Inaugurations

Mardi 31 mai 2016, le Président de la République gabonaise, Monsieur Ali Bongo Ondimba, a coupé le ruban de la remise officielle des travaux – de la phase 2 – exécutés au CHUL,par la société Vamed-Construction, spécialisée en conception, construction et exploitation des projets de santé. .

La nouvelle infrastructure hospitalière de pointe est construite sur 4 niveaux, soit une surperficie totale de 22 000 m2 va permettre aux autorités sanitaires du pays, d’alléger la facture des évacuations sanitaires en Europe grâce à une offre modernisée et diversifiée dansles spécialités prises en charge.

Situé au centre-ville de la capitale gabonaise, CHUL est aujourd’hui caractérisé au niveau 3 des soins selon les normes de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), grâce notamment au renforcement de sa capacité d’accueil, de 696 places contre 240 auparavant. Il dispose désormais de 9 unités d’hospitalisation, d’une pharmacie, d’un laboratoire, d’un IRM, de 8 blocs opératoires dont un spécialisé en cardiologie, d’un service de soins intensifs, d’un service de neuropsychologie, d’une morgue. A noter également la présence d’un auditorium en liaison directe avec les salles d’opération.

Le nouveau Centre Hospitalier Universitaire de Libreville accroît ainsi l’offre récente en infrastructures sanitaires gabonaises, s’ajoutant au Centre Hospitalier Universitaire d’Owendo (CHUO), au Centre Hospitalier Universitaire d’Angondjé (CHUA), à l’Hôpital de la mère et de l’Enfant Jeanne Ebori, et au Centre International Universitaire de Recherche et de Santé de Lambaréné (Moyen-Ogooué).

Le service maternité de l’établissement public hospitalier de Zéralda a été inauguré mercredi dernier en présence de la presse. La directrice de l’Etablissement, Mme Kaltoum Zahi, a indiqué que «les travaux de réhabilitation qui ont démarré il y a trois ans, ont permis de gagner de l’espace et d’augmenter les capacités d’accueil du service, à 80 lits. Les équipes médicales ont été également renforcées avec 38 sages-femmes, 37 résidents, deux professeurs, quatre maîtres assistants et six praticiens spécialistes ».

Les travaux de rénovation et réhabitation de la maternité de cet hôpital, qui accueille près de 8.000 patientes par an, et dont la dégradation était déplorée de tous, ont consisté précisément en :

• la rénovation et l’augmentation des salles d’accouchement
• l’achat d’équipement et matériel de dernière génération
• la rénovation, et mise en conformité  du réseau chauffage
• la remise en fonctionnement du système sécurité-incendie
• le recrutement d’ équipes spécialisées en hygiène et désinfection

L’opération de rénovation a apporté la création d’un service maxillo-facial, d’une capacité de 16 lits, un bloc opératoire, et dotée d’une équipe de 5 médecins spécialistes. N.B. : Le service est le troisième dans la région Alger, après ceux du Centre hospitalo-universitaire Mustapha-Pacha et de l’hôpital de Douéra.

L’EPH se voit également doté d’un poste de transfusion sanguine tout neuf et d’une nouvelle extension du service des urgences. Des espaces extérieurs pour la détente des patients et des enfants hospitalisés, ont aussi été aménagés, dans le cadre d’une réflexion globale.

Les travaux ont duré près de 3 ans, car réalisés tout en maintenant l’activité hospitalière. «Ceci sans compter la résistance qu’a connue l’opération de la part des défendeurs du statu quo, qui refusent le changement», a déploré Mme Zahi. Sa satisfaction n’était cependant pas feinte face à nouvelle structure rénovée qui vient renforcer les capacités de l’hôpital de Zéralda.

Ce début d’été 2016 voit l’inauguration de projets de santé dans la capitale Marocaine, qui apportent une certaine modernité, dans le type de services proposés.

Restructuration du service de psychiatrie Homme à l’hôpital Arrazi (Salé)

Dans l’objectif d’une meilleure humanisation des conditions de séjour des patients hospitalisés à l’hôpital ARRAZI de Salé (HAS), établissement spécialisé du CHIS dans les maladies psychiatriques, une véritable métamorphose s’est produite dans le service qui accueille les patients hommes malades (service de psychiatrie, unité B).

