Après Bordeaux, Strasbourg, Lille, Lyon, Nantes, La Réunion, Montpellier, Marseille et La Martinique, la campagne #FASN continue son tour des régions françaises et organise sa prochaine étape au Palais des Congrès de Dijon le 17 octobre pour accélérer le développement de la filière e-santé en Bourgogne-Franche-Comté.
Le système de santé en région Bourgogne-Franche-Comté est confronté aux défis du vieillissement de la population, à la montée des maladies chroniques et à la désertification médicale. Ces spécificités régionales appellent la mise en place de solutions innovantes favorisant la coopération interrégionale et la coordination des professionnels de santé autour du patient. Face à ces défis, la région peut se prévaloir de réalisations marquantes en matière de e-santé, avec le déploiement de la télémédecine en réponse aux problématiques de démographie médicale, la mise en œuvre d’outils et services numériques accompagnant la structuration des filières médicales ainsi que la mise en place d’expérimentations nationales (territoire de soins numérique avec eTICSS, télémédecine en EHPAD, PAERPA, etc.). C’est dans ce contexte que s’inscrivent les prochaines rencontres régionales de la campagne « Faire avancer la santé numérique » (#FASN).
Avec un programme co-construit avec l'aide des acteurs de santé régionaux et nationaux, ces rencontres mobilisent l'ensemble de l'écosystème sanitaire et médico-social ayant un intérêt pour le numérique et les nouvelles technologies. Elles offrent un moment privilégié pour le partage d'expérience et permettent de mettre en lumière les solutions et services innovants qui feront le système de santé de demain.
Plusieurs sessions ponctueront cette journée d’échanges et de partage d’expériences. En ouverture, une conférence institutionnelle en présence notamment de Pierre Pribile, Directeur général de l’ARS Bourgogne-Franche-Comté viendra poser le contexte général et apporter une vision prospective sur l’avenir de la e-santé sur le territoire. Elle sera suivie par une autre agora axée sur les projets régionaux innovants qui se déploient et qui nécessitent d’être connus par les professionnels de santé, avec l’idée d’offrir un panorama des initiatives qui proposent un véritable potentiel de transformation organisationnelle au service de la prise en charge des patients.
5 ateliers de travail permettront ensuite d’aborder les thématiques e-santé prioritaires dans la région : le numérique au service de la prévention, l’hôpital de demain, les plateformes territoriales d’appui & la coordination des soins, la coopération sanitaire ville-hôpital dans le cadre des Groupements hospitaliers de territoire (GHT) et la télémédecine.
Les Rencontres Régionales de la santé Numérique constituent un nouveau partenariat pour HOSPIHUB en cette rentrée, et viennent enrichir notre agenda pour votre meilleure information !
Une première mondiale a été réalisée en juillet 2017 par le service d’Exploration Fonctionnelle du Système Nerveux Pédiatrique du CHU Amiens-Picardie, en collaboration avec le laboratoire Inserm UMR 1105, GRAMFC*, de l’Université de Picardie Jules Verne, et la société américaine EGI : un enregistrement électroencéphalographique Haute Résolution (EEG HR) à 128 électrodes chez un nouveau-né prématuré de 30 semaines d’âge gestationnel, d’une précision jamais atteinte en clinique.
* GRAMFC : Groupe de recherche sur l’Analyse Multimodale de la Fonction Cérébrale,
Unité de recherche de l’UPJV labellisée Inserm
L’expertise du CHU Amiens-Picardie et du GRAMFC de l’UPJV est mondialement reconnue dans le domaine de l’analyse de la fonction cérébrale des très jeunes enfants.
« Aujourd’hui, les hôpitaux pratiquent des EEG sur les nouveaux-nés prématurés avec seulement 11 électrodes. Il y a une dizaine d’années, le CHU Amiens-Picardie a été le premier et le seul au monde à utiliser des casques à 64 électrodes, développés par le GRAMFC en collaboration avec la société Malterre à Moreuil, ce qui nous permettait déjà d’obtenir une meilleure résolution spatiale du signal électrique cérébral », explique le Professeur Fabrice Wallois, directeur du GRAMFC de l’UPJV et chef du service d’exploration fonctionnelle du système nerveux pédiatrique du CHU Amiens-Picardie.
60 EEG HR RÉALISÉS CHEZ DES ENFANTS, DONT LA MOITIÉ CHEZ LE NOUVEAU-NÉ.
Le service d’exploration fonctionnelle du système nerveux pédiatrique (EFSN pédiatrique) est aujourd’hui le seul service ainsi spécialisé en France et dans le monde.
