France

La prochaine Paris Healthcare Week aura lieu à Paris du 29 au 31 mai 2018.

Nouveauté : ouverture du salon jusqu’à 20h00 le mercredi 30 mai.

AGENDA
Paris Healthcare Week : Mardi 29, mercredi 30 et jeudi 31 mai 2018
9h00 à 18h00 (29 mai)
9h00 à 20h00 (30 mai)
9h00 à 17h00 (31 mai)

Où ? : Paris Expo, Porte de Versailles
Halls 7.2 & 7.3

Entrée gratuite

Evénement unique en Europe, ce rendez-vous de tous les professionnels de la santé réunit pendant trois jours, près de 850 exposants (équipementiers, éditeurs de logiciels, fournisseurs, entrepreneurs de l’e-santé, fabricants de dispositifs médicaux, architectes, soignants, institutionnels…) rencontrent près de 30 000 visiteurs soignants, experts, décideurs et professionnels de santé impliqués dans le management, le numérique, l’équipement et la construction des établissements de santé.

La Paris Healthcare Week est organisée autour des salons de la Fédération Hospitalière de France (HopitalExpo, GerontHandicapExpo et HIT) et le salon Infirmier® :

•  le salon HIT, leader de l’IT appliqué à la santé,
•  les salons HopitalExpo et GerontHandicapExpo, destiné aux professionnels pour la gestion, la construction et la transformation des établissements de santé,
•  le salon Infirmier®, rendez-vous unique de toute la profession infirmière, acteurs essentiels du parcours de soins.

« La Paris Healthcare Week est la plus importante manifestation professionnelle de la santé en France. C’est le rendez-vous annuel des acteurs qui contribuent à la modernisation du système de soins, un lieu idéal pour que les professionnels échangent sur leurs métiers et leurs savoir-faire, et aussi sur les questions d’actualités du secteur », explique Aube Jeanbart, Directrice générale du salon (en photo ci-dessous).

À PROPOS DE LA PARIS HEALTHCARE WEEK & PG PROMOTION

La Paris Healthcare Week est le rendez-vous annuel incontournable des professionnels de la santé. Le salon est un espace d’exposition mais également un lieu d’échanges (conférences, villages thématiques et agoras) pour l’ensemble des acteurs qui contribuent à moderniser l’organisation du système de soins et un véritable réservoir d’idées grâce à l’implication d’experts de haut niveau.

Avec 40 ans d’expérience, PG PROMOTION est devenu un expert de l’organisation d’événements professionnels dans le domaine de la santé. Grâce à ses équipes pluridisciplinaires expérimentées et à sa connaissance des établissements et des professionnels de santé ainsi que de leurs fournisseurs, PG PROMOTION propose une offre complète de services pour répondre à l’ensemble des attentes de ses clients ainsi qu’une base de données unique POLITI des établissements sanitaires et médico-sociaux.

À PROPOS DE LA FEDERATION HOSPITALIERE DE FRANCE (FHF)

Créée en 1924, la FHF représente plus de 1 000 hôpitaux et environ 3 800 établissements médico-sociaux.
Véritable « maison commune des hospitaliers », la FHF s’est construite autour de valeurs partagées : égal accès à des soins de qualité pour tous ; volonté d’innovation et d’excellence dans les soins et l’accompagnement, l’enseignement et la recherche ; continuité de la prise en charge.

La FHF réunit en son sein des hôpitaux de tailles différentes – centres hospitaliers locaux, centres hospitaliers généraux, centres hospitaliers universitaires, établissements spécialisés en santé mentale – ainsi que des Ehpad et des établissements assurant la prise en charge du handicap.

Elle défend l’autonomie des établissements hospitaliers et médico-sociaux, gage d’une adaptation intelligente aux réalités du terrain.

Elle travaille à la création d’un véritable service public de santé réunissant dans chaque territoire les professionnels des secteurs sanitaires et médico-sociaux afin d’améliorer la cohérence des parcours de soins et de vie.

