Projet hospitalier

Chartres Métropole et les Hôpitaux de Chartres s’associent pour la restauration collective. Une nouvelle unité, estimée à 8,5 millions d’euros, est en construction.

Les repas servis aux patients des Hôpitaux de Chartres, aux élèves des écoles publiques de dix-neuf communes de l’agglomération, ou encore aux étudiants qui déjeunent au restaurant universitaire de Chartres, seront bientôt préparés sur le même site. Le 1er janvier 2018, une nouvelle unité de production de restauration collective doit entrer en service, dans la zone d’activités de Gellainville.

Les travaux de construction de l’équipement – un bâtiment de 2 600m2 – portés par Chartres Métropole, ont démarré le 4 janvier, sur un terrain de 11.500 m ², situé rue Hélène-Boucher.

(…)

Un groupement d’intérêt public (GIP) a été constitué, avec deux membres fondateurs : Chartres Métropole et les Hôpitaux de Chartres. Sa création sera validée par le préfet, au cours du premier semestre 2017.

Environ 10.000 repas seront préparés, chaque jour, dans la future unité. Cette capacité pourra être portée, à terme, à 14.000 repas quotidiens, contre 5.500 dans le site actuel. François Charlemagne assure que cette montée en puissance n’empêchera pas la structure de continuer à « préparer une cuisine artisanale et traditionnelle ».Les repas sont préparés en liaison froide. Ils sont ensuite réchauffés sur le lieu de restauration. (…) Lire l’article complet sur lechorepublicain.fr.

N.B : Le cabinet d’architectes ARC & A Plaze et Delerive est en charge de ce projet

Comme chaque début d’année, Hospihub a relevé sur le web ce qui s’est dit au cours de cette cérémonie traditionnelle dans quelques hôpitaux. Après celles du 10 , du 17 et du 24 janvier, voici la quatrième sélection :

Centre hospitalier Léon Binet de Provins
En 2017, l’hôpital devrait consacrer plus de 3 millions d’euros à l’investissement. Les travaux d’aménagement d’une unité de chirurgie ambulatoire de 10 places attenante au bloc opératoire devraient être achevés. Un nouveau bâtiment obstétrical devrait être construit au-dessus du bloc opératoire avec une capacité d’accueil d’une quinzaine de lits. Les études sur la rénovation du bâtiment d’hospitalisation devraient être engagées afin, notamment, d’accroître le taux de chambres individuelles de l’établissement. Lire l’article complet sur larepublique77.fr.

Hôpital de Sens

Sont attendus en 2017, parmi les principaux chantiers :

• l’ouverture, le 13 février, du nouveau service de chirurgie de spécialités, intégrant la chirurgie viscérale, urologie et gynécologie ;
• le transfert du service oncologie dans des locaux rénovés ;
• la création d’un plateau de 200 m2 pour la rénovation du service des urgences afin de permettre une meilleure organisation des circuits de prise en charge, l’amélioration de l’accueil et le renforcement de la sécurité du service ;
• la construction d’un nouvel internat de 35 studios ;
• l’ouverture en février de la maison d’assistantes maternelles sur le site de l’ancien hôpital Saint-Jean.

Lire l‘article complet sur lyonne.fr

Hôpital de Concarneau

Le pôle de soins de suite et de réadaptation : C’est le grand chantier de l’hôpital concarnois appelé à devenir le pôle d’excellence SSR au sein de l’Union hospitalière de Cornouaille à horizon 2021. Un projet chapeauté par le Chic et l’Ugecam. Le centre SSR Jean-Tanguy de Saint-Yvi (90 lits), géré par l’Ugecam va déménager au Porzou ainsi que le service de Quimper. Au total le pôle concarnois devrait compter 200 lits et places près du bâtiment de rééducation fonctionnelle. Le projet est en bonne voie. La Caisse nationale de l’assurance maladie vient de lui accorder 27 millions d’euros. L’architecte sera choisi le 28 février dans le cadre d’un marché public. Le permis de construire devrait être déposé en octobre. L’ouverture est programmée en 2021.

Lire l’article complet sur ouest-france.fr

Hôpital de Nogent-le-Rotrou

C’est dans les prochains mois et sans doute avant l’été que la première pierre du chantier de construction de La Charmille sur le site de l’avenue de l’Europe sera posée.

Loïc Pennanech, le directeur, a précisé les grandes lignes de ce chantier de près de 9 millions d’euros pour un nouveau bâtiment en liaison avec celui de l’EHPAD de la Roseraie. « Il s’agira du plus gros chantier jamais réalisé depuis 10 ans dans le Perche eurélien qui permettra d’accueillir 78 résidents à un prix de journée de 59 € ». Au total, les deux EHPAD réunis accueilleront 153 personnes.

L’autre chantier auquel travaille l’hôpital nogentais vise à l’obtention de la certification V2014. « La perspective de la visite de la Haute autorité de santé à la fin de cette année dans le cadre du processus de certification V2014 de l’établissement ajoute à nos impératifs de résultats dans le domaine de la gestion des risques. La gestion active du risque doit désormais être omniprésente dans chacune de nos réflexions afin de fiabiliser nos pratiques et prévenir les accidents », a martelé le directeur du centre hospitalier.

Pour ce faire, l’établissement nogentais pense pouvoir compter sur l’expérience et les compétences du centre hospitalier de Chartres auquel il est lié dans le cadre du groupement hospitalier de territoire avec les établissements de Châteaudun et de La Loupe.