Au sein de ce service, 3000 enfants ont bénéficié de la réalisation d’un EEG standard en 2016. Durant cette même période, plus de 60 EEG HR ont été réalisés chez des enfants, dont la moitié chez le nouveau-né.
UN DISPOSITIF PLUS PRÉCIS ET PLUS CONFORTABLE POUR LE BÉBÉ
En juillet 2017, l’équipe du Professeur Fabrice Wallois (avec entre autres le Docteur Emilie Bourel-Ponchel et le Docteur Mahdi Mahmoudzadeh, et les techniciens et techniciennes du service EFSN pédiatrique) a réussi à améliorer encore ce type d’examen considéré comme émergent dans le domaine des neurosciences et de la neurophysiologie clinique pédiatrique. C’est désormais avec un casque équipé de 128 électrodes, développé en collaboration avec la société américaine EGI, d’une excellente précision spatiale sur le cerveau du bébé, que cet examen pourra être pratiqué au CHU Amiens-Picardie.
« Ce nouveau dispositif est plus facile à mettre en place, du fait du nombre important d’électrodes couvrant l’ensemble du cerveau du bébé, et il permet d’extraire des informations qui n’étaient pas décelables avec les casques à 11 ou 64 électrodes » précise le Professeur Wallois.
Ce type d’enregistrement Électro-EncéphaloGraphique Haute Résolution (EEG HR) est un examen indolore et très rapide à mettre en place. Il permet un confort de prise en charge pour le nouveau-né prématuré, notamment avec la disparition de la pâte abrasive nécessaire pour améliorer le contact entre la peau et les électrodes lors des examens « classiques ». Ainsi, l’EEG HR a pour vocation à faire partie intégrante des examens de routine clinique et de recherche au même titre que l’EEG «classique» à 11 électrodes, réalisé quotidiennement au CHU Amiens-Picardie. Il devrait permettre de mieux définir des caractères prédictifs du devenir neurologique des enfants nés prématurés qui constituent une population à haut risque de troubles neuro-développementaux.
DE NOUVEAUX OUTILS D’EXPLORATION DU DÉVELOPPEMENT CÉRÉBRAL
Ces progrès et recherches participent à développer de nouveaux outils d’investigation du fonctionnement cérébral normal au cours du développement et de mieux comprendre les pathologies associées à la prématurité telles que les problèmes de maturation cérébrale, les convulsions, la souffrance neurologique ou l’épilepsie…, premières causes d’handicap de l’enfant.
Les enregistrements EEG en haute résolution spatiale (128 électrodes) et temporelle (à la milliseconde près) ouvrent de nouvelles perspectives en imagerie cérébrale fonctionnelle chez le nouveau-né prématuré.
Ils permettent de caractériser de nouveaux neurobiomarqueursde l’activité cérébrale normale et pathologique au cours du développement ; de localiser ces activités encore immatures par la réalisation d’imageries de source neuronales. Ils permettent de fournir des images de l’activation fonctionnelle, électrique, cérébrale au cours de la maturation, dans les différents stades de vigilance et d’étudier la dynamique de la mise en place des réseaux neuronaux tels que ceux impliqués dans le langage et de préciser ainsi le développement de la connectivité fonctionnelle cérébrale dans des situations fonctionnelles normales et pathologiques chez le nouveau-né prématuré.
LE GRAMFC, UNE UNITÉ DE RECHERCHE EN PLACE DEPUIS PLUS DE 10 ANS
Le Professeur Fabrice Wallois a créé en 2004 le GRAMFC (Inserm/UPJV), une équipe de recherche pluridisciplinaire regroupant :
– neurophysiologistes,
– pédiatres réanimateurs,
– neuropédiatres,
– gynécologues
– et spécialistes du traitement de signal.
Cette unité de recherche travaille sur l’analyse multimodale des dysfonctions cérébrales, notamment chez le nouveau-né. Les travaux de recherche qui y sont menés visent à développer des outils permettant l’analyse simultanée des modifications de l’activité électrique et hémodynamique cérébrale locale dans les situations physiologiques et pathologiques. Le GRAMFC est ainsi le seul laboratoire en France à développer des outils d’imagerie électrique haute résolution (EEG-HR) couplé à l’imagerie optique haute résolution (IO-HR) basée sur la spectroscopie dans le proche infra-rouge (NIRS) chez l’enfant, notamment le nouveau-né.
Depuis plus de 20 ans Karine Breack-Touzet évolue dans le domaine du projet hospitalier, ce qui l’a conduite à créer HOSPIHUB.