Partenaire-media de la Paris Healthcare Week 2018, HOSPIHUB vous informera régulièrement du programme et des exposants de cette nouvelle édition. Il vous sera aussi possible de réserver votre badge d'entrée à partir de notre site : restez connecté !

L'édition 2017 en images :

Le programme d’extension et de rénovation des urgences du Centre Hospitalier Jean Marcel de Brignoles  met en avant l’expertise de Spie Batignolles en matière de construction hospitalière et participe à la qualité de prise en charge des patients.

La direction du Centre Hospitalier Jean Marcel de Brignoles a souhaité améliorer et augmenter sa capacité d’accueil au sein de son service des urgences. Dans ce cadre, il a été décidé la construction d’un nouveau bâtiment et la rénovation du service existant. Cette vaste opération (cf notre publication de mars 2017) porte sur un investissement global de 15,7 M €.

Les travaux de terrassement et de fondations spéciales sont en cours et les travaux de Gros Œuvre débuteront mi-novembre avec la mise en place de la grue de ce chantier.
La livraison de l’ensemble est planifiée pour février 2019. Le montant des travaux s’élève à 4 M€ HT.

L'équipe, la mission
Mandataire du groupement de conception-construction pour ce projet, Spie Batignolles sud-est est associée à CRR Architecture, Ingérop, ingénierie pluridisciplinaire et Echologos,acousticien.

Par une approche partenariale et de dialogue constant avec les équipes médicales, les équipes de Spie Batignolles sud-est savent  proposer les solutions les mieux adaptées au Maître d’Ouvrage, à la fois pour le confort des patients/résidents mais aussi en termes de fonctionnalité pour le personnel hospitalier.

« Avant d’approuver le projet retenu pour les travaux d’extension et de rénovation de notre Pôle Urgences, nous avons soumis les différentes propositions à un comité technique composé de tous les corps de métiers présents au sein de notre établissement (médecins, soignants, secrétaires …). Ils avaient constitué leur propre grille de lecture et d’analyse afin d’en apprécier tous les éléments proposés et leur conformité par rapport à nos attentes en termes de fonctionnalité des nouveaux espaces. La proposition du cabinet CRR Architecture et du groupement mené par Spie Batignolles sud-est et ses partenaires a constitué la meilleure réponse au schéma fonctionnel que nous avions mis plusieurs années à établir. Il s’agissait du projet qui, sur le plan architectural, s’est avéré le plus accueillant à destination du public (espaces verts, parkings, salles d’attente,…) et le plus optimisé en termes de sécurité (patients, visiteurs et personnels) et le plus opérationnel en termes de flux de circulations (séparation des différents publics,…) », explique Christian BAR, Médecin Urgentiste, Chef du service des urgences, exerçant au CH Brignoles et membre du jury votant.

La proposition du groupement a pour objectif d’apporter une réponse claire, évidente et d’une parfaite lisibilité tant dans la fonctionnalité que dans le parti pris architectural et
l’implantation.
L’établissement a été conçu comme un ouvrage à taille humaine, intégré dans le plus grand respect du site immédiat et environnant ; un lieu accueillant, capable de répondre et d'assumer pleinement la prise en charge du patient.

Composé de volumes simples, le bâtiment se développera à rez-de- chaussée dans le sens est ouest. Il se connectera directement au bâtiment « plateau technique » afin de pouvoir générer naturellement une liaison simple et forte entre les nouvelles urgences et l’imagerie du plateau technique, ainsi que les plateaux d’hospitalisation du centre Hospitalier. Le volume du rez-de- chaussée reposera sur un socle en sous-sol. Ce socle, grâce à la topographie du terrain, apparaît au nord du bâtiment pour que se compose la cour du SMUR autour de laquelle donneront les garages du SMUR existant et projeté. Ce socle recevra une isolation intérieure pour les locaux le nécessitant et sera traité en béton renforçant l’idée de socle et offrant également une bonne pérennité de l’ouvrage au vu de son usage.

