Inaugurations

Date de publication
Ouverture de l’OphtalmoPôle de Paris
Zone géographique
France
L'OphtalmoPôle de Paris - Crédit AP-HP

L’Assistance Publique–Hôpitaux de Paris ouvre le 3 juillet 2017 l’OphtalmoPôle de Paris, un nouveau centre lourd d’ophtalmologie, au sein de l’hôpital Cochin, pour lequel elle a investi 17 M€.

Il va accueillir et réunir dans un nouveau bâtiment de 4 300m² :

  •  les urgences ophtalmologiques de l’AP-HP, transférées de l’Hôtel-Dieu le 3 juillet,
  •  les activités des unités d’ophtalmologie de l’Hôtel-Dieu et de l’hôpital Cochin,
  •  la chirurgie ophtalmologique de l’hôpital Lariboisière,
  •  l’ophtalmologie « adultes » de l’hôpital Necker.

L’OphtalmoPôle de Paris, dirigé par les Professeurs Antoine Brézin et Ramin Tadayoni, s’appuiera sur la pluridisciplinarité, l’hyperspécialisation de ses équipes et un plateau technique de pointe.

L’OphtalmoPôle de Paris, dont la 1ère pierre a été posée en décembre 2015, propose une prise en charge en ophtalmologie allant des soins de proximité jusqu’aux pathologies médico-chirurgicales les plus complexes.

Conçu en concertation avec les médecins, il a accueilli ses premiers patients vendredi 30 juin 2017 et a vocation à devenir l’un des premiers centres ophtalmologiques universitaires européens.

L’OphalmoPôle de Paris sera inauguré le 4 juillet 2017 en présence de Rémi Féraud, Maire du 10ème arrondissement, de Martin Hirsch, Directeur général de l’AP-HP, du Pr Eréa-Noël Garabédian, Président de la Commission médicale d’établissement de l’AP-HP, d’Eve Parier, Directrice des Hôpitaux universitaires Saint-Louis Lariboisière et Fernand-Widal, du Pr Rémy Nizard, Président de la Commission médicale d’établissement locale, de Sylvain Ducroz, Directeur des hôpitaux universitaires Paris-Centre, du Pr Stanislas Chaussade, Président de la Commission médicale d’établissement locale et de Marianne Auffret, Présidente de la commission de surveillance des Hôpitaux universitaires Paris-Centre.

L’AP-HP a investi 17 M€ pour cette opération de travaux. Au-delà du transfert d’appareils provenant des sites concernés, et de l’achat récent de deux microscopes opératoires de 0,3 M€, elle prévoit un investissement de 3,4 M€ pour ses équipements. Ce financement contribuera à garantir une offre de soins ophtalmologiques de haute technicité.

Grâce à une large collaboration pluridisciplinaire, à l’hyperspécialisation des équipes et à un plateau technique de pointe, ce nouveau centre traite l’ensemble des pathologies médico-chirurgicales ophtalmologiques et assure des soins de proximité en ophtalmologie.

Privilégiant la chirurgie ambulatoire, l’OphtalmoPôle de Paris dispose de 18 places d’hôpital de jour et de 14 lits d’hospitalisation conventionnelle, de sept sites opératoires dont deux halls opératoires « open-space » innovants (les premiers en France en ophtalmologie), ainsi que d’une salle de chirurgie réfractive.

 

Halls opératoires

 

Les 27  boxes de consultations sont en liaison avec un plateau technique d’examen complet, comportant les appareils d’imagerie oculaire et de traitement laser les plus sophistiqués.

A terme, 10 000 interventions pourront y être réalisées chaque année et 100 000 personnes pourront y être accueillies en consultation, ce qui fera de l’OphtalmoPôle de Paris un centre d’ophtalmologie de premier ordre à un niveau national et européen.

Les urgences ophtalmologiques, ouvertes 24h sur 24, 7jours sur 7 et auparavant situées à l’Hôtel-Dieu, y sont également installées depuis le 3 juillet 2017.

