Projet hospitalier

Date de publication
Le chantier de construction du CHU de Tanger a commencé
Zone géographique
Maroc
Crédit photo : le 360.ma avec MAP

Le 22 septembre dernier, le Roi Mohammed VI a donné le coup d’envoi des travaux de construction du Centre hospitalier universitaire (CHU), dans la Commune urbaine Gzenaya (préfecture de Tanger-Assilah).

Le futur CHU sera réalisé sur une superficie de 23 hectares (89.072 m2 couverts), sur un terrain contigu à l’hôpital d’oncologie (en cours de réalisation) et bordé au nord-est par la future faculté de médecine et de pharmacie.

Financé par le Fonds qatari pour le développement, le coût global de ce nouvel équipement sanitaire est de 2.33 milliards de dirhams ( soit environ 211 millions d’euros).

Le CHU aura une capacité de 771 lits. Il se composera, outre les fonctions administratives et techniques :

  • d’un pôle « mère-enfant »,
  • d’un pôle médico-chirurgical,
  • d’un bloc opératoire comportant 15 salles chirurgicales centrales,
  • d’un centre de grands brûlés,
  • d’une unité de télémédecine,
  • d’un centre de formation,
  • d’un centre de simulation

Ce projet répondra aux besoins de la population de la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima.

Le nouveau CHU de Tanger s’inscrit dans le Programme « Tanger-Métropole », et, à l’instar de la faculté de Médecine et de pharmacie, du Centre régional d’oncologie et de l’hôpital de psychiatrie, contribuera à l’émergence d’un véritable pôle médical d’excellence au Nord du Royaume.

 

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Pose de la première pierre pour la construction de l’hôpital de Maquela de Zombo
Zone géographique
Angola

Uíge — Le gouverneur de la province de Uige (nord), Paulo Pombolo a posé, lundi 21 septembre, la première pierre pour la construction de l’hôpital dans la municipalité de Maquela de Zombo.

La construction de cet hôpital est financée par la ligne de crédit de l’Espagne pour un montant non révélé mais dont la capacité est de 150 lits. L’entreprise chinoise Yang International est chargée de la réalisation du chantier, qui devrait durer 24 mois.

A cette occasion, Paulo Pombolo a expliqué la nécessité de construire un autre hôpital, car l’ancien hôpital de Maquela do Zombo date de 1968, et ne répond plus aux besoins.

L’annonce a été faite aussi que la municipalité bénéficierait enfin du système d’adduction d’eau potable et de services sociaux.

Située à 298 kilomètres de la ville de Uíge, la municipalité de Maquela do Zombo, compte 122.320 habitants pratiquant essentiellement l’agriculture vivrière et la chasse.

Des projets, et un équipement sanitaire moderne qui devraient changer sensiblement le quotidien de ses habitants.

 

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Un premier centre de traitement du cancer en construction au CHU de Cocody
Zone géographique
Côte d'Ivoire

Mercredi 23/09/2015, la Première Dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara, a procédé à la pose de la première pierre d’un centre de radiothérapie, au CHU de Cocody.

Ce centre de radiothérapie, le premier du genre en Côte d’Ivoire va coûter près de 8 milliards de F CFA à l’Etat de Côte d’Ivoire. Désormais, les personnes atteintes de cette maladie trouveront sur place le plateau technique adéquat pour leurs traitements.

L’épouse du chef de l’Etat a cité les nombreuses contraintes liées à cette maladie : le coût excessif des traitements, le déplacement des malades hors du pays .

C’est d’ailleurs dans ce cadre qu’elle a organisé, il y a quelques mois, en collaboration de la Fondation de la Princesse Lalla Salma, l’épouse du Roi du Maroc, le séjour de plusieurs enfants malades du cancer pour des soins au Maroc.

« Ce centre de radiothérapie, dont nous posons aujourd’hui la première pierre, permettra à de nombreux malades d’avoir accès sur place à des soins appropriés. Je me réjouis de cette avancée significative dans la prise en charge des malades dans notre pays. Et je reste convaincue que ce centre ne sera pas le dernier à voir le jour, tant les besoins sont grands, et les maux nombreux à devoir être soulagés », a souhaité Madame Ouattara.