Le service d’accueil des urgences, d’une surface d’environ 1 612 m 2 SDO, comprend :
-          la zone d’accueil extérieure (SAS ambulances, dépose-minute,..)
-          la zone d’accueil intérieure (salles d’attentes, espaces administratifs, sanitaires,…)
-          les locaux d’examens et de soins
-          l’UHCD (Unité d’Hospitalisation de Courte Durée)
-        les espaces logistiques des secteurs de soins : pharmacie, équipements médicaux, lingerie propre/sale, local ménage,…)
-          l’extension du garage des véhicules SMUR
 

Seront par ailleurs réhabilités :
-          Les locaux du personnel et les bureaux.
 
Le nouveau bâtiment s’inscrit dans le respect des contraintes du site hospitalier, notamment celles liées à l’hélistation. Une passerelle permet d’accéder directement du bâtiment « plateau technique » existant à la nouvelle construction située dans son prolongement.
Un parking dépose-minute de 15 places (dont 2 PMR) sera aménagé au plus près de l’entrée des patients valides. Un parking paysagé et arboré de 80 places (dont 2 PMR) prendra place au sud du Centre Hospitalier. Des cheminements relieront ce parking jusqu’à l’entrée du service des urgences. 18 places viendront compléter ce dispositif devant le bâtiment « plateau technique ».
 
Spie Batignolles sud-est est déjà largement référencée dans le secteur santé/médico-social et experte en matière de construction hospitalière. Quelques unes de ses missions  :
- Extension du Centre Hospitalier de Nuits Saint Georges (21)
- MAS « un toit pour moi » pour l’ARI à Marseille (13)
- EHPAD de Chamonix (73)
- Pôle gériatrique de Centre Hospitalier de Givors (69)
- EHPAD de Fontaine (38)
- Foyer de vie quartier Ste Marthe pour l’ARI à Marseille (13)

Agnès BUZYN, ministre des Solidarités et de la Santé, lance officiellement la consultation publique en ligne sur la stratégie nationale de santé. Cette stratégie constituera le cadre de la politique menée par le Gouvernement en matière de santé pour les cinq prochaines années.

Jusqu’au 25 novembre inclus, les Français pourront s’exprimer sur le projet de stratégie nationale de santé sur un espace dédié hébergé sur le site du ministère : http://strategie.sante.gouv.fr

Les internautes auront accès à ce document issu d’une phase de concertation menée depuis le mois de septembre avec les autres ministères et avec les représentants du secteur de la santé, des élus et des usagers. Ils seront appelés à réagir sur les quatre thèmes prioritaires identifiés par le Gouvernement (promotion de la santé et prévention, lutte contre les inégalités sociales et territoriales, qualité et pertinence des soins, innovation et place des citoyens dans la gouvernance du système de santé) ainsi que sur les volets spécifiques relatifs à la santé de l’enfant, de l’adolescent et du jeune, à la Corse et aux collectivités d’Outre-mer. Un questionnaire leur permettra également de transmettre leurs propositions.

Les réponses collectées permettront d’enrichir le projet de stratégie nationale de santé avant son adoption en Comité Interministériel de la Santé au mois de décembre. Un décret officialisera la stratégie nationale de santé avant la fin de l’année 2017. Dès le premier semestre 2018, la stratégie nationale de santé sera mise en œuvre par des plans et programmes nationaux, mais également dans les territoires, notamment dans le cadre des projets régionaux de santé définis par les agences régionales de santé. L’ensemble des priorités de la stratégie trouveront ainsi une application concrète et adaptée aux spécificités de chaque territoire.

Le futur bâtiment unique de biologie du CHU de Montpellier sera financé par la Banque Européenne d’Investissement à hauteur de 55 millions d’euros.