L’OphtalmoPôle de Paris bénéficie d’une architecture* conçue avec les équipes médicales pour l’optimisation du circuit des patients, en suivant le principe de la « marche en avant » : le parcours des patients est pensé comme une succession logique d’étapes administratives et médicales compréhensible et vécue comme une progression.

De par ses effectifs importants, il permettra aussi de mener des projets de recherche ambitieux et un enseignement de qualité, fort de ses hyperspécialités, en collaboration notamment avec les facultés de médecine de Paris Descartes et de Paris Diderot.

Le regroupement des équipes sur un même site contribuera ainsi à renforcer la compétitivité à l’échelle internationale de l’ophtalmologie hospitalo-universitaire de l’AP-HP.

En proximité, l’OphtalmoPôle de Paris travaillera en collaboration avec les services de consultation présents dans les hôpitaux d’origine (Cochin, Hôtel-Dieu et Lariboisière) qui continueront à assurer les soins externes d’ophtalmologie (secteur 1).

Ainsi, le service de l’hôpital Lariboisière permettra, dans ses axes d’expertise, de soigner les patients du nord de Paris ayant besoin de chirurgie sur place et de les opérer à l’OphtalmoPôle de Paris.

L’OphtalmoPôle de Paris travaillera également avec les services d’ophtalmologie de l’AP-HP situés à Paris ou hors de Paris.

Des antennes fortes de consultation y sont maintenues de façon à ne pas affecter l’accès à des soins courants d’ophtalmologie en secteur 1 de la zone couverte par l’AP-HP.

Au 1er semestre 2018, une 2nde phase de travaux s’achèvera et permettra de compléter l’offre de soins avec l’ouverture de l’hôpital de jour, présent aujourd’hui au sein de l’OphtalmoPôle dans des locaux provisoires.

>Une ouverture en deux temps :

3 juillet 2017 : transfert des urgences ophtalmologiques de l’Hôtel-Dieu et ouverture des blocs opératoires et de la surveillance continue.

1er semestre 2018 : au terme d’une deuxième phase de travaux, ouverture de l’hôpital de jour et transfert complet de l’activité de consultation de l’Hôtel-Dieu à Cochin.


*NOTE HOSPIHUB : Un projet du cabinet d'architecture Emmanuelle COLBOC et Associés

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Le groupe Evya inaugure le Centre SSR de l'Hôpital privé de Marrakech
Zone géographique
Maroc

Le Centre de Soins de Suite et de Réadaptation (SSR) de l’Hôpital Privé de Marrakech (qui fait partie du réseau de cliniques Evya créé par le Groupe Saham santé) a ouvert officiellement ses portes ce Samedi 1 juillet 2017.

L’Hôpital Privé de Marrakech dispose enfin de son Centre de Soins de Suite et de Réadaptation (SSR) attenant à la polyclinique. Il est destiné à accueillir plusieurs profils de patients :

  • Les personnes ayant subi des opérations chirurgicales nécessitant des soins prolongés
  • Les personnes ayant subi un accident ou un traumatisme (AVC, fractures…)
  • Les personnes âgées nécessitant des soins de rééducation en gériatrie
  • Les personnes présentant des pathologies de surpoids / obésité
  • Les sportifs de haut niveau ayant besoin de rééducation

La mission des professionnels de l’établissement est de faciliter la réinsertion des patients à leur vie sociale ou professionnelle, en parfaite autonomie et avec une aide extérieure réduite au minimum.