Rénovation, restructuration et nouveaux équipements, sont les mots clés, qui ont prévalu, lors de son inauguration, ce mardi 7 juin, par le Directeur du CHU Ibn Sina, Pr Abdelkader EROUGANI, M. Abdelhamid Ouaqouaq, Secrétaire Général du CHIS, en présence du médecin chef (HAS), Pr Jalal Taoufiq, Médecin chef de l’hôpital ARRAZI, ainsi que tout le personnel, médical, infirmier, technique et administratif de la Direction du CHIS et de l’hôpital ARRAZI.

Ce nouveau look du service Homme, vise également à améliorer les soins prodigués aux patients et offrir un cadre de travail agréable et adéquat pour le personnel soignant.

Le coût global des travaux s’élève à 14.107.536,00 DH (dirhams marocains) et celui des équipements est d’environ 1.053.568 ,32 DH.

Le nouveau service d’hospitalisation inauguré a une capacité de 61 lits, avec 3 chambres individuelles de protection, une aile pour les placements judiciaires de 14 lits, 4 chambres individuelles VIP et 4 ailes de 10 lits chacune.

La partie administrative comprend 3 bureaux (chef du service, médecins et infirmiers chef) ainsi que des salles de repos pour les médecins résidents, et les infirmiers, un réfectoire et une salle de réunion.

Côté logistique le service « Psychiatrie Homme », comprend une cuisine, et des locaux pour les travaux ménagers, pour le linge sale, pour le linge propre, pour les déchets, un vestiaire.

Une réflexion a été menée pour aménager des lieux d’activités qui participent à la prise en charge des patients et à l’amélioration de leur séjour à l’hôpital, en l’occurrence : un espace pupitre central, une grande salle de soins, un office relais, une salle à manger, une salle télé, un espace bibliothèque, une salle de jeux, une salle d’activités comportementales, une salle de fitness.

Pour le confort et la sécurité des patients et du personnel, outre un « chauffage-climatisation » central, des installations de détection incendie, une caméra de surveillance et un parking spécifique de 30 places complètent les travaux réalisés.

Unité Kangourou : une nouveauté à la Maternité Souissi, inaugurée en mai 2016

L’unité kangourou est une unité d’hospitalisation et de soins de la mère et du nouveau-né. C’est une unité pilote, première du genre au Maroc. Elle accueille des nouveaux-nés avec leurs mères, nécessitant des soins dans le cadre d’une pathologie simple ou relevant d’une surveillance postnatale (Durée Moyenne Séjour 48H) : nouveaux nés de mères diabétiques, nouveaux-nés macrosomes, et nouveaux-nés hypotrophes à terme. Elle constitue la continuité de la salle de naissances de la Maternité Souissi, son objectif principal est d’éviter la séparation Mère-Nouveau-né et de promouvoir l’allaitement maternel.

Ce projet s’inscrit dans le cadre de la stratégie 2012/2016 du Ministère de Santé. L’enveloppe budgétaire accordée à ce projet est de 700.000,00 DH en complément de l’enveloppe nécessaire aux équipements.

EQUIPE SOIGNANTE

L’Unité kangourou est sous la responsabilité du Pr S.AMRANI chef de service des urgences de gynécologie-obstétrique, Pr A.BARKAT chef service de néonatologie et Mme F.TALEB infirmière chef de la salle des naissances. La prise en charge médicale de la mère et nouveau né est assurée par des pédiatres, des obstétriciens. Les soins infirmiers sont assurés par des professionnels formés en soins de néonatologie ainsi que des sages femmes.

Les visites sont autorisées mais réglementées afin de limiter les risques infectieux.

DISTRIBUTION DES LOCAUX

Située au 7ème Étage, l’Unité Kangourou est d’une capacité de 20 lits et des locaux techniques répartis comme suit :

• 02 salles de 05 lits
• 01 salle de 06 lits
• 02 de 02 lits
• 01 bureau de l’infirmier chef
• 02 salles de soins
• 01 Salle de repos
• 01 Salle d’attente
• 01 Pharmacie
• Archives
• Salle d’allaitement

Le président gabonais Ali Bongo Ondimba, accompagné de son épouse, a procédé vendredi 8 juillet 2016 à l’inauguration du Centre hospitalier universitaire d’Owendo (CHUO) situé dans la banlieue sud de Libreville.