Madame Raymonde Goudou Coffie, Ministre de la Santé et de la lutte contre le VIH/SIDA s’est réjouie du démarrage de ce projet, et profitant de l’occasion, a annoncé la construction prochaine d’un 2ème centre régional d’oncologie et de Radiothérapie financé par la Corée du Sud.

La pose de cette première pierre, s’est achevée par la visite des deux nouvelles extensions du service d’Urgence du CHU de Cocody.

ALBUM PHOTOS

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Le point sur des projets hospitaliers en cours
Zone géographique
Algérie

En Algérie, beaucoup de projets hospitaliers sont en cours, et la vie des chantiers n’est pas toujours un long fleuve tranquille…comme ailleurs. C’est un sujet fréquemment traité par la presse, un peu plus qu’ailleurs. Nous avons relevé plusieurs articles :

HÔPITAL DE HASSI-MESSAOUD : LES TRAVAUX D’EXTENSION LIVRÉS EN FÉVRIER

OUARGLA – « L’achèvement des travaux d’extension et de réhabilitation de l’établissement public hospitalier (EPH) de Hassi-Messaoud (80 km d’Ouargla), est prévu en février prochain, a-t-on appris auprès du bureau d’études chargé du projet.

L’opération, qui a nécessité une enveloppe globale estimée à 382 millions DA dégagée du Fonds spécial de développement des régions du Sud (FSDRS-2012), vise l’extension et la réhabilitation de différentes installations de l’hôpital, sur plus de 2.534 m2 a précisé Abdellatif Kamassi.

Il s’agit d’un bloc des urgences, un service mère-enfant, un service de médecine, … »

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TIDJELABINE (BOUMERDÈS) : LE PROJET DE LA NOUVELLE POLYCLINIQUE À LA TRAÎNE

Le projet de la nouvelle polyclinique de la commune de Tidjelabine, est à l’arrêt. Cette situation pénalise de plus en plus les habitants de cette municipalité dont la population dépasse actuellement 26 000 habitants.

«Les travaux de la nouvelle polyclinique implantée au lieudit Latrèche sont restés à l’état embryonnaire. Depuis son lancement en 2013, le projet est à l’arrêt sans aucun motif. Seules les fondations ont été réalisées», regrette le maire de Tidjelabine. «Le transfert du dossier de la nouvelle polyclinique de la direction de la santé et de la population (DSP) vers celle de du logement et des équipements publics (Dlep) n’a pas donné de résultat. Nous avons signalé ce problème à tous les responsables. Mais la situation est restée la même», a-t-il souligné.

Le seul établissement de santé existant dans la commune est une ancienne salle de soins construite durant les années 1980, puis transformée en polyclinique. Cependant, elle ne dispose ni de médecins spécialistes ni du matériel suffisant. .. »

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SKIKDA : L’HÔPITAL RÉGIONAL DES GRANDS BRULÉS LIVRÉ FIN 2016

Skikda —23/09/2015 L’hôpital régional des grands brulés, en réalisation dans la commune de Bouzaâroura (20 km à l’est de Skikda), sera réceptionné « fin 2016 », a indiqué mercredi à l’APS le directeur de la santé et de la population (DSP), Mohamed-Nacer Daâmache.

Cette infrastructure de santé sera dotée d’équipements médicaux ultramodernes, conformes aux normes internationales liées au traitement des brûlures causées par les activités industrielles, a précisé le même responsable.