Le projet médical du Centre de Soins de Suite et de Réadaptation

Les principaux programmes de réadaptation mis en place par le Centre SSR de l'Hôpital Privé de Marrakech portent sur les spécialités suivantes : orthopédie, neurologie, traumatologie, cardiologie et oncologie. La proximité de HPM permet d’assurer la continuité des soins et la prise en charge intégrée des patients ayant été hospitalisés au sein de l’Hôpital Privé. La démarche de réadaptation repose sur des équipes pluridisciplinaires, qui mettent en place un programme individualisé articulé autour des étapes suivantes :

  • Une phase de diagnostic approfondi,
  • Une évaluation des déficiences, incapacités, handicaps,
  • Un programme de soins et d’accompagnement individualisé,
  • Un projet d’orientation et d’accompagnement vers un retour à la vie sociale.
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L’Hôpital Youssou Mbargane inaugure sa nouvelle maternité
Zone géographique
Sénégal

Le 21 juin dernier, l’Hôpital Youssou Mbargane , de Rufisque au Sénégal, a  inauguré les nouveaux services de la maternité  entièrement rénovée. Le service accueille désormais une maternité et une  unité de néonatologie. Ces opérations s’inscrivent dans un vaste programme de réhabilitation de l’hôpital, sous l’impulsion de son directeur avec la mobilisation du personnel.

Les travaux représentent un coût global de 42 millions de frs Cfa, pris en charge par l’hôpital Plato de Barcelone.  

En sus de cette réhabilitation, l’hôpital a pu acquérir une couveuse, des berceaux et d’autres équipements pour l’unité de néonatologie. Une occasion pour le M.Niasse le Directeur de remercier le généreux donateur, qui entretient avec l’établissement un partenariat pertinent : toutes les actions sont basées sur les besoins de l’hôpital.

 «C’est ce type de partenariat qu’il nous faut pour très rapidement relever le plateau technique de Youssou Mbargane pour évoluer du statut d’EPS 1 à celui d’EPS 2, ce qui est notre ambition» a ajouté M. Niasse.

De son côté, le directeur de l’hôpital Plato de Barcelone, Jordi Pujol, s’est félicité du partenariat qui lie les deux structures et à insistésur le devoir qu’ils ont de participer au relèvement du plateau technique d’un pays d’hospitalité comme le Sénégal.

La représentante du ministre de la santé et de l’action sociale, Dr Seynabou Bâ a salué le dynamisme du partenariat , et invité les autorités sanitaires de Rufisque à insister sur le management du personnel et l’implication de la communauté pour plus d’efficacité dans la prise en charge des besoins sanitaires des populations.

D’ores et déjà, l’hôpital se prépare à réceptionner un nouveau service d’accueil d’urgence moderne dont les travaux ont démarré depuis quelques mois.

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Ouverture de la première clinique privée dédiée à la médecine physique
Zone géographique
Maroc

 

Les Casaouis (habitants de Casablanca) peuvent se réjouir d'une nouvelle offre dans le paysage sanitaire , avec l'ouverture récente de la première clinique privée dédiée à la médecine physique.

Clinique Al Karim est un établissement spécialisé dans le traitement des affections de l'appareil locomoteur. Situé en plein centre de Casablanca, le bâtiment tout bleu accueille la première structure privée au Maroc de médecine physique et de réadaptation.

Fondé par Dr. Najib Khaoulani, spécialiste en médecine physique et réadaptation fonctionnelle, le nouvel établissement dispose d’une capacité de 46 lits d’hospitalisation. Bâtie sur une superficie de 1.000 m², cette clinique vient répondre à un besoin important en matière d’offres de soin. Le but, comme l’explique Dr. Khaoulani, est d’accompagner les patients durant toutes les étapes de la maladie.

«Une prise en charge des patients relevant de la rééducation en ambulatoire ou en hospitalisation pour court, moyen ou long séjour est assurée par la clinique», a-t-il assuré. Par la suite, le fondateur de la clinique ajoute que «Al Karim est la première structure au Maroc à offrir ce genre de service en s’occupant de l’appareil locomoteur du patient».

