faire des randonnées, à des sorties à la piscine. « Préparer l’avenir » passera par apprendre à préparer un CV ou une lettre de motivation.

Le séjour ne devrait rien coûter au patient, l’hôpital veillera à ce que les frais – 18 euros par jour- soit pris en charge par la mutuelle de la personne suivie.

La réhabilitation de cette unité aura coûté 550 000 euros. La mise en place de ce service aura permis l’embauche de 18 salariés sur le site de l’Hôpital du Blanc.

Coordonnées
Centre hospitalier (Le Blanc)
5, Rue Pierre Millon
36300 Le Blanc
Tél. Standard : 02 54 28 28 28
Courriel : sec.direction@ch-leblanc.fr

Après un peu plus de 2 ans de travaux, la toute nouvelle clinique « Le Marrakech » à été inaugurée par le ministre de la santé Mr El Ouardi, le 8 février dernier.

L’établissement privé flambant neuf, est situé dans le quartier Targa, sur l’un des principaux axes routiers de la ville rouge, facilitant son accès aussi bien pour les locaux que pour les visiteurs étrangers arrivés par avion.

UN PROJET AMBITIEUX

Les cinq principaux actionnaires proposent là une clinique pluridisciplinaire de pointe, abritant plusieurs centres spécialisés, disposant de leurs propres équipes médicales et soignantes, à savoir :

• Un bloc opératoire disposant de dix salles opératoires, chacune dédiée à une spécialité
• Une maternité avec une activité d’obstétrique et d’aide à la procréation médicale.
• Néonatologie : Accolée à la maternité, l’unité de néonatologie, dotée d’un équipement spécifique, accueille les nouveau-nés prématurés ou en détresse
• Radiologie : situé au cœur de la clinique , le centre de radiologie dispose d’une IRM et d’un scanner de dernière génération, ainsi que de tables de radiologie numérisées. La clinique dispose également d’un centre de sénologie à part entière disposant de la mammographie avec tomosynthèse numérisée  et échographie permettant un diagnostic précis et précoce au clinicien.
• Le centre d’oncologie Majorelle vient compléter l’offre de soin de la clinique, en proposant une prise en charge optimale en matière de traitement des cancers. Il est composé d’un service de radiothérapie disposant d’un accélérateur linéaire de nouvelle génération (Rapidarc) délivrant notamment des irradiations en modulation d’intensité (IMRT) guidée par de l’imagerie embarquée (IGRT). Par ailleurs, et en partenariat avec la clinique le centre dispose de deux chambres stériles, conçues pour la réalisation de la greffe de moelle.
• L’accueil des urgences de la clinique est assuré 24/24H et 7J/7 et le plateau technique complet permet de prendre en charge tous types d’urgences médicales et chirurgicales.

L’offre de soins comprend une trentaine de spécialités parmi lesquelles :

• Cardiologie
• Chirurgie Cardiaque et Cardiologie Interventionnelle
• Chirurgie Viscérale et d’Obésité
• Chirurgie Esthétique
• Endocrinologie
• Endoscopie Digestive
• Gastroentérologie
• …

UN PARTENAIRE EUROPÉEN : LE GROUPE FONTALVIE

La clinique abrite le premier centre d’un concept unique en son genre en Afrique, le R-Révolution, développé par le groupe Fontalvie. Il s’agit d’un centre dédié à l’accompagnement de maladies chroniques qui réunit en un même lieu une équipe transdisciplinaire : médecins , cardiologues, kinés, psychologues, diététiciens, nutritionnistes et des professeurs de méditation et de yoga.

Objectif : prévenir l’apparition et l’installation de maladies chroniques, qu’elles soient cardiaques, du sommeil, respiratoires comme l’asthme, la bronchite, la mucoviscidose, ou encore métaboliques comme l’obésité ou le diabète, grâce à des plans santé personnalisés, fondés sur la cognition, les émotions, l’activité physique, la nutrition et le sommeil. Y sera proposée une méthode globale et pro-active permettant d’établir un véritable plan d’action santé personnalisé, medical spa ou wellness clinic. Ce premier centre à Marrakech a nécessité un investissement de près de 2 millions d’euros .

TOURISME MÉDICAL

Se positionnant clairement sur l’activité complémentaire de tourisme médical, la Clinique Le Marrakech a décidé d’accorder une importance particulière à l’accueil, le confort et la qualité de la prise en charge. Les patients, sur un choix d’options pourront être installés en chambre individuelle, ou suites luxueuses, et bénéficier de services VIP : piscine chauffée, room service, smart TV, wifi, types de cuisine variée ,…

Cette nouvelle offre sanitaire de haut niveau de conception, réalisation et fonctionnement (cf galerie de photos) prend ainsi une sérieuse avance sur les autres projets marrakchis annoncés depuis plusieurs années et qui semblent avoir marqué le pas.