S’étendant sur une superficie de 5,4 hectares, cette structure hospitalière spécialisée de 120 lits, lancée en travaux à la fin de l’année 2014, a nécessité un investissement public de 2,4 milliards de dinars, a ajouté M. Daâmache… »

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Le nouvel Hôpital de Libourne officiellement en chantier
Zone géographique
France
© Stéphane KLEIN www.sudouest.fr

La pose symbolique de la première pierre du Nouvel Hôpital de Libourne (NHL) a eu lieu jeudi 24 septembre dernier, en présence de nombreux responsables : le président du conseil de surveillance de l’hôpital Michel Galand, le maire Philippe Buisson, le député Florent Boudié, Michel Laforcade, le directeur général de l’Agence régionale de santé, Michel Bruballa, le directeur de l’hôpital, et le sous-préfet Éric De Wispelaere.

Le personnel hospitalier était aussi convié.

Les travaux de reconstruction avaient démarré depuis quelques semaines. Le chantier de 158 millions d’euros, est financé en partie par l’ARS, avec une ouverture prévue courant 2018.

De l’hôpital Robert Boulin , inauguré en 1971 , il restera une seule aile. Le plateau technique, de construction récente, sera entièrement conservé.

L’opération de reconstruction du NHL fera naître un bâtiment neuf de 43000 m2, disposant de 60 salles de consultation, 484 lits, et un nombre évolutif de 38 places de chirurgie ambulatoire.

Le nouvel hôpital de Libourne répondra aux besoins d’un public important : il est le deuxième hôpital d’Aquitaine après le CHU de Bordeaux, et connaît une progression sensible en nombre d’actes médicaux : +7% en 2014.

Les patients pourront emménager dans les nouveaux locaux en 2018. Une extension du bloc opératoire est d’ores et déjà prévue pour 2020.

Peut-être d’ici-là, l’appel de Philippe Buisson, Maire de Libourne aura-t-il été entendu par l’ARS, pour l’octroi d’une IRM.

VIDÉO DE PRÉSENTATION DU PROJET

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Le mieux-vivre des patients passe par une meilleure isolation phonique
Zone géographique
France
Couloir d'hôpital (photo d'illustration). | MAXPPP

Lors de la conception d’un établissement de santé, le Bureau d’Etudes Acoustique a son rôle à jouer. Mais bien souvent, il est consulté par rapport aux nuisances sonores extérieures, sans prendre en compte la pollution sonore interne. Si le cahier des charges concernant l’isolation phonique externe est respecté lors de la réalisation, un premier volet structurel et technique sera mis en place pour tendre vers le confort acoustique maximal.Mais cela est fréquemment insuffisant.

Les véhicules et piétons passant à proximité sont invités à respecter un « SILENCE HOPITAL ». On peut s’attendre à ce qu’une fois à l’intérieur il ne soit pas nécessaire d’en faire le rappel. La plupart du temps, on constate que les visiteurs baissent instinctivement le ton de leur voix dans les couloirs et en entrant dans une chambre.

Mais il suffit d’interroger autour de soi les anciens patients sur leur expérience vécue pour obtenir des réponses qui varient assez peu : bruits des chariots qui cognent les portes battantes, ouverture sans précaution des portes de chambres qui restent ouvertes la nuit, apportant bruit et lumière, téléviseur des chambres voisines, papotage à haute voix du personnel dans le couloir, réveil brutal avec une voix forte le matin …chacun a son mauvais souvenir.

L’étude de l’Université du Michigan – cf publication Santelog – révèle les effets psychologiques mais aussi physiologiques du bruit ambiant sur les patients. Elle a été suivie d’effets, c’est-à-dire d’efforts d’isolation pour rendre cet hôpital plus silencieux :

« Pour améliorer les conditions d’hospitalisation, de soins et de récupération des patients mais aussi pour améliorer les conditions de travail des employés et personnels soignants, quelques initiatives sont proposées aux hôpitaux :

  • fourniture gratuite d’écouteurs, de casques et de bouchons d’oreilles pour les patients et leurs familles,
  • réduire les conversations de couloir au minimum, surtout la nuit.
  • réserver des plages horaires de  «  tranquillité » 
  • encourager chez les patients et le personnel la tranquillité de l’autre en baissant le volume des téléphones cellulaires, des télévisions, radios, alarmes et autres dispositifs, …»

Les secteurs de réanimation sont généralement bruyants du fait de la multiplication des bips qui accompagnent les différents systèmes de monitorage. Cette pollution sonore est pénible au bout de quelques heures et se pose naturellement la question du confort des patients, particulièrement en pédiatrie.