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Hôpital d’Agen-Nérac

«Pour 2017, le projet d’un nouveau plateau technique est lancé. Le 12 janvier, je suis allé déposer la demande de permis de construire en mairie. Nous allons pouvoir consolider le service de néonatalogie, d’hémodialyse, de réanimation ainsi que l’installation de nouveaux blocs opératoires et d’une unité de soins ambulatoires. le tout sur 12 000 m2 avec une ouverture prévue pour début 2019. C’est le plus gros chantier depuis la création de l’hôpital en 1979, un chantier de 45 millions d’euros» a annoncé le directeur Didier Lafage.

«L’espoir qu’on ne voyait plus venir» ajoute le maire d’Agen et président du conseil de surveillance Jean Dionis. «L’ARS (agence de régionale de santé) a tenu parole en investissant 10 millions d’euros sur ce projet. C’est le premier projet de l’Agenais.» (…)

Lire l’article complet sur ladepeche.fr

Le directeur de l’établissement, Philippe El Saïr a, lors d’un entretien accordé à Ouest-France, publié le 02/02/2017, dessiné « les contours du CHRU pour les quinze prochaines année ». Des investissements conséquents sont prévus, parmi lesquels nous avons retenu :

D’ici 2020, le site de la Cavale-Blanche, outre ses parkings qui seront agrandis, va s’enrichir de trois nouveaux bâtiments:

• dont le centre de médecine ambulatoire qui ouvrira début 2018. (7,5 millions d’euros).
• en 2020, par le centre de chirurgie ambulatoire (12 millions d’euros) et le transfert de la médecine nucléaire depuis Morvan.
• Puis, en 2021, de l’institut de cancérologie, qui accueillera également la radiothérapie de Pasteur (50 millions).

Le virage de l’ambulatoire a déjà été pris au CHRU, induisant la création de deux postes d’infirmières de parcours, dédiés aux patients opérés des membres inférieurs et pour ceux opérés de la main.

A l’horizon 2030, et sous réserve de financements accordés par l’Etat, la reconstruction du site Bohars et la réhabilitation du pôle mère-enfant seraient des projets majeurs.

2017 sera l’année du chantier des blocs opératoires. Dans un entretien avec un journal local corse, Monsieur Pascal Forcioli, le Directeur du centre hospitalier de Bastia a fait part des projets de l’institution pour l’année 2017.

Il entend poursuivre des investissements, dont les travaux de mise en sécurité incendie et électrique qui sont en cours depuis 2013.

Le nouveau grand chantier concernera les blocs opératoires, et sont prévus jusqu’en 2019 : il s’agit de restructurer complètement le bloc opétatoire, intégrer le bloc obstétrical, d’adjoindre le bloc d’accouchement.

Il sera alors possible d’ élargir les plages opératoires et de procéder au recrutement de chirurgiens.

Cette opération vise à renforcer l’attractivité de l’établissement, dans un tissu concurrentiel où il est le seul hôpital public, pour plusieurs cliniques. Le but est également de réduire la fuite des patientsvers le continent.

Concernant le service des Urgences : malgrè une hausse annuelle de 1000 patients, il va falloir attendre un peu pour réorganiser l’espace actuellement limité, augmenter le nombre de box.

L’hôpital a perçu 10 millions d’euros d’aides en 2016. Il aura besoin du même montant pour 2017, pour couvrir les investissements et le besoin en trésorerie.

Monsieur Forcioli a aussi indiqué que l’hôpital de Bastia avait mis en place des actions correctrices suite au rapport de la Cour des comptes, et qu’il comptait sur lesoutien de l’etat et des banques.

Clinique de la Ville Verte : premier pion de Elsan à l’International. le Groupe Elsan, 2e acteur de l’hospitalisation privée en France avec 83 établissements, s’associe avec des médecins marocains pour co-investir dans la construction d’un nouvel établissement près de Casablanca au Maroc.

Le futur établissement, appelé Clinique de la Ville Verte, est situé à Bouskoura au sud de la ville de Casablanca. Son ouverture est prévue en mai prochain.

Cette clinique offrira une expertise médicale de haut niveau complète en médecine, chirurgie et obstétrique pour une population de plus de 500.000 habitants. Cette offre de soins :

• 136 lits et places,
• une unité de soins intensifs et continus,
• une réanimation polyvalente,
• un plateau complet d’imagerie avec IRM, scanographe, de la radiologie interventionnelle ainsi que de l’échographie,
• un service d’hémodialyse
• et un laboratoire de biologie seront mis à disposition des patients.

a été définie par les praticiens fondateurs de la clinique auxquels Elsan a apporté l’expertise pluridisciplinaire de ses équipes en France et au Maroc

L’établissement complète l’offre de soins au Maroc qui dispose en capacité, de 11 lits en moyenne pour 10 000 personnes là où, en France, il y en a sept fois plus.

La future équipe médicale, animée par les médecins à l’origine du projet de la Clinique de la Ville Verte, le Dr Aziz Chraibi et le Pr Mustapha El Fatihi, néphrologues, comprend à ce jour plus de cinquante spécialistes séduits par la qualité de l’offre de soins et les plateaux techniques prévus dans l’établissement.

Jérôme Nouzarède, président du Groupe, affirme : « Nous partageons avec les praticiens fondateurs de la Clinique de la Ville Verte un même objectif. Nous souhaitons offrir aux patients marocains le meilleur du savoir-faire d’Elsan. Cet établissement, notre première implantation à l’étranger, constitue une première étape de développement international. » Elsan envisage de