C’est donc grâce à un matériel de pointe et à une structure adaptée mise en place qu’un meilleur diagnostic ainsi qu’un meilleur traitement est possible. Afin de renforcer son caractère pluridisciplinaire, la clinique Al Karim assure des services d’orthopédie et de traumatologie du sport. Les équipes médicales se composent également de spécialistes de chirurgie générale, de soins intensifs et de réanimation.

La clinique dispose ainsi  :

  • d'un bloc opératoire de 4 salles d'opération aseptiques
  • d'une salle de réveil
  • d'un service de réanimation de 10 lits
  • d'un service d'hospitalisation de 46 lits
  • d'un service de physiothérapie

La région du grand Casablanca est le terrain de plusieurs projets d'établissements de santé, publics, de fondation ou de groupe privé actuellement en gestation ou en cours de construction. Le groupe français ELSAN devrait bientôt inaugurer sa clinique de la ville verte, à Bouskoura.

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Inauguration de l'hôpital Edith Lucie Bongo
Zone géographique
République du Congo
Crédit photo alwihdainfo.com

« Les portes de l’Hôpital Général Edith-Lucie-Bongo-Ondimba (HGELBO), situé à Oyo dans le département de la Cuvette (plus de 400 km au nord de Brazzaville), sont officiellement ouvertes aux malades même si, depuis des mois, les professionnels de santé cubains et congolais y travaillent déjà. Le président de la République, Denis Sassou N’Guesso, a procédé à la coupure du ruban symbolique, le 10 mars 2017*.

En matière d’offre de soins, en effet, HGELBO est doté d’un plateau technique de deux niveaux : soins secondaires et tertiaires. 

Les premiers comprennent les services cliniques : Les Urgences médico-chirurgicales, les Consultations externes et spécialisées, la Médecine générale, la Gynécologie obstétrique, la Pédiatrie générale, l’Ophtalmologie, la Stomatologie, la Néphrologie-Hémodialyse, la Néonatologie, la Réanimation, l’infectiologie et la Rééducation fonctionnelle.

 Les seconds par ailleurs, concernent la Cardiologie, la Pneumonie, la Neurologie, la Chirurgie cardiovasculaire et thoracique, la Néphrologie Hémodialyse, la Neurochirurgie, l’Urologie, la Chirurgie pédiatrique. Les services de diagnostic dont l’Imagerie médicale et les services d'analyses biologiques au laboratoire allongent la liste...

Selon le ministre de l’Aménagement du territoire, Jean Jacques Bouya, l’hôpital général Edith-Lucie- Bongo-Ondimba sera une destination sanitaire privilégiée qui recevra des flux locaux, nationaux et internationaux. Il a félicité les experts chinois, français et congolais ayant travaillé d’arrache-pied pour sortir de terre HGELBO.

La ministre de la Santé et de la Population, Jacqueline Lydia a abondé dans le même sens : « Cet hôpital réduira considérablement le taux d’évacuations sanitaires à l’étranger en offrant les soins de qualité dans les spécialités diverses et variées ».

Elle a également attiré l’attention du personnel à l’œuvre dans cet hôpital. « La rigueur scientifique et l’excellence de la qualité des soins offerts doivent toujours répondre aux multiples attentes de nos populations », tout en remerciant la Chine pour la construction et Cuba pour l’opérationnalisation de HGELBO.

L’hôpital général Edith-Lucie-Bongo-Ondimba est construit sur une superficie de 23 hectares avec 80 bâtiments à terme. En dehors des missions classiques reconnues à toutes structures sanitaires, HGELBO participera à la recherche en santé et à la mise en œuvre de la politique nationale de santé définie par les pouvoirs publics. »

*La date du 10 mars choisie pour l’inauguration de la bâtisse n’est pas anodine. C’est en effet la date anniversaire d’Edith Lucie Bongo, décédée le 14 mars 2009 à Rabat (Maroc), quatre jours après son 45e anniversaire. 

Médecin de formation, l’ancienne Première dame du Gabon a participé à la création en 2003 de l’Organisation des Premières dames d’Afrique contre le sida (OPDAS), une maladie contre laquelle elle était très engagée.