Le 23 octobre 2017, le Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Montpellier et la Banque Européenne d’Investissement (BEI) ont annoncé la signature d’un contrat de financement de 55 millions d’euros pour la construction du futur bâtiment de biologie du CHU de Montpellier en présence de Thomas Le Ludec, Directeur général du CHU de Montpellier et de Tanguy Desrousseaux, responsable de l‘activité de financement des infrastructures et du secteur public à la BEI.

Le rassemblement des activités de biologie au sein d’un bâtiment neuf constitue la première étape du Schéma Directeur Architectural du CHU de Montpellier dont l’horizon, à long terme, est le regroupement des activités de soins sur un site unique. Le financement européen a été accordé à des conditions financières très attractives grâce à la notation financière AAA de la BEI : il permettra très concrètement au deuxième acteur de santé de la région Occitanie de financer cette première opération de modernisation et de restructuration de l’offre de soins sur le site principal du Centre Hospitalier Universitaire de Montpellier.

Un chantier d’ampleur : le bâtiment unique de biologie et l’hélistation

Dans le cadre de la réalisation du projet d’établissement 2012-2017 le CHU de Montpellier s’est lancé dans la réalisation d’un Schéma Directeur Architectural dont l’ambition est, à long terme, de moderniser l’ensemble de ses infrastructures en favorisant le regroupement des activités de soins sur un site unique.

La première étape de ce projet consiste en la construction d’un bâtiment unique de biologie qui va permettre le regroupement de 19 laboratoires de biologie, d’anatomopathologie et de génétique, actuellement répartis dans de nombreux bâtiments de l’établissement. Cette phase va également permettre de préparer le site principal du CHU (le site de Lapeyronie) à accueillir ultérieurement de nouvelles opérations de modernisation. Ces aménagements préalables consistent notamment en la construction de nouveaux stationnements et d’une hélistation modernisée mais également en la sécurisation de l’alimentation électrique du site par la construction d’une nouvelle centrale de secours. Au global, cette première phase de travaux se chiffre actuellement à près de 112 millions d’euros.

Un projet financé grâce à la Banque Européenne d’Investissement

Le CHU de Montpellier a sollicité l’appui de la Banque Européenne d’Investissement pour le financement de ses opérations de modernisation et de restructuration de l’offre de soins. La BEI a donc favorablement répondu à cette demande en accord au CHU un emprunt de 55 millions d’euros à des conditions financières attractives.

Ce financement s’inscrit dans l’action prioritaire de la BEI en faveur d’infrastructures durables ayant un impact direct sur la vie quotidienne des habitants. En tant que premier financeur européen des infrastructures en France, la BEI a consacré 7,8 milliards d’euros d’investissements depuis janvier 2016 en soutien au développement d’infrastructures modernisées et durables dans les domaines du transport urbain, du Très Haut Débit, de l’enseignement avec les collèges, lycées et universités, et des hôpitaux. Plus de 50% des projets financés par la BEI en France concernent le financement d’infrastructures, ce qui est au-delà de la moyenne européenne.

La santé est de surcroît un secteur prioritaire d’activité pour la Banque de l’Union européenne avec près de 5 milliards d’euros d’investissements consacrés à ce domaine en France depuis le début des années 2000. 

Le Mercredi 25 octobre 2017 s’est déroulée la cérémonie de pose de la première pierre de l’institut de réadaptation du Cap Horn en présence d'un parterre d'administratifs et représentants des tutelles régionales, de Monsieur Christophe Coquelin,Directeur des Opérations du Secteur Sanitaire du Groupe LNA Santé, et de Madame Isabelle Pechin,Directrice Adjointe aux Opérations du Groupe Elsan.

La cérémonie a eu lieu sur le chantier du nouvel Institut à Landerneau. Ont été également conviés à célébrer cet événement majeur pour le territoire, l’ensemble des acteurs ayant contribué au lancement du projet.