Présents également à ses côtés, Elise Eyang, Directeur général du CHU et Guy-Pierre Schmitz, directeur général de l’expert autrichien Vamed-Gabon SAS, en charge de la construction de l’établissement que les autorités gabonaises ont souhaité spécialiser en traumatologie et orthopédie.

Le couple présidentiel a effectué une visite des différents services de l’hôpital dont la capacité d’accueil est de 120 lits. Parmi ceux-ci, 25 sont utilisés par la maternité qui offre également un service de néonatalogie. Voulue par la Première dame du Gabon, la maternité a vu naître 658 enfants depuis son ouverture, il y a quatre mois.

L’hôpital universitaire emploie 37 médecins dont 2 professeurs, 5 chirurgiens en traumatologie, en orthopédie et chirurgie maxillo-faciale et 13 généralistes. Il dispose de plusieurs plateaux techniques de pointe qui permettent de diagnostiquer, d’opérer et de rééduquer les patients (service de balnéothérapie).

Le nouveau CHU d’Owendo, sorti de terre moins de deux ans après le démarrage des travaux, vient ainsi compléter l’offre de soins proposée par le service public. Si la chirurgie est le fer de lance du CHU de Libreville, dont la deuxième phase de travaux a été inaugurée par le président de la République fin mai, le tout nouveau CHU d’Angondjé, qui abrite l’Institut de Cancérologie de Libreville, s’occupe de soigner les cancers. Le site de Jeanne Ebori, dont le chantier est en phase d’achèvement, abritera bientôt un pôle mère-enfant, spécialisé en obstétrique, gynécologie et pédiatrie.
Le centre hospitalier universitaire d’Owendo reconnaît des insuffisances de formation du personnel pour l’entretien, la maintenance des équipements de haute technicité de l’hôpital. Selon la directrice, des partenariats sont créés avec d’autres hôpitaux de renom à travers le monde pour former les techniciens gabonais et faciliter le transfert des compétences.

LA CONSTRUCTION DE L'HÔPITAL D'OWENDO -LIBREVILLE TV

La Clinique Monticelli-Vélodrome accueille ses premiers patients depuis le 14 novembre dernier. Premier centre ambulatoire de Marseille, cet établissement de pointe est spécialisé en chirurgie orthopédique et ophtalmologique. Le chantier avait démarré en Avril 2015.

La Clinique Monticelli-Vélodrome, un établissement ambulatoire et spécialisé au cœur de la ville. Les activités de la Clinique Monticelli, référence en orthopédie et en ophtalmologie, ont été transférées le 14 novembre au sein de la nouvelle Clinique Monticelli-Vélodrome.
Objectif : développer la prise en charge ambulatoire dans un environnement dédié et sur-mesure au sein d’une organisation centrée sur le parcours patient intégrant les nouvelles pratiques et prises en charges médicales.
Le nouvel établissement, qui dispose de matériels à la pointe de la technologie, déploiera ses deux pôles de compétences :

• Orthopédique des membres supérieurs et inférieurs ainsi que la chirurgie du rachis dans le cadre de la collaboration ambulatoire avec le site principal en neurochirurgie à Marseille de l’Hôpital Privé Clairval
• Ophtalmologique comprenant toutes les surspécialités de cette discipline

L’établissement accueillera plus de 60 praticiens dont trente-cinq ophtalmologistes, plus d’une dizaine d’orthopédistes, et une quinzaine d’anesthésistes associés à l’ensemble des chirurgiens.
Le bâtiment, caractérisé par une imposante structure « orange » s’étend sur 5683 m², se compose de 12 blocs opératoires répartis sur deux plateaux dédiés aux deux Pôles de spécialités. Chaque plateau bénéficie de sa propre salle de surveillance post-interventionnelle et de son service d’hospitalisation ambulatoire intégré.

Un service d’hospitalisation de 24 lits complète la clinique pour répondre aux activités complexes nécessitant encore quelques nuits d’hospitalisation.

En 2016, la Clinique Monticelli réalise 75 % de ses interventions en ambulatoire, l’objectif est fixé à plus de 90% pour la future clinique d’ici à 2018.