EXTRAIT OU RÉÉCRIT À PARTIR DE L'ARTICLE SOURCE
Date de publication
Les HUG inaugurent le «vaisseau amiral de la santé des Genevois»
Zone géographique
Suisse
Crédit : site web des HUG

Un oeil chez nos voisins suisses, à travers une publication de 20min.ch : « Le nouveau bâtiment des lits des HUG a été inauguré vendredi 24/02/2017. Il ouvrira fin mars et abritera 188 chambres doubles.
Le tout nouveau bâtiment des lits des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) accueillera fin mars son premier patient. Le conseiller d’Etat Mauro Poggia n’a pas hésité vendredi à le qualifier de «vaisseau amiral de la santé des Genevois».

L’édifice a coûté 254 millions de francs. Il permet d’entrer de plain-pied dans le XXIe siècle, a ajouté le magistrat responsable du département de la Santé. Il abrite 188 chambres de deux lits. La comparaison avec l’actuel et vétuste bâtiment d’hospitalisation est cruelle.

Aujourd’hui, dans l’actuel bâtiment, six personnes peuvent se retrouver dans une même chambre, voire sept lorsqu’il y a une épidémie de grippe, a relevé le directeur général des HUG Bertrand Levrat. «Nous allons passer d’un standard totalement insatisfaisant à un hôpital de demain», s’est-il réjoui.

Le canton de Genève, au travers de ce nouveau bâtiment des lits, a visé une amélioration qualitative des hospitalisations, plutôt que d’opter sur le quantitatif. La tendance, à l’avenir, sera de mettre l’accent sur l’ambulatoire et sur une réduction de la durée des séjours à l’hôpital, a rappelé Mauro Poggia. L’édifice dispose d’une surface de 40’000 m2. Six blocs opératoires y ont été aménagés. Il est aussi équipé de 12 lits dédiés aux soins intensifs. Le bâtiment d’une hauteur de 45 mètres est composé de 16 étages, dont 13 hors-sol. Il porte le nom du professeur Gustave Julliard, qui a créé, en 1876, la Faculté de médecine de Genève. (…) Lire l’article complet sur 20min.ch.

N.B. Hospihub :

Au plan Intervenants techniques, l’équipe était notamment constituée par : Brunet Saunier Architecture, Odile Seyler & Jacques Lucan, Gerold Zimmerli, Burckhardt+Partner Genève SA.

Par ailleurs, les HUG organisent des Journées portes ouvertes les 4 et 5 mars 2017 pour découvrir le nouveau bâtiment Gustave Julliard Il sera possible de visiter :

  • Des chambres: davantage de confort pour les patients dans des chambres à deux lits avec douche et W.-C.
  • Les soins intermédiaires : une unité de 18 lits dédiée à des patients nécessitant une étroite surveillance.
  • Les zones d’isolement: des chambres à pression négative ou positive, munies d’un double sas, pour protéger les patients vulnérables.
  • Les soins intensifs : un suivi 24h/24 de personnes atteintes de pathologies sévères qui requièrent une prise en charge intensive.
  • Les salles d’opérations: un univers de haute technologie et de sécurité… où l’on entre généralement endormi.
  • Le centre de l’innovation: un espace pour rassembler, valoriser et concrétiser les meilleures idées, car innover c’est construire le futur.
  • Et bien d’autres surprises encore…

Des professionnels des HUG accueillent, orientent sur le sens du parcours, renseignent sur les particularités des locaux visités et répondent aux questions des visiteurs.

Seule condition : s’inscrire en ligne au prélable. En attendant : découvrez-le en vidéo :

 

LE NOUVEAU BÂTIMENT GUSTAVE JULLIARD

Date de publication
Le plus grand complexe médical d’Europe a ouvert ses portes à Mersin
Zone géographique
Turquie

Le plus grand complexe médical d’Europe : c’est ainsi qu’est présenté l’hôpital de ville de Mersin.