Pour mémoire, le Projet de L’INSTITUT DE READAPTATION DU CAP HORN est porté par deux groupes de santé : le groupe LNA Santé, qui exploite la clinique Kerléna à Roscoff, le groupe ELSAN, qui exploite la clinique de l’Elorn à Landerneau. Les deux groupes se réjouissent du bon déroulement de cette opération.

« Il existe une tradition forte de coopération entre les acteurs au sein de ce Territoire de Santé, nous sommes heureux d’y apporter notre contribution et nous nous engageons à ce qu’elle se renforce demain avec tous les acteurs.

Cap Horn est un projet de recomposition et de transformation de l’offre pour apporter une réponse plus pertinente aux attentes des autorités publiques et de la population : moins de lits, plus d’ambulatoire, moins de locomoteur, plus de gériatrie, plus de proximité avec les grands donneurs d’ordre hospitaliers de court séjour, plus de proximité avec les bassins de population les plus importants du département

L’offre médicale et de rééducation qui sera développée a d’abord été pensée pour permettre aux professionnels de disposer d’un plateau technique et d’équipements performants afin d’offrir des parcours de santé adaptés aux enjeux de demain. », explique Christophe Coquelin, Directeur des Opérations du Secteur Sanitaire du Groupe LNA Santé.

Le nouvel établissement de 11000 m² regroupera donc les deux cliniques sur un site de 2,5 ha de terrain paysagé. Il comptera 160 lits d’hospitalisation et 35 places d’hôpital de jour. Les équipes accueilleront plus de 1500 patients par an.
Plus grand, plus moderne, plus efficient pour offrir aux patients et aux collaborateurs de nouveaux espaces d’accueil, de soins et de bien-être ainsi que des espaces de travail ergonomiques et lumineux. Il permettra également de répondre aux attentes du patient de demain, en termes d’accueil, de confort et de sécurité des soins tant en hospitalisation complète qu’en ambulatoire.

L’institut accueillera également dans ses murs un cabinet de radiologie libéral au profit de la population Landernéenne et des patients de la clinique.

La construction a été confiée à des entreprises locales, acteurs majeurs du secteur de la construction en Bretagne. Les travaux ont démarré le 1er Mai 2017 et se dérouleront sur une période de 24 mois. L’ouverture de cette nouvelle structure est programmée fin du second trimestre 2019. L’institut bénéficiera de la certification HQE Construction Santé (Haute Qualité Environnementale) grâce à des choix ambitieux de conception.

L’investissement s’élève à 25 millions d’euros. Avec la collaboration du cabinet d’architectes AIA Architectes Ingénieurs Associés, LNA et Elsan ont conçu un établissement innovant qui anticipe les évolutions majeures à venir dans la santé, et notamment dans le secteur des Soins de suite et de réadaptation.

La genèse du projet

En 2019, la ville de Landerneau va donc accueillir son futur établissement en soins de suite et de réadaptation issu de la fusion des cliniques Kerléna (Roscoff) et de l’Elorn (Landerneau). Cet emplacement s’est voulu plus central pour répondre aux besoins de santé du territoire. En effet, les deux cliniques partenaires se doivent d’évoluer pour répondre à plusieurs impératifs :

Garantir une offre de soins améliorée et conforme aux exigences de qualité et de sécurité attendues par les patients et les autorités publiques.

Répondre aux futurs besoins du territoire en matière de santé en réduisant l’activité de locomoteur, en développant les places en ambulatoire et en augmentant l’activité de Soins de Suite et Réadaptation pour les personnes âgées polypathologiques dépendantes.

Permettre à l’établissement d’atteindre une taille critique afin de pérenniser son activité

« Nous sommes convaincus qu’une telle évolution est attendue par les patients, que nous sommes fondés à la défendre, et que nous avons l’agilité nécessaire pour la conduire, à la fois dans nos modes de pensée, dans notre capacité à mettre en place de nouveaux outils, et dans la force de notre regroupement. », rappelle Isabelle PECHIN, Directrice Adjointe aux Opérations du Groupe Elsan.
« Nous tenons à saluer les équipes médicales et paramédicales et l’ensemble du personnel, pour leur engagement, leur volonté de porter ce projet avec fierté et leur accomplissement.