Elle est en constante relation avec les acteurs de la santé en France, au Maghreb et en Afrique. Son expertise s'étend aussi dans le tourisme de santé
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Date de publication
Zone géographique
France
Crédit : KORIAN - RUSSO Architectes
La clinique SSR Korian ouvre ses portes ce mercredi 6 septembre à Saint-André-les-Vergers. Baptisée « Korian Les Vergers », cette nouvelle clinique de soins de suite et de réadaptation accueillera ses premiers patients ce mercredi 6 septembre. Dotée d’une capacité de 70 lits et d’un plateau d’hospitalisation de jour de 10 places, elle vient compléter l’offre de soins locale.
L’établissement “Korian Les Vergers” accueillera des patients, qui, à la suite d’une hospitalisation, nécessitent des soins complémentaires ou une rééducation fonctionnelle. Ces patients seront pris en charge par une équipe médicale et paramédicale pluridisciplinaire d’une soixantaine de collaborateurs qui assureront un suivi médical complet dans un objectif de retour à domicile.
À orientation gériatrique et spécialisée dans le suivi des affections orthopédiques, rhumatologiques, traumatologiques, cardio-vasculaires et respiratoires, la clinique dispose de deux plateaux techniques de rééducation innovants avec notamment un parcours de marche mobile, mais également un parcours thérapeutique extérieur.
Une clinique nouvelle génération
Dotée de 58 chambres individuelles et de 6 chambres doubles, la nouvelle clinique dispose d’espaces détentes chaleureux et climatisés, pour les patients et leur famille, à chaque niveau du bâtiment ainsi qu’à l’extérieur.
Les repas sont entièrement cuisinés sur place, à partir de produits frais. Le bâtiment a par ailleurs été conçu pour préserver les ressources (énergie, eau, matériaux), réduire les pollutions et les nuisances, tout en améliorant le confort des patients et les conditions de travail des employés.
« Créée pour répondre aux besoins de santé dans l’Aube, Korian Les Vergers s’inscrit dans une logique partenariale avec les différents établissements de soins du secteur tels que le Centre Hospitalier de Troyes, la Clinique de Montier La Celle du groupe Elsan, ainsi que la Clinique de Champagne. Plusieurs projets innovants seront également développés avec le Living Lab ActiveAgeing de l’Université Technologique de Troyes (UTT) » indique le directeur de la clinique, Mathieu Frappin.
Nicolas Mérigot, Directeur Général France Santé du groupe Korian précise : « Nous souhaitions depuis longtemps contribuer à développer l’offre de soins dans l’Aube où nous sommes déjà implantés au travers de plusieurs EHPAD. Cette nouvelle clinique SSR, véritable pivot entre l’hôpital et le domicile, permettra, au-delà du bénéfice immédiat en matière de santé, de contribuer au développement économique de la région, avec la création d’une soixantaine d’emplois locaux ».
Pour Korian, la clinique représente un investissement de 10 millions d’euros.
N.B. HOSPIHUB : RUSSO Architectes signe le projet architectural, présenté ainsi sur son site (extrait) :
"Un comble coiffe la partie centrale du bâtiment, afin de dissimuler les équipements de ventilation et autres organes techniques.
Une cour de service regroupe les accès nécessaires aux livraisons vers les différents pôles logistiques.
Une réflexion particulière a été menée pour donner à l’entrée un caractère accueillant et chaleureux. La transparence vers le jardin et l’abondante lumière naturelle participeront à la qualité d’accueil des résidents et de leurs familles. Des lieux de convivialité sont disposés au rez de chaussée et à chaque étage.
L’entrée est accompagnée d’un traitement végétal paysagé et d’espaces verts soignés.
Un auvent végétalisé protège l’accès et les stationnements dédiés aux ambulances.
D’architecture résolument contemporaine, la future clinique marquera l’entrée du quartier et fera écho par son volume à la large avenue Colette et Daniel Petitjean qui la borde à l’Ouest.
Le rez de chaussée, traité comme un large soubassement, de teinte sombre, sert d’assise aux 2 niveaux supérieurs dédiés à l’hébergement, revêtus de panneaux composite de teinte claire.
L’entrée est marquée par un volume d’un ton plus chaud, proche d’un bois blond."
Présentation de l'événement sur le site de la FHF : "L’université d’été est une occasion unique de retrouver et échanger deux jours durant avec des professionnels qui, comme vous, s’interrogent et vivent au quotidien les adaptations de nos organisations.