C’est, en effet, pour développer ce mode de prise en charge en pleine évolution et proposer un centre exclusif ambulatoire au cœur de la ville de Marseille que ce projet a été pensé. La volonté de faciliter au maximum la fluidité de la prise en charge, par l’évidence et la rapidité des circuits au service du confort des patients, a été prise en compte dans la dimension architecturale du bâtiment.
Une marche en avant du patient tout au long de son circuit au sein de l’établissement permet une gestion du flux opératoire optimisé par un circuit patient personnalisé et une logistique adaptée.
Les circuits structurés selon le temps de prise en charge dont le fast-track pour les plus rapides incluent un perfectionnement des techniques d’anesthésie et de prise en charge de la douleur permettant au patient de rentrer chez lui en toute sécurité.

La technique du « fast-track », la récupération rapide après chirurgie (RRAC) : c’est dans ces démarches d’innovations qu’évoluera la clinique, qui propose, notamment, « le bloc à pied » pour certaines interventions. Une technique moins anxiogène pour le patient, qui se rend lui-même au bloc opératoire.
La clinique accueillera également prochainement un centre d’imagerie ouvert aux patients de l’établissement ainsi qu’aux consultations de ville.

Cyril SZYMKOWICZ est le Directeur du Pôle Marseille de Ramsay Générale de Santé.

Architecte du Projet : Didider Rogeon

La Princesse Lalla Salma, présidente de la « Fondation Lalla Salma – Prévention et traitement des cancers« , a procédé, le 22 novembre 2016 à Taza, à l’inauguration du Centre de détection précoce du cancer du sein et du col de l’utérus, à l’occasion de la célébration de la Journée nationale de lutte contre le cancer.

La construction et l’équipement de ce nouveau centre dans le cadre d’un projet de partenariat développé entre la Fondation Lalla Salma, le ministère de la Santé et un mécène de la région entre dans le cadre dans l’extension du programme de détection précoce des cancers du sein et du col utérin dans la région Fès-Meknès.

La réalisation de ce projet, étalé sur une superficie de 365 m2, et dont les ressources humaines et le fonctionnement sont assurés par le ministère de la Santé, a nécessité une enveloppe budgétaire de 3,5 millions de dirhams (MDH).

Le fonctionnement de cette nouvelle structure, composée d’une salle d’accueil, d’une grande salle d’attente, de deux salles de consultation pour le dépistage et le diagnostic des cancers du sein et du col, d’une salle de colposcopie avec une salle d’observation, d’une salle de mammographie, d’une salle d’échographie, d’une pharmacie et de deux bureaux, permettra d’assurer 6.000 consultations par an pour le dépistage et le diagnostic précoce des cancers du sein et du col utérin. » (CP fondation).

Le groupe mutualiste Hospi Grand Ouest (HGO), propriétaire de la Clinique Jules-Verne à Nantes, a inauguré ce 21 novembre ses nouveaux locaux dédiés à l’assistance médicale à la procréation (AMP).

Positionnée entre la troisième aile de la clinique et l’agence d’ Harmonie Mutuelle, le bâtiment se compose de 4 étages.

Les 7 000 m2 de cette aile viennent compléter les 28 000 m2 existants. Cette extension s’accompagne d’une restructuration de plus de 3 200 m2 au sein de la clinique entamée en 2012.
Cette extension permet d’accueillir de nouvelles consultations pour de nouvelles spécialités, d’augmenter les capacités d’hébergement et de compléter le plateau technique avec notamment un espace adapté aux prises en charge très courtes. Une entrée distincte a été également réalisée pour l’ambulatoire afin de faciliter le parcours du patient. Un étage dédié à la cancérologie a été créé.

Le projet global de cette action représente 10 000 m2 pour un coût d’environ 23 millions d’euros.

Architecte en charge du projet : AIA Associés

EXTENSION CLINIQUE JULES VERNE SEQUENCE 1

C’est en présence du directeur de l’hôpital de Bastia, Pascal Forcioli, du maire de Bastia, Pierre Savelli, du préfet de Haute-Corse, Alain Thirion, du Président du Conseil Exécutif, Gilles Simeoni et du Président du Conseil Départemental de la Haute-Corse, François Orlandi que le nouveau service a été inauguré le Vendredi 2 Décembre 2016

La nouvelle unité est dotée de 14 chambres individuelles spacieuses, de salles de kinésithérapie et d’ergothérapie et de lits confortables.