Cette question a été soulevée par l’AP-HM, à l’Hôpital Nord où s’est développée une démarche qui a conduit à mettre en application plusieurs des solutions citées. Depuis quelques années, les services de réanimation s’intéressent au mieux-vivre pour les patients et leur famille. Ainsi, sous l’impulsion du Dr VIALET et grâce à l’implication de toute l’équipe, un effort particulier a été fourni pour réduire le volume sonore à l’intérieur du service de réanimation pédiatrique.

RÉANIMATION PÉDIATRIQUE : RÉDUIRE LE BRUIT ET AMÉLIORER LA PRISE EN CHARGE DES ENFANTS

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Le chantier du nouvel hôpital de Guyane a reçu ses visiteurs institutionnels
Zone géographique
DOM-TOM

C’était mardi dernier – le 29/09/2015 – les responsables du CHOG et l’entreprise de construction ont accueilli et guidé des visiteurs de marque sur le chantier du nouveau centre hospitalier.

L’étude réalisée par l’AFD mentionne qu’avec 219 lits et places et un taux d’occupation moyen de 113% en 2012, les capacités d’accueil du CHOG sont saturées.

La dégradation et l’exiguïté de ses locaux posent un problème de qualité des soins (conditions d’accueil, d’hygiène et de travail, sécurité, etc.), tandis que leur dispersion complique l’organisation des soins et génère des coûts élevés de fonctionnement et de maintenance.

Afin que le CHOG soit à nouveau en mesure de répondre aux besoins de santé de son bassin de population et devant l’impossibilité d’étendre ou de réaménager les bâtiments actuels qui sont classés monument historique, la construction d’un nouvel hôpital à Saint-Laurent du Maroni a été décidée.

La semaine dernière, le groupe constitué d’élus, du sous-préfet, et de la Direction de l’ARS a donc suivi attentivement les pas et explications des responsables du Centre hospitalier de l’Ouest guyanais (CHOG) , et de Bouygues Construction, afin de découvrir le chantier, avec ses fondations et premiers pieux.

Le nouvel hôpital s’étendra sur 26 000 m2 sur un terrain de 70 000 m2 à Saint-Laurent du Maroni.

Le budget total de ce projet est de 125 millions d’euros. L’an dernier, l’État a accordé 13 millions d’euros. Le CHOG a obtenu deux prêts de 30 millions d’euros auprès de l’Agence française de développement (AFD) et de la Caisse des dépôts et consignations. La cinquantaine de millions d’euros restants est financée par les fonds propres de l’hôpital de l’Ouest.

Selon le Chef de projet au CHOG, le chantier avance » dans les délais, puisqu’il envisage de monter les murs dès le 15 octobre « .

Et de donner les détails : « Les cinq bâtiments doivent être terminés fin 2016, à peu près en même temps. D’abord le bâtiment logistique (bâtiment E). Puis les quatre autres bâtiments : le A (accueil au rez-de-chaussée et administration à l’étage), le B (chirurgie, médecine, chirurgie ambulatoire), le C (pôle mère enfants) et le D (plateau technique, bloc opératoire, bloc obstétrique, salles d’accouchement, radio, labo, pharmacie, etc.).

Après le gros oeuvre, suivront les travaux de second oeuvre. Les bâtiments doivent être livrés fin 2017.

Le transfert d’activité démarrera dans la foulée, afin d’accueillir les premiers patients début 2018. »

Les activités d’établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) ainsi que celles de soins de suite et de réadaptation, resteront sur le site actuel de l’hôpital, tandis que toutes les autres seront transférées sur le nouveau site.

Au total, le programme capacitaire du CHOG passera de 219 à 361 lits à l’ouverture de l’hôpital.