A l’heure des coopérations et des mutualisations entre établissements d’un même territoire de santé, à l’heure où le numérique s’installe durablement dans nos vies et bouleverse en profondeur nombre de nos représentations, l’innovation en santé se traduit par des compétences partagées, une évolution des métiers, une place toujours plus affirmée du patient dans l’organisation des soins… De nouvelles modalités de prise en charge, de nouveaux modèles organisationnels s’installent progressivement. Des passerelles inédites se font jour. La qualité de vie au travail passe au-devant de la scène.
Ce sont tous ces enjeux, multiples, complexes, que nous vous proposons de discuter et partager avec vous. Afin que vous repartiez, au terme de ces deux jours, riche d’expériences de terrain concrètes mises en commun."
L'inscription est gratuite mais obligatoire. Et retrouvez en ligne le programme de l’Université d’été de la performance en santé, organisée en partenariat avec l’EHESP, le CIIS et avec le soutien de l’ARS Bretagne sur le site dédié : performance-en-sante.fr
"Les opérations du rachis sont désormais encore plus précises à la clinique Champeau.
La clinique Champeau qui est toujours en recherche des meilleurs résultats pour ses patients a encore une fois travaillé sur l'innovation. Pour prendre en charge certaines pathologies de la colonne vertébrale, le travail du chirurgien est désormais associé à l'utilisation de nouvelles technologies d'imagerie opératoire qui allie en quelque sorte l'utilisation de la 3D et du GPS (Pour faire plus simple, NDLR).
À Champeau, un investissement conséquent d'un peu plus d'un million d' euros a été réalisé pour proposer une des technologies les plus abouties en la matière, à savoir un outil mis au point par le laboratoire MedTronic, le système O-ARM.
" À présent grâce à cet appareil, explique le chirurgien, c'est une nouvelle prise en charge dont bénéficie le patient. Certains qui étaient autrefois inopérables peuvent de nouveau espérer être soulagés grâce à l'utilisation de cette nouvelle technologie"
Opérer des cas très complexes
En effet, grâce à l'utilisation de cette nouvelle imagerie 3D avec navigation en temps réel et assistée par ordinateur (GPS), le chirurgien peut implanter des vis qui tiennent des plaques ou bien des tiges métalliques, dans les vertèbres avec une extrême précision.
Face au chirurgien, des écrans et des lumières de guidage permettent donc d'opérer des cas très complexes, comme les scolioses, avec une sécurité renforcée pour les patients. Cet appareil aide le chirurgien dans le positionnement des prothèses qui vont être implantées dans le dos du malade.
" L'ordinateur permet en temps réel de voir le passage des structures nerveuses évitant ainsi au chirurgien un mauvais positionnement des implants", assure le chirurgien qui travaille sur le dos de son patient. " C'est un véritable changement car, par le passé, il fallait faire des radios pour être certain de ne pas avoir mal placé certaines vis. Aujourd'hui, nous savons, dans l'instant, si nous sommes au bon endroit. Il n'y a plus à revenir en arrière. Les outils sont guidés et nos gestes forcément plus précis. C'est un gain de temps considérable pour le chirurgien, mais aussi pour le patient qui récupère bien plus vite."
A la pointe de la chirurgie du dos
Avec ce nouvel appareil chirurgical, la clinique Champeau se positionne ainsi comme un centre de référence, à minima au niveau régional, puisque aucun établissement ne possède un tel appareil dans la région. Il faut aller à Toulouse pour en trouver un. (...) - source : midilibre.fr
Depuis plus de 20 ans Karine Breack-Touzet évolue dans le domaine du projet hospitalier, ce qui l’a conduite à créer HOSPIHUB.
Elle est en constante relation avec les acteurs de la santé en France, au Maghreb et en Afrique. Son expertise s'étend aussi dans le tourisme de santé
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France
Crédit : capture dailymotion
Dans notre publication de juin 2016, nous faisions la présentation de ce projet à Mulhouse.
Après des problèmes lors de la phase de réalisation des fondations, le nouveau bâtiment sera finalement opérationnel courant novembre 2017. Le déménagement est donc en préparation. « Nous allons ouvrir un espace de 23 000 m² réparti sur six étages, contre 17 000 m² actuellement. C’est toute une organisation à mettre en place. Le transfert de la maternité et de la pédiatrie du Hasenrain sera lissé sur trois semaines. Il est déjà prévu que l’hôpital fonctionnera sur les deux sites pendant quinze jours, sauf pour les services sensibles comme la néonatalogie » a indiqué Dominique Reuschte, un des Responsables du chantier, à lalsace.fr, du 02/09/17.
Les nouveaux locaux sont répartis ainsi :
Au rez-de-jardin : le lactarium, des locaux techniques et des salles de réunion.