Les premiers patients y seront accueillis à partir du 19 décembre prochain par une équipe multidisciplinaire composée de praticiens, infirmières, aides-soignants mais aussi de kinésithérapeutes, ergothérapeutes, psychologue et diététicienne.
Dans une région où la population des + de 75 ans est supérieure à l’ensemble de la France Métropolitaine, l’hôpital de Bastia propose une nouvelle offre de soins destinée au court séjour pour accueillir des patients en phase dite aiguë. « Nous sommes ici dans une prise en charge globale du patient, physique et psychique avec une visée rééducative. L’objectif est que le patient récupère de l’autonomie afin de rentrer chez lui ou en EHPAD dans les meilleures conditions possibles » a expliqué Pascal Forcioli, directeur de l’hôpital.

Cette nouvelle structure a également la particularité de pouvoir accueillir 4 patients en état végétatif chronique grâce à des équipements adaptés dont des lits verticalisateurs et un environnement domotisé.

Conçue par l’architecte Dominique Vigier, l’unité comprend une extension extérieure et un aménagement intérieur intégrant des espaces de vie et d’animation adaptés aux patients. Des travaux qui ont coûté 4 millions d’euros, dont 400 000 euros en équipements. L’ Etat en a financé 80%. Le taux d’occupation de cette structure SSR est estimé à 85%.

Le mois dernier, Mr Pascal Forcioli avait inauguré l’espace culture et santé « Les Mur’Mures », dans le service de Court Séjour Gériatrique. L’idée était de fournir un lieu d’échange, de partage et d’isolement pour les soignants, les patients et leurs famille, est né le projet « Les Mur’mures ».

« C’est un projet parti du service » dit Marie Josée Contrucci, cadre de santé, qui décrit cet espace comme une bulle d’oxygène dans un service difficile. Près d’elle le docteur. Olivier Lietaud, responsable du service, décrit ce lieu comme un espace de repos pour les familles des patients et aussi pour le personnel qui, ici, pourrait être amené à faire des annonces difficiles. Cet espace sera aussi un endroit de recueillement pour ceux qui en auront besoin.
En rentrant dans la salle on n’a pas, en effet, l’impression d’être à l’hôpital. Une porte sépare la maladie et la souffrance des îles toscanes peintes en fresque sur un mur de la salle.

« On se dirait à un vernissage plutôt qu’à une inauguration », plaisante le directeur de l’Hôpital, Pascal Forcioli,… » (…)

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En Afrique du Sud, l’hôpital pour enfants Nelson Mandela a été inauguré vendredi 2 décembre à Johannesburg pour rendre hommage au père de la nation.

Trois années après sa mort, l’hôpital pour enfants – auxquels « Madiba » accordait une place immense – l’un des derniers rêves et projets de Nelson Mandela a enfin vu le jour. Il aura fallu près de dix années pour mener à bien ce projet et récolter le budget nécessaire à sa construction : 100 millions d’euros, des fonds à la fois publics et privés .

Dans un contexte économique difficile, Sibongile Mkhabela, dirigeante des Fonds Nelson Mandela a repris et poursuivi le projet jusqu’au bout. Les autres associations humanitaires ont reporté leurs priorités d’intervention face à la crise syrienne par exemple. C’est grâce à des fonds comme celui de la Fondation Bill Gates que le projet a démarré concrètement en 2014.

Doté de 200 lits, l’hôpital devrait fonctionner avec une équipe composée de 450 infirmières te 150 médecins.

L’établissement est à la pointe de la technologie en terme de cardiologie ou de neurologie entre autres. L’objectif est aussi philanthropique car, totalement connecté, l’hôpital pourra former des médecins dans des parties reculées de l’Afrique grâce à des vidéotransmissions. Quand aux coûts de fonctionnement ils seront supportés par le gouvernement mais aussi par les familles qui ont les moyens de le faire.

L’hôpital ouvrira progressivement ses portes au cours de l’année 2017.

Le président ghanéen John Dramani Mahama, a inauguré mercredi 4 janvier 2017 un hôpital moderne de 650 lits au sein du Centre Hospitalier Universitaire (CHU) Legon, à Accra (University of Ghana Medical Center).

Cette structure sanitaire qui a nécessité un investissement de 217 millions de dollars, correspond à la première phase du nouveau CHU.

Son objectif : devenir un des centres d’excellence en Etudes, Recherches et soins du continent africain.