Je veux aussi profiter de cette circonstance pour remercier les équipes de LNA santé pour la qualité de nos échanges et l’esprit constructif qui les anime ainsi que nos Directeurs qui ont à cœur de réaliser un établissement fonctionnel et répondant aux nouveaux besoins de la prise en charge des patients.» rajoute-t-elle.

A l’aube de la pose de la première pierre, les salariés, consultés par référendum, avaient choisi le nom de leur future structure : l’Institut de Réadaptation du Cap Horn.

La Clinique Kerléna aujourd’hui :

-SSR de 112 lits

• 86 lits affections de l’appareil locomoteur
• 16 lits de Personnes Agées poly-Pathologiques Dépendantes (PAPD)
• 10 lits de polyvalents

La Clinique de L’Elorn aujourd’hui :

-SSR de 60 lits « polyvalents »

Après la mise en service à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière en 2015 d’un premier TEP-IRM destiné à une activité de clinique et de recherche, l’AP-HP a inauguré mercredi 27 septembre son second TEP/IRM installé à l’hôpital Henri Mondor de Créteil.

Cette inauguration a eu lieu en présence de Laurent Cathala, maire de la ville de Créteil, de Martin Hirsch, Directeur général de l’AP-HP, du Pr Jean-Luc Dubois-Randé, directeur de la faculté de médecine de l’UPEC, du Pr Ariane Mallat, présidente de la commission médicale d’établissement locale, de Martine Orio, directrice du groupe hospitalier Henri Mondor, d’Elise Noguera, directrice de l’hôpital, du Pr Alain Rahmouni, chef du Pôle Fonction imagerie thérapeutique, et des professeurs Emmanuel Itti et Alain Luciani, porteurs du projet SyMPTOm - imagerie simultanée TEP/IRM en Oncologie.

Le TEP/IRM -Biograph mMR de Siemens medical- installé à l’hôpital Henri Mondor est la première machine en France spécifiquement dédiée à la recherche en soins courants et à l’optimisation du parcours de soins en oncologie.

Ce TEP/IRM intégré, pour lequel l’AP-HP a investi 3.5 millions d’euros, est la  4ème machine d’imagerie hybride TEP/IRM en France et la 2ème à être installée dans un des hôpitaux de l’AP-HP. Plus de 200 patients ont déjà pu en bénéficier.

Dans la prise en charge diagnostique, pronostique ou thérapeutique, certains patients atteints de cancer nécessitent à la fois une imagerie par résonance magnétique (IRM, pour l’étude du microenvironnement tissulaire dans lequel les tumeurs se développent) et une tomographie par émission de positons (TEP, pour l’étude du métabolisme des tumeurs et de leur agressivité).

Le financement de cet appareil d’imagerie hybride TEP/IRM Biograph mMR est issu d’une gestion optimisée des équipements du pôle Fonction-Image-Thérapeutique - FIT permettant à l’AP-HP d’être le principal financeur avec un investissement de 3.5 millions d’euros de l’AP-HP, avec le soutien de l’ARS Ile-de-France, le Cancéropôle Ile-de-France et le Fonds de dotation Henri Mondor. Il s’agit du 2ème TEP/IRM de l’AP-HP, le premier étant installé à l’hôpital Pitié Salpêtrière.

Cette installation s’inscrit dans le projet médical du pôle Fonction-Image-Thérapeutique-FIT de renforcer l’accès à l’imagerie la plus innovante pour les patients du territoire –nouvelles machines, partenariats recherche - et à réorganiser l’accès des patients consultants externes et ambulatoires, tout en favorisant les actions d’enseignement et de recherche, au cœur du projet SyMPTOm.