La construction d’un nouvel hôpital à Saint-Laurent permettra :

  • de prendre en charge les patients dans de meilleures conditions de sécurité, d’hygiène, d’accueil et de leur offrir, in fine, une meilleure qualité de soins
  • d’augmenter les capacités de l’offre de soins de l’ouest guyanais et de répondre ainsi à la forte progression de la demande ; les délais d’attente seront réduits pour les services d’hospitalisation et les conditions d’accueil améliorées pour les services accueillant des situations aiguës
  • d’accroître l’attractivité du territoire pour les professionnels de santé, effet non négligeable dans un territoire qui lutte activement contre la désertification médicale

LE CHANTIER DU NOUVEL HÔPITAL DE SAINT-LAURENT DU MARONI, AUX VAMPIRES - PHOTOS PIERRE-YVES CARLIER

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PRÉSENTATION DU NOUVEAU CENTRE HOSPITALIER DE L’OUEST GUYANAIS. © THTPROD, 2015

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Travaux de réhabilitation et d’extension pour l’hôpital Donka
Zone géographique
Guinée

Depuis le 30 septembre dernier, l’hôpital Donka, qui dépend du Centre hospitalo-universitaire (CHU) de Conakry, l’un des deux grands hôpitaux publics du pays, est fermé en partie pour cause de travaux.

Construit aux premières heures de l’indépendance de la Guinée, l’hôpital Donka n’a depuis, bénéficié d’aucune rénovation d’envergure. Les travaux de réhabilitation et d’extension qui vont très bientôt commencer sont financés à hauteur de 65 millions de dollars par la Banque Islamique de Développement (BID).

Selon la Directrice générale de l’hôpital, Hadja Sikhé Camara, l’opération durera 24 mois. Plus de la moitié des services est concernée : il s’agit de l’administration, du service de la maternité, les services chirurgicaux.

En revanche, les services d’urgence, de la pédiatrie, de la dermatologie et des maladies infectieuses ne sont pas visés par la fermeture.

 

RÉNOVATION DE L'HÔPITAL DONKA

COMPLEMENT HOSPIHUB :

Donka, radioscopie d’un hôpital africain

March 21, 2015

Tierno Siradiou Bah

 

Réalisé bien avant l’epidémie Ebola, ce film est plus d’actualité que jamais. Il met le doigt et fixe l’oeil sur la faillite du système de santé en Guinée post-coloniale. — T.S. Bah

DONKA, UN FILM DOCUMENTAIRE DE THIERRY MICHEL (1996, 2013)
La vie au quotidien à l’hôpital Donka, le plus grand centre hospitalier Conakry.

Durant 6 semaines, le réalisateur a suivi d’étage en étage, de service en service quelques malades et leur famille, des médecins, des infirmiers. Les portraits s’alternent dans une chronique de vie faite de tragique et d’espoir, où chacun essaie de s’en tirer “coûte que coûte”.
Dans cet hôpital du dernier recours, les familles espèrent sauver leur enfant, leur parent. Mais sans argent, pas de médicament, et peu de chance de survie.
Le film interroge l’état des structures hospitalières africaines et témoigne de la lutte de médecins décidés à relever le défi de la santé publique dans l’Afrique d’aujourd’hui.

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Démarrage du chantier du Nouveau Centre Hospitalier Princesse Grace
Zone géographique
Monaco
(c) Asylum - http://www.architecture-hospitaliere.fr

Ce mardi 6 octobre le chantier du Nouveau Centre Hospitalier Princesse Grace a reçu la visite du Ministre d’Etat, de Stéphane Valeri, Conseiller pour les Affaires Sociales et la Santé, de Marie-Pierre Gramaglia, Conseiller de Gouvernement pour l’Equipement, l’Environnement et l’Urbanisme, ainsi que de nombreux officiels.

Les invités ont effectué avec les responsables du Service des Travaux Publics, l’inauguration de la base-vie qui accueillera, jusqu’en 2027, les entreprises et les divers corps de métiers en charge de l’opération.