L’hôpital de ville de Mersin est entré en service le 3 février 2017 au cours d’une cérémonie à laquelle ont pris part le président Recep Tayyip Erdogan et le Premier ministre Binali Yildirim.

L’hôpital de ville de Mersin qui sera le plus grand complexe médical d’Europe devait commencer à accueillir des patients dès le lundi 6 février.

L’hôpital d’une capacité de 1.253 lits, a le statut d’hôpital public.

Selon le site trt.net.tr, » Le Président de la République de Turquie s’est félicité de la qualité des soins prodigués par les hôpitaux en Turquie, considérant qu’ils sont supérieurs à ceux fournis dans les établissements européens ou américains.

Le Président turc a longuement détaillé les évolutions importantes que la Turquie a vécu ces 15 dernières années dans le secteur de la santé.

« Vous trouviez des hôpitaux sans docteurs, vous trouviez des docteurs mais pas de matériel médical. Vous ne pouviez pas faire de radiographie, ni obtenir les médicaments qu’il faut. Les pharmacies n’avaient pas les médicaments dont vous aviez besoin. Avant, vous entriez dans un hôpital en bonne santé, vous en ressortiez malades », a-t-il rappelé.

(…)

Désormais, le gouvernement fait construire des «hôpitaux de ville », énormes complexes hospitaliers, ultra-modernes, qui regroupent en leur sein l’ensemble des spécialités médicales et chirurgicales.

L’hôpital urbain de Mersin est le second à entrer en activité après celui de Yozgat (centre) inauguré il y a quelques semaines.

Le nouveau complexe de Mersin en chiffres :

  • l’hôpital a été construit sur un terrain de 232 000 m2.
  • La superficie totale de l’hôpital est de 375 000m2.
  • Il comprend 502 chambres individuelles de 33 m2 chacune.
  • Il compte également 252 chambres doubles de 40 m2 et 21 suites de 65 m2. Soit une capacité totale de 1 300 lits.
  • Le complexe comporte aussi 51 salles d’opérations, 210 unités de soins intensifs et 230 polycliniques.
  • Un parking gratuit de 4 mille véhicules,
  • 1200 caméras de surveillance,
  • 13 cantines,
  • 3 restaurants et l’internet wifi gratuit, sont quelques-unes des caractéristiques de l’ouvrage.

D’autres hôpitaux urbains sont en construction dans toutes les régions de Turquie.

L’objectif étant d’atteindre en 2023, centenaire de la République turque, une capacité de 10 032 lits supplémentaires.

Découvrez-le en vidéo ci-dessous :

L'HÔPITAL DE VILLE MERSIN

Date de publication
Inauguration des nouvelles Urgences de l’hôpital Ibn Sina à Rabat
Zone géographique
Maroc

Ce 2 juillet 2015, à 11h , a eu lieu l’inauguration des services des Urgences et de la Radiologie de l’hôpital Ibn Sina , à Rabat. Le Ministre de la Santé le Pr Houssaine El Ouardi, a parcouru les espaces rénovés en présence du Directeur du Centre hospitalier Ibn Sina Pr Abdelkader Errougani .

Il aura fallu douze mois de travaux pour aboutir à ces nouveaux services de soins mis à la disposition des Rabatis, et des marocains en général. La rénovation des services des Urgences et de la Radiologie spécifique des urgences, entre dans le cadre du plan national des urgences médicales conformément à la stratégie sectorielle 2012/2016 du Ministère de la Santé.

Le budget alloué pour que le plus grand hôpital du Royaume du Maroc puisse se doter d’un service des urgences aux standards de qualité, s’élève à 10 428 793, 98 DH (soit environ 950 000 euros).

L’hôpital ibn Sina dispose à présent d’urgences plus spacieuses, plus aérées, plus lumineuses et modernes, ce qui permettra d’offrir dans des conditions optimales, des soins de qualité aux 200 à 300 patients reçus quotidiennement.