Au rez-de-chaussée : l’accueil, les urgences pédiatriques et les consultations.
Le premier étage : réservé aux médecins, personnel médical et consultations pédiatriques, il comprend toutes les installations nécessaires des différents plateaux techniques.
Le deuxième étage : les urgences maternité et le service de néonatalogie.
Le troisième étage : la pédiatrie, les chambres des enfants accueillis de 0 à 18 ans.
Le quatrième étage : service d'hospitalisation des patientes de la maternité
N.B. : Rémy Butler est l' architecte en charge de ce projet.
Depuis plus de 20 ans Karine Breack-Touzet évolue dans le domaine du projet hospitalier, ce qui l’a conduite à créer HOSPIHUB.
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DATE : 10-12 octobre 2017
LIEU : Saint-Malo
Les Journées
Depuis 1990, EURO PHARMAT organise le rendez-vous des Journées Nationales d'Etudes sur les Dispositifs Médicaux qui se déplacent dans l'hexagone : Lyon, Toulouse, Bordeaux, Lille, Paris, Vichy, Marseille, Reims,...
Les journées d'étude sur les DM sont :
Le rendez-vous annuel de tous les acteurs intervenant dans le circuit du dispositif médical à l’hôpital: praticiens hospitaliers, personnels de soins et médico-techniques, universitaires, représentants des autorités compétentes, industriels
Des sessions plénières sur des sujets technico-cliniques et technico-réglementaires
Des ateliers pratiques sur différents thèmes
Une exposition
Chaque année, en début d’automne, en France métropolitaine
10 octobre 2017
08h30 Accueil des participants
09h00 Ouverture officielle des 27èmes Journées Euro-Pharmat : M. THIVEAUD Dominique, Président Euro-Pharmat
11 octobre 2017
SESSION TECHNICO-PROFESSIONNELLE
BON USAGE DU DISPOSITIF MEDICAL STERILE POUR LA SECURITE DU PATIENT
QUELS MOYENS DE PROMOTION ? QUELS MOYENS D'EVALUATION ?
Lundi 21/08/201, le projet du nouvel hôpital de Sambre-Avesnois a entamé la phase du terrassement et des voies d'accès provisoires. Bulldozer, pelleteuse, tracteurs, bennes…ont commencé leurs va-et-vient.
"En septembre, les ouvriers passeront la main à ceux de Montaron, à Maubeuge, pour « la voirie, la fin du terrassement et l’assainissement », précise Thierry Phillipart, le directeur dans une interview à la voixdunord. Un travail assez délicat, puisque le terrain n’est pas des plus faciles à travailler : d’une part, « il y a un important dénivelé de 14 m qu’il faut prendre en compte dans les questions de mise en accessibilité du site ». D’autre part, le sol présente « un fort clivage de matériaux (argile, calcaire…) et la présence de cavités souterraines.»
(...)
Bouygues Bâtiments Nord Est pourra ensuite s’affairer à la construction de l’imposant bâtiment de 130 mètres de long sur 80 mètres de large qu’a imaginé l’agence d’architecture Brunet Saunier, capable d’accueillir 265 lits, un parking de plus de 500 places et une hélistation en terrasse. Le tout pour une enveloppe de 115 millions d’euros.
Les équipes médicales devront cependant encore s’armer de patience avant de quitter l’établissement du centre-ville. La première pierre du centre hospitalier « devrait être posée en septembre », assure le maire, Arnaud Decagny. L’ouverture au public, elle, est prévue au second semestre 2020.(...)
Depuis plus de 20 ans Karine Breack-Touzet évolue dans le domaine du projet hospitalier, ce qui l’a conduite à créer HOSPIHUB.
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France
Crédit : compte twitter le Point
C’est un classement toujours très attendu. Dans son édition du 24 août 2017, l’hebdomadaire Le Point a publié son 20e palmarès annuel des meilleurs hôpitaux et cliniques de France.
Le trio de tête du palmarès des hôpitaux n’a guère évolué depuis 2016 : en tête, on trouve toujours le CHU de Bordeaux, suivi de celui de Toulouse, qui regagne une place, puis de celui de Lille.
Pour la 8e année consécutive, le centre hospitalier privé Saint-Grégoire, près de Rennes, est en tête des 50 meilleures cliniques de France.
« Notre force est de proposer des durées moyennes de séjours assez courtes, explique Nicolas Bioulou, son directeur. On le doit par exemple à l’utilisation d’un robot avec vision 3 D qui ne fait que quatre micro-incisions mais aussi par l’utilisation du laser. Ça permet de limiter les suites opératoires et optimise le retour à domicile. »