S.E. M. le Ministre d’Etat a rappelé que « L’inauguration de cette base-vie est un jalon essentiel, car il nous fait prendre conscience, par le concret, de l’importance de notre Nouvel Hôpital, maintenant que les travaux sont rentrés dans leur phase active ».

Un chantier qui donnera naissance dans 15 ans, à un bâtiment contemporain d’une capacité de 394 lits.

La base-vie est érigée sur quatre niveaux, composés de vestiaires et cantine pour tout le personnel, de bureaux pour les entreprises prestataires, un étage pour la maîtrise d’ouvrage et une salle de réunion.

Le chantier se déroulera avec maintien de l’activité , selon le principe d’opération tiroirs entre bâtiments détruits et nouveaux bâtiments réceptionnés.

Des investissements sont aussi prévus , à hauteur de dix millions d’euros annuels pour rénover des services tels que l’unité d’hémodialyse, ou pour créer une unité de soins palliatifs d’ici le début de l’an prochain.

Marie-Pierre Gramaglia a souligné que le nouvel hôpital sera « d’une grand qualité architecturale, répondant aux normes les plus avancées en matière environnementale ».*
Durant toutes les phases du chantier, le Gouvernement Princier guidera les visiteurs de l’Hôpital pour limiter les désagréments des travaux et veillera au maintien de la qualité des soins apportés par le CHPG.

A cette occasion a été dévoilé le site internet du Nouvel Hôpital (www.nouvelhopital.gouv.mc ) et la mascotte « Hector » qui accompagnera les usagers durant toute la durée des travaux.

* Le cabinet d’architecture AIA Associés, en équipe avec l’architecte monégasque NMI, AIA Ingénierie, Tractebel Engineering et AECOM mandataire, a remporté le concours en avril 2013

LA CONSTRUCTION DU NOUVEAU CENTRE HOSPITALIER PRINCESSE GRACE DE MONACO

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L’AFD accorde un prêt de 35 millions d’euros pour le CHU de la Réunion
Zone géographique
DOM-TOM
L'AFD accorde un prêt de 35 millions d'euros pour le CHU de la Réunion

Le CHU de la Réunion et l’Agence Française de Développement ont procédé vendredi 9 octobre dernier à la signature de la convention de prêt à hauteur de 35 millions.

Les travaux de restructuration de Saint-Pierre pourront commencer dès le mois de novembre.

Le CHUR de Saint-Pierre poursuit ses projets pour le développement et le renforcement de ses établissements et de ses offres de soins à la Réunion, notamment le projet de soins de suite et de réadaptation de l’Hôpital du Tampon, la construction du bâtiment soins critiques de l’hôpital Félix Guyon et la restructuration du bâtiment central de l’hôpital de Saint Pierre. Ces projets visent à améliorer l’accueil des patients, l’efficacité des activités et la performance énergétique de l’établissement.

Le CHUR s’est engagé à restructurer le site de Saint-Pierre par la réhabilitation et l’extension du bâtiment central. Ce bâtiment permettra de regrouper les activités de médecine et de chirurgie autour d’un plateau technique de haut niveau avec pour corollaire le développement de l’hospitalisation ambulatoire.

Le CHUR se situe au quinzième rang national avec 1 790 lits et places, et un peu moins de 6 000 collaborateurs. L’un des défis majeurs de cet acteur unique dans le paysage sanitaire de la sous-région consiste à réaliser d’importants investissements de modernisation et d’extension au cours de la prochaine décennie.

IMPACTS

Le CHUR est déjà l’établissement de recours dans l’interrégion Réunion/Mayotte et, plus largement, dans la zone sud de l’océan Indien. Il accueille ainsi une proportion grandissante de patients étrangers et de Français expatriés dans les pays de la zone. Il assure un rôle essentiel auprès des populations de cet espace géographique en termes d’accès aux spécialités et techniques médicales lourdes et complexes. Cette élévation du niveau du plateau technique réunionnais permet ainsi d’éviter un très grand nombre d’évacuations sanitaires vers la métropole.

LE CHU SUD À SAINT PIERRE DE LA RÉUNION

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