Outre une salle d’accueil des urgences vitales (salle de déchoquage) qui a été doublée, le secteur des Urgences comporte des équipements techniques neufs, d’une pharmacie dédiée 24/24, 7J/7 et d’une unité de prélèvement pour les examens biologiques exclusivement réservée aux urgences.

Les équipements biomédicaux ont été financés à hauteur de 7 135 866 DHS (environ 649 000 euros) par l’établissement lui-même, et de 1 000 000 DHS (environ 91 000 euros) par le Ministère de la santé.

Au plan technique, on relèvera que les nouvelles urgences sont dotées d’une installation de traitement d’air et de climatisation autonome, et d’une vidéo-surveillance. Un système d’information, et une codification étudiée du circuit des urgences ont fait l’objet d’une réflexion spécifique dans ce projet de rénovation. La protection et la détection des incendies, obligatoires viennent compléter le tableau des points aujourd’hui remis à neuf.

Pendant toute la durée des travaux ( 12 mois), la continuité des soins dispensés aux urgences de l’hôpital Ibn Sina, a été assurée dans des locaux provisoires adéquats. Durant cette période, l’offre de soins réservée aux différentes activités des urgences de l’HIS, n’a pas connu de modifications notables, comme en témoignent les statistiques de prise en charge indiquées dans le dossier de presse.

MONTAGE PHOTOS AVANT/APRES CONÇU PAR LA DIRECTION DE LA COMMUNICATION DU CHIS DE RABAT

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Date de publication
Le CHU Dijon Bourgogne inaugure le nouvel hôpital »Bocage central »
Zone géographique
France

C’est hier lundi 6 juillet qu’était prévue l’inauguration du nouvel hôpital Bocage Central, en présence de deux ministres Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes et de François Rebsamen, ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social.Présents également pour couper le ruban, Alain Millot maire de la ville et président du conseil de surveillance du CHU Dijon Bourgogne ainsi qu’Elisabeth Beau, directrice générale de l’établissement.

Profitant de la présence de la MInistre de la santé, des représentaux syndicaux avaient prévu de l’interpeller sur différentes revendications, puisqu’un préavis de grève avait été déposé.

Le nouveau Bocage central permet un regroupement des services, le déménagement s’est achevé il y a quelques semaines.

Nous avons sélectionné un extrait du livret d’information du « Bocage central » pour la présentation du projet :

« Construit sur un terrain de plus de 160 000 m2, le nouvel hôpital occupe une surface de 80 000 m2. Le projet architectural respecte et valorise le caractère paysager du site, avec un impact au sol réduit pour préserver au mieux le parc existant, zone verte de grande qualité au coeur du site. Il offre aux patients et aux personnels des lieux lumineux et rassurants, permettant les soins dans les meilleures conditions techniques et humaines. Enfin, en concevant un bâtiment à l’aide de matériaux pérennes tels que verre, béton, zinc, ainsi que leurs mises en oeuvre des plus contemporaines, c’est une architecture de qualité qui a vu le jour, en harmonie avec les bâtiments et le paysage du site.

Bocage central comporte 8 niveaux, dont 4 niveaux d’hospitalisation consacrés aux services regroupés en pôles médicaux, médicotechniques et médicaux-chirurgicaux (hospitalisations, consultations externes, plateaux techniques spécialisés, réanimation médicale), et une hélistation en toiture.

Les niveaux bas, éclairés par la lumière naturelle, regroupent les activités internes à l’établissement : le plateau technique centralisé, qui comporte 25 salles d’opération, 40 lits de surveillance post-interventionnelle, le plateau d’imagerie, le secteur de réanimation chirurgicale, l’accueil des urgences adultes. Le SAMU y sera, quant à lui, intégré en 2012, à la fin de la phase 2.
Parallèlement à cette nouvelle construction, les ailes du bâtiment de l’actuel hôpital du Bocage seront restructurées durant une seconde phase de travaux (2010-2012) afin de finaliser la mise en place des pôles médicaux, soit au total 777 lits dont 592 lits dans le nouvel établissement, pour un total de 1 664 lits sur l’ensemble du CHU.

Bocage Central accueillera donc, à terme, l’ensemble des activités de court séjour adultes du CHU en regroupant les services installés au sein de l’hôpital général et de l’hôpital du Bocage.

Enfin, les 3 bâtiments indépendants sont reliés par des galeries vitrées. D’autres galeries souterraines relient Bocage Central avec le plateau technique de biologie (pour l’acheminement des prélèvements par exemple), l’hôpital d’enfants, le Centre de lutte contre le cancer Georges François Leclerc, et une autre galerie souterraine entièrement consacrée aux flux logistiques entre Bocage Central et le quai logistique. Cette organisation offre désormais au CHU des facilités de fonctionnement optimales. »

Le nouveau CHU de Dijon , est rebaptisé « François-Mitterrand ».

 

Date de publication
L’hôpital de Zone de Djougou a été inauguré
Zone géographique
Bénin

Samedi 22 août 2015, Le président de la République du Bénin, Mr Boni Yayi a inauguré l’hôpital de zone de Djougou, département de la Donga. Etaient présents également Mr Mickaël Bio Djara, maire de la commune de Djougou, Mr Raymond Adékambi, directeur général de l’AGETIP-BENIN, Mr Pascal Dossou Togbé, Ministre de la santé*.

Cet équipement sanitaire enrichit l’offre pour les populations, et complète la livraison des hôpitaux de Djidja (octobre 2014 ) et Covè (avril 2015).

L’AGETIP-BENIN retenue comme Maître d‘Ouvrage Délégué a assuré la conduite des études architecturales et techniques, ainsi que des travaux de construction.

L’hôpital de Djougou a été entièrement financé par la Banque Islamique de développement (BID) à plus de six milliards de francs Cfa et réalisé sur une superficie de 6924 m2. Destiné à remplacer les bâtiments de l’hôpital actuel dont la construction date de 1974, il devrait proposer une centaine de lits.

Outre les parties dédiées à l’Administration, l’hôpital comporte :

  • un service des urgences, une pharmacie de zone, un laboratoire, une banque de sang, un service de radiologie,
  • un bloc opératoire couvrant les interventions en : chirurgie générale, gynécologie, ophtalmologie, pédiatrie, stomatologie, ORL,
  • une maternité
  • un service de médecine interne
  • un local de désinfection
  • une centrale de distribution de fluides médicaux
  • une morgue
  • un incinérateur moderne

La section dite « à usage d’habitation » contient six logements et la logistique : la cuisine, l’unité maintenance biomédicale, des bâches à eaux, le réseau d’incendie, la voirie,…

Pour mémoire, l’Etat français a attribué une subvention à l’Ordre de Malte France pour doter la région d’un plateau technique renforcé sur le plan de l’imagerie médicale, dont un scanner de dernière génération qui est en service depuis le début de l’année 2012.

*Le Docteur Pascal Dossou Togbé a été officiellement nommé Ministre de la santé du Bénin le 18 juin dernier, en remplacement du Professeur Dorothée Akoko Kinde-Gazard, qui y avait effectué deux mandats .

Synthèse de Karine Breack-Touzet pour HOSPIHUB.COM – 31/08/2015

CONTACTS
Directeur de l’hôpital : Eric Branche Tel: 00 229 97 48 97 08
+ d’informations sur l’Ordre de Malte http://www.ordredemaltefrance.org/sante-handicap-autisme-dependance/a-linternational/cartes-des-etablissements/hopital-saint-jean-de-malte-a-djougou-benin.html

VIDEO DE L'HÔPITAL SAINT JEAN DE MALTE À DJOUGOU

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