Le TEP-IRM est un appareil qui associe les informations provenant de sources différentes : l’imagerie métabolique de la TEP - tomographie par émission de positons - et l’imagerie morphologique et fonctionnelle par résonnance magnétique IRM. C’est une technologie de pointe qui a su relever des défis techniques, notamment celui de s’affranchir des interférences entre les matériels. En effet, les champs magnétiques élevés de l’IRM ne doivent pas perturber les photomultiplicateurs et l’électronique de la TEP et vice versa. Du fait d’une meilleure résolution spatiale et d’un meilleur contraste entre les tissus, il améliore la caractérisation tissulaire. Au cours du même examen, il permet d’étudier de façon combinée, la perfusion tissulaire, la diffusion des molécules d’eau, l’organisation microstructurale et la cellularité, avec l’analyse en TEP du métabolisme glucidique, de la perfusion, de l’anoxie tissulaire ou encore avec l’étude de certaines populations cellulaires.

Les principaux cancers ayant vocation à être concernés par l’installation de ce nouvel appareil et le projet SyMPTOm (imagerie simultanée TEP/IRM en Oncologie) associé seront les lymphomes, les cancers digestifs, le cancer de la prostate et le cancer du sein, représentant la grande majorité des cancers pris en charge par les Hôpitaux Universitaires Henri Mondor.

Crédit : © L.Friederich / AP-HP

Conjointement, trois grandes thématiques de recherche seront menées en priorité en s'adossant sur les pôles d'excellence de l’hôpital :

> Pour le lymphome, l'objectif est d'adapter les chimiothérapies de manière personnalisée, en fonction des caractéristiques tumorales avant et pendant le traitement. La conduite du projet sera facilitée par l'implication du site dans le LYSA (LYmphoma Study Association, groupe collaboratif national de recherche clinique, maillage de >100 centres actifs).

> Pour le cancer primitif du foie, l'imagerie simultanée TEP/IRM permettra d'identifier les tumeurs à risque de récidive après greffe hépatique et in fine de mieux sélectionner les patients pour lesquels cette option thérapeutique est utile.

> Pour la neurofibromatose, l'objectif est d'identifier les patients à risque de transformation maligne en s'appuyant sur le centre de référence National des Neurofibromatoses du site, qui coordonne tous les centres de compétence français.

Le projet SyMPTOm (imagerie simultanée TEP/IRM en Oncologie) est le fruit d’une collaboration de longue date entre les équipes de médecine nucléaire (Pr Emmanuel Itti) et de radiologie (Pr Alain Luciani) porteuses du projet ; il s’est progressivement étendu à la neuroradiologie (Pr Jérôme Hodel) et à l’imagerie cardiaque (Pr Jean-François Deux).

Ces équipes multidisciplinaires travaillent sur des thématiques communes de soins, de recherche et d’enseignement au sein du pôle Fonction-Image-Thérapeutique (FIT, Pr Alain Rahmouni), en s’appuyant sur des réseaux d’expertise touchant des pathologies telles que les hémopathies lymphoïdes, le cancer du foie, la neurofibromatose et l’amylose.

Le principe de l’imagerie « one-shot » TEP/IRM permettra de personnaliser la prise en charge des patients grâce à une meilleure caractérisation des cancers au diagnostic, une meilleure orientation des traitements et une meilleure évaluation de la réponse thérapeutique, tout en assurant aux patients un confort accru et une rapidité de prise en charge.

CP du 27/10/2017

Un nouvel Etablissement d'Hébergement pour Personnes Agées située à proximité des Antilles de Jonzac en Charentes Maritimes, ouvrira ses portes en novembre 2017.

Ce bâtiment de 3151m² pourra accueillir 61 personnes, 51 lits dont 15 lits Alzheimer et 10 places accueil de jour. 