LA CLINIQUE LE MARRAKECH EN CHIFFRES

• Budget d’investissement : 280 millions de dirhams
• 14 000 m2 bâtis sur 6 niveaux
• 300 professionnels de santé
• 50 praticiens
• 140 lits et places
• 10 salles opératoires
• Les promoteurs ont fait appel à une équipe architecte et bureaux d’études locale .

LA CLINIQUE LE MARRAKECH EN IMAGES

L’Institut de Cancérologie du Gard, « Un projet fédérateur public-privé pour, ensemble, faire face aux cancers aujourd’hui et demain ».

Vendredi 19 février a été inauguré l’Institut de cancérologie du Gard. Adossé à l’hôpital Carémeau, il est le fruit d’une collaboration unique entre le public et le privé qui garantit aujourd’hui aux Gardois des traitements de dernière génération.

L’Institut de Cancérologie du Gard (ICG) est le nouveau pôle d’expertise et de référence en cancérologie sur le territoire gardois et sur les territoires limitrophes. Après avoir ouvert ses portes en juin dernier, l’ICG est à présent inauguré officiellement.

Situé sur le campus hospitalo-universitaire de Carémeau, le tout nouveau bâtiment de15 900 m2 est le fruit d’un partenariat entre le CHU de Nîmes, la Polyclinique Kenval, le centre médicale OncoGard et le groupement d’imagerie médicale de l’ICG au bénéfice des patients du bassin gardois et même au-delà.
Un projet fédérateur et un regroupement de moyens exemplaire dans le Gard
Prenant appui sur les recommandations du dernier Plan cancer, le projet médico-scientifique favorise le développement des prises en charge ambulatoires au travers des consultations, des hospitalisations de jour, des actes externes ainsi que des thérapies ciblées.
Ces 7 premiers mois d’activité ont vu les installations successives des services de radiothérapie (GCS Oncogard), d’imagerie médicale (GIE d’imagerie de l’ICG), d’hématologie, d’oncologie médicale et de médecine nucléaire. Ce regroupement présente le double avantage de favoriser la synergie entre les spécialistes de l’ICG et de faciliter les échanges avec les professionnels de santé de la ville.
Un plateau technique de dernière génération
Les partenaires ont fait le choix d’un plateau technique doté des équipements les plus performants. Ainsi, dans les différentes disciplines, les patients bénéficient d’équipements de haute technologie :
– le plateau de radiothérapie externe public-privé comprend 4 accélérateurs de particules VARIAN Truebeam avec consoles TPS (5 sont prévus à terme) ;
– le service de médecine nucléaire propose 2 TEP scan GE Discovery 710, 2 gamma caméras SIEMENS Symbia T6 et GE Discovery NM/CT 670 ;
– le plateau de radiologie et d’imagerie médicale public-privé rassemble les plus récentes technologies d’imagerie et les meilleures compétences humaines au service des patients. Ce plateau met à disposition 1 IRM 1,5T, un scanner, un mammographe numérique SIEMENS Mammomat, une salle de radiographie numérisée, une salle d’échographie et un panoramique dentaire numérique ainsi que deux salles d’échographie doppler. Un scanner devrait arriver d’ici la fin de l’année 2016.

– 2 unités (publique et privée) sont dédiées à la préparation des chimiothérapies grâce à des systèmes de préparation de cytostatiques performants.

La volonté de développer les innovations et les activités de recherche
Les innovations thérapeutiques au bénéfice des patients sont pleinement intégrées au panel des prises en charge proposées par l’institut.
Les deux services d’oncologie médicale, public et privé, sont dotés chacun d’une unité de prise en charge ambulatoire, adaptée à la mise en œuvre des thérapies ciblées selon les derniers standards de soins (chimiothérapies et immunothérapies), qui passent par des prises en charge de courte durée.
Le service d’hématologie comporte un secteur stérile avec 8 lits de soins intensifs, pour la prise en charge des hémopathies aiguës ou complexes, et le service de médecine nucléaire est équipé de 2 chambres de radiothérapie métabolique (cancers thyroïdiens).
Les services de radiothérapie et de médecine nucléaire permettent des traitements de plus en plus précis, synchronisés avec les mouvements du corps liés à la respiration et épargnant les organes sains.
Grâce à leur activité de recherche clinique, les équipes de l’institut contribuent à l’émergence et à la diffusion de nouvelles thérapeutiques, en particulier dans le domaine des thérapies ciblées : de nouvelles molécules apparaissent régulièrement et sont accessibles aux patients de l’Institut, dans le cadre d’essais cliniques contrôlés et sécurisés.
L’accès des patients aux protocoles innovants est au cœur des missions des équipes de l’institut qui développent des programmes de recherche recouvrant tout le champ de la recherche clinique : médicaments, dispositifs médicaux, soins infirmiers, soins de support, qualité de vie, épidémiologie et médico-économie.

Une offre de soins complète et un accompagnement personnalisé tout au long du parcours du patient
Chaque patient peut bénéficier d’un accompagnement et d’un soutien tout au long de son parcours de soins.
Une prise en charge globale et intégrée est proposée au patient à l’issue de la consultation d’annonce, à travers un programme personnalisé de soins reposant sur une étroite coordination entre les différentes équipes et notamment l’équipe des soins de support.
Les soins de support proposés dans le cadre de l’institut portent sur la douleur, la fatigue, la nutrition, les soins palliatifs (lorsque le stade de l’évolution de la maladie le justifie), la rééducation mais aussi la psychologie, la sexologie et le champ social.
Un emploi d’infirmière coordonnatrice (IDEC) a été créé dans le cadre de l’institut, avec pour mission d’organiser ces soins de support en lien avec la ville.
L’offre de soins de support est complétée par des soins de confort (socio-esthétique en partenariat avec l’école Giorgifont de Montpellier, éducation sportive adaptée) et des compétences en sophrologie et en musicothérapie.
Lieu précurseur en matière d’informations et d’échanges, l’Espace Rencontres Information (ERI), piloté en partenariat avec la Ligue nationale contre le cancer, est un lieu ouvert, accessible sans rendez-vous aux patients et à leurs proches. Animé par un accompagnateur en santé, il propose des temps d’échanges et des ateliers thématiques autour des cancers et de leurs traitements.

La possibilité de garantir confort hôtelier et qualité de l’accueil
L’architecture du nouveau bâtiment offre des conditions d’accueil et d’hébergement idoines qui répondent aux exigences de confort et de bien-être des patients : la quasi-totalité des chambres sont individuelles et spacieuses (20m2). Les repas sont adaptés à l’état de santé, grâce à un self-service ouvert 24h/24h proposant un système de restauration à la carte, selon les souhaits du malade…
L’ICG est donc un centre complet, d’excellence de traitements et de soins pour les malades, ouvert à leurs proches, pour, ensemble, faire face aux cancers.

Les personnalités qui ont assisté à l’inauguration :

Jean-Paul FOURNIER,
Sénateur du Gard et Maire de Nîmes Président du Conseil de surveillance du CHU de Nîmes

Monique CAVALIER,
Directrice de l’Agence Régionale de Santé Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénée

Professeur Henri PUJOL,
Professeur en cancérologie et Président d’honneur de la Ligue contre le Cancer

Martine LADOUCETTE,
Directrice générale du CHU de Nîmes

Marcel HERMANN,
Président Directeur Général de la Clinique Kenval et président de Médipôle Partenaires

Docteur Éric LEGOUFFE,
Adminisrateur du Groupement de Coopération Sanitaire (GCS) Responsable Oncogard

Docteur Jean-Marc TEISSIER,
Administrateur du GIE Imagerie Médicale ICG

CP Medipole Partenaires

INAUGURATION ICG 19 FEVRIER 2016 -MÉDIPÔLE PARTENAIRES

En service depuis les années 70, la polyclinique de Chorfa, est arrivée au bout de son chantier de rénovation et extension. Celui-ci avait été entamé au début 2015.

Inaugurée par le Wali en février dernier, l’ancien centre de santé est bien passé au statut de nouvelle polyclinique.

L’infrastructure est dotée de :

• un cabinet de consultations générales,
• un cabinet de chirurgie dentaire,
• un service de protection infantile et maternelle
• un service de consultation et suivi psycho-clinique
• un cabinet commun pour diverses consultations spécialisées telles que l’endocrinologie, la psychiatrie, la rééducation fonctionnelle, la médecine interne
• des consultations pédiatriques
• d’un laboratoire,
• d’un service de radiologie

Le bémol à cette opération réside dans le nombre insuffisant d’effectif soignant : quatre médecins généralistes et une dizaine de paramédicaux. La population déplore également l’absence d’une maternité. Le manque de personnel soignant et de personnel technique qualifié lors de l’ouverture d’un nouvel établissement de santé est une problématique récurrente, qui ne concerne pas uniquement l’Algérie.

En ce qui concerne l’offre en service de maternité-gynécologie, elle sera vraisemblablement compensée par l’opération de reconversion en cours à l’hôpital de Chorfa : les unités en préfabriqué installées à Chlef font l’objet d’un programme de rénovation afin d’offrir un pôle mère-enfant. Visité en janvier 2016 par le wali, le chantier devrait être bientôt livré.

Le Roi Mohammed VI, a procédé, lundi 8 mars 2016 à l’Hôpital militaire de Rabat, à l’inauguration du Centre de virologie, des maladies infectieuses et tropicales, une structure de référence à l’échelon national et international.

Le montant des investissements à ce projet est de 210 millions de dirhams, réalisé sur instructions royales.

Le Centre a pour mission le diagnostic et le traitement des maladies infectieuses virales, bactériennes, parasitaires et mycosiques, ainsi que la prise en charge des maladies hautement contagieuses nécessitant un confinement, notamment des pathologies tropicales et du voyage.
Le Centre qui vient conforter le réseau international de surveillance des pathologies émergentes et ré-émergentes permettra la formation continue et la recherche en infectiologie, le développement de techniques innovantes pour le diagnostic des virus émergents, comme il assurera des activités de santé publique et de veille sanitaire au sein du service de Santé des FAR. Il répond aux besoins d’une grande diversité de prise en charge des pathologies infectieuses au Maroc et dans certains pays d’Afrique.

A cet effet, le nouveau Centre comprend un hôpital de jour permettant la prise en charge diagnostique et thérapeutique de l’infection VIH/SIDA, des infections sexuellement transmissibles et des hépatites virales, l’administration et la surveillance de protocoles thérapeutiques programmés ou prescrits dans le cadre d’une urgence, outre les consultations de médecine de voyage (militaires devant participer à des opérations extérieures, voyageurs, pèlerins civils et militaires).

Le nouvel établissement comporte aussi deux unités de confinement (isolement) de niveau III (grippes pandémiques, fièvres hémorragiques virales, infections chez l’immunodéprimé) et II (maladies à transmission vectorielle, infections digestives, infections associées aux soins, infections communautaires), abritant du matériel biomédical et médico-technique, ainsi que des moyens de protection du personnel et des patients répondant aux normes internationales.
Edifiée sur un terrain de 5.575 m2, la nouvelle structure dispose également d’un laboratoire de virologie en charge de la manipulation de pathogènes dangereux pour l’Homme et l’environnement, du développement de techniques et de tests nouveaux pour faire face à des virus émergents ou de nouveaux variants, de la veille épidémiologique, et des activités liées à la biosécurité.

Par souci de protection et de préservation de l’environnement et de la santé publique, le centre de virologie, des maladies infectieuses et tropicales est doté de services de stérilisation, d’hygiène, et de décontamination, ainsi que d’une station de traitement des effluents.

L’hôpital de Didouche-Mourad, à Constantine, devait être livré en décembre 2015. Il aura fallu quelques semaines supplémentaires pour que le Premier Ministre algérien Abdelmalek Sellal puisse arpenter les secteurs qui ont bénéficié de l’opération de rénovation : la pédiatrie,les urgences médicales, le plateau technique, les services de consultations externes, et les services de gynécologie obstétrique et cancérologie.

Ainsi samedi dernier, ce fut chose faite, non sans ses recommandations et souhaits d’une gestion à la hauteur des moyens et équipements technologiques mis à la disposition de l’infrastructure.

Pour mémoire, la réhabilitation a nécessité une enveloppe financière de près de 400 millions de dinars.

Cf Notre actualité sur ce projet :

L’hôpital de Didouche-Mourad, premier d’une série de chantiers à livrer

Kaolack, 14 avr (APS) – » La direction générale de l’hôpital régional El Hadj Ibrahima Niass a entrepris depuis 2014 une série de réalisations destinées à rehausser et à renforcer le plateau technique de la structure sanitaire dans le but d’améliorer la prise en charge médicale des patients et satisfaire la demande en soins, a appris l’APS, jeudi.

Les réalisations entreprises ont permis au centre hospitalier régional de disposer d’un bloc chirurgical des urgences, doté de deux salles opératoires, d’un bureau accueil et orientations des malades et d’un bureau des usagers, indique un communiqué de la direction générale parvenu à l’APS.
Ces trois nouvelles infrastructures seront inaugurées samedi au cours de la cérémonie officielle de l’édition 2016 des journées du parrain, une occasion pour les autorités de ce centre hospitalier de rendre hommage au grand érudit Cheikh Al Islam El Hadj Ibrahima Niass. »
En dehors de ces dernières réalisations, ‘’l’hôpital a aussi bénéficié, sur la période de 2014 à 2015, d’une réhabilitation et d’une augmentation des capacités du service de réanimation, qui est passé, de 5 à 11 lits ». Cela a aussi permis « un relèvement du plateau technique du service de radiologie’’.

…

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Selon les propos du docteur Saliou Tall, “De par sa position géographique, le Centre hospitalier régional El Hadj Ibrahima Niass de Kaolack occupe une place importante dans le dispositif sanitaire régional, national et sous régional. Il dessert les populations des régions de Fatick, de Kaffrine, de Diourbel, de Tambacounda, de Ziguinchor, et de quelques pays limitrophes que sont la Gambie, le Mali, et la Guinée”.

En chiffres :

• le Centre hospitalier régional El Hadj Ibrahima Niass de Kaolack enregistre annuellement environ 16.000 malades hospitalisés pour une capacité de 308 lits
• II enregistre également annuellement 90.000 consultations

HOSPIHUB vous en parlait dans son actualité du 28 septembre 2015, consacrée aux projets hospitaliers en cours en Algérie.

C’est une double opération qui était au programme le 8 mai dernier à Hassi-Messaoud (Ouargla). L’établissement public hospitalier a reçu pour nom de baptême celui de Hocine Aït-Ahmed (un des chefs historiques de la guerre de la libération nationale). Et les travaux de son extension dudit hôpital étant achevés, l’inauguration a pu avoir lieu.

Le financement de 382 millions de dinars a permis à l’EPH de procéder à plusieurs améliorations dans son offre de soins :

• 30 lits supplémentaires, passant de 90 à 120
• un service de médecine générale
• un service d’urgences comprenant 8 lits d’observation
• un service mère–enfant

Les efforts concernent également l’équipe médicale, qui se trouve renforcée de 11 praticiens spécialistes en chirurgie, gynécologie, et pédiatrie.

La livraison de nouvelles structures de santé, en cours de réalisation à travers la wilaya d’Ouargla, est attendue d’ici le premier semestre 2017 au plus tard :

• un hôpital de 240 lits à Touggourt,
• d’un hôpital de 60 lits à El-Hedjira,
• un bloc chirurgical à l’EPH-Mohamed Boudiaf
• un centre de transfusion sanguine à Ouargla.

Les CHU de Toulouse ont inauguré en décembre 2012 l’Unité Centrale de Stérilisation Bernard Charles une des plus grandes usines de stérilisation hospitalière. Le principe de mutualisation s’est appliqué au service de blanchisserie du Chapitre qui, après des travaux d’agrandissement, a vu ce jeudi 12 mai 2016 l’inauguration de la nouvelle « Blanchisserie toulousaine de santé ».

Source d’économies, la « Blanchisserie toulousaine de santé » prend ainsi désormais en charge le linge de l’hôpital de Muret, de l’hôpital Joseph Ducuing, de l’Institut universitaire du cancer et des 19 maisons de retraite et 18 crèches gérées par la mairie de Toulouse. L’usine centrale traite 21 tonnes de linge (draps, serviettes de bains, bavoirs sales et blouses des personnels soignants) par jour : soit 4.200 lits à équiper, 16.000 agents des hôpitaux à habiller.

«Plusieurs sites de blanchisserie étaient à moderniser, et nous avons décidé de mutualiser nos moyens», a expliqué Yann Morvezen, administrateur du site. Cette démarche entre aussi dans le cadre des Groupements hospitaliers de territoire, mode de coopération entre les établissements publics de santés prôné par la loi de santé Touraine de 2015. Les travaux engagés en novembre dernier pour un investissement total de 3,8 millions d’euros ont permis d’agrandir le site 1 330 m2 et d’acquérir de nouvelles machines. «La mécanisation accrue améliore aussi les conditions de travail très dures des salariés», précise Marc Drezen, directeur technique d’exploitation de la blanchisserie.

Marc Drézen, a expliqué aussi : « à la maison vous lavez à 60 degrés, nous c’est 90 minimum ! Et on repasse à 190 degrés alors que le staphylocoque est détruit au delà de 125. On rajoute un bactéricide dans le lavage. C’est pour ça qu’un drap à l’hôpital n’est pas très joli ni très doux ! Sa première utilité c’est de pouvoir être désinfecté. »

LES CHIFFRES :

• 14 camions de linge sale arrivent chaque matin à la blanchisserie
• 450 chariots de linge sont préparés et livrés tous les jours
• 90 agents travaillent sur la chaîne de production
• environ 3,8 millions d’euros : le coût des nouveaux équipements installés
• le linge sale nettoyé est facturé à prix coûtant, soit 1,13€/kilo

La vidéo réalisée par Francebleu.fr :