Ce projet est né d'une collaboration entre le maître d'ouvrage Centre Hospitalier de Jonzac, le maître d'œuvre TLR architecture et le bureau d'étude Ingénierie Développement.

ALTOR Industrie a participé à ce projet en y installant 43 salles de bain de type Désirade 5 entièrement adaptées aux normes pour les personnes à mobilité réduite (cercle de giration, zones de transferts, barres de maintien...). Un système de purge automatique des tuyauteries en cuivre des salles d’eau a également été réalisé afin de lutter contre la légionellose.

Les salles de bains ALTOR Industrie sont entièrement équipées, mises en place et raccordées en moins de 6 heures. Autoporteuses pour s’affranchir des contraintes de construction du bâtiment, conçues pour que chaque fonction (zone de douche, WC, vasque) soit la plus conviviale et fonctionnelle possible, tout en conservant le meilleur accès pour l’entretien et la maintenance.

La maintenance et l’entretien sont facilités par la résistance du matériau, par la trappe donnant accès en gaine technique à toutes les attentes (plomberie, électricité…), par la trappe en plafond donnant accès aux spots et au siphon de la salle de bain de l’étage supérieur.

En savoir plus sur l'expertise, les références et produits d'ALTOR Industrie.

En légère progression de participation et avec un visitorat international en augmentation de 16 à 24%, la 7ème édition de JET Expo fut saluée pour la qualité croissante des contacts qui s'y établissent. Premiers retours sur ces 3 jours de rencontres professionnelles résolument placées sous le signe du développement des affaires.

LES TROPHÉES DES MEILLEURES PRATIQUES

JET Expo organisait cette année en partenariat avec le CINET et le magazine Entretien Textile les Trophées des Meilleures Pratiques. Les lauréats se sont vus récompensés pour leurs engagements respectifs en matière d'innovation, de développement durable et de responsabilité sociétale

LES RENCONTRES D'AFFAIRES
Cette année, les visiteurs avaient la possibilité de renseigner leurs projets d'acquisition et/ou de renouvellement dès leur inscription, afin de rencontrer les exposants lors de rendez-vous d'affaires personnalisés.
176 projets ont été déclarés pour une valorisation de plusieurs millions d'euros.

LES RENCONTRES TOP ACHETEURS

Fortes du large succès rencontré lors de la 6ème édition, les Rencontres Top Acheteurs étaient de nouveau organisées cette année.
Plus de 120 rendez-vous de grande qualité ont ainsi eu lieu entre les exposants du Salon et des acheteurs de Grands Comptes nationaux, sélectionnés pour les projets et les budgets qu'ils portent.

1ÈRE ÉDITION DE VET'IMAGE !

La journée du lundi 16 octobre était marquée par l'ouverture de Vet'Image, 1ère édition du Salon du Vêtement professionnel et d'image. Pari tenu de "l'élargissement des réseaux pour le développement des affaires"

La dernière cérémonie des vœux ( 13/01/2017) de l’hôpital de Port-Louis/Riantec (56) avait été l’occasion, pour la Direction de présenter l’esquisse du futur hôpital de la rive gauche, dont l’ouverture est prévue en 2021.

Le nouvel hôpital rassemblera sur une surface de 13 000m2 de les unités riantécoise et port-louisienne. Le projet se concrétise par les travaux qui vont débuter prochainement.

Une phase préparatoire va être mise en œuvre avant les vacances de la Toussaint, avec la création, par l’hôpital, d’un parking provisoire.

« Il devrait être opérationnel début 2018. Une nouvelle voie d’accès du bâtiment actuel va aussi voir le jour durant toute la durée du chantier de construction des futurs bâtiments, en partie sur l’actuel parking. Le service de soins infirmiers à domicile (SSIAD) va quitter d’ici un mois les locaux modulaires pour être installés temporairement à Port-Louis, dans l’ancienne maison du directeur », a confié le directeur délégué.

AIA Architecture et en charge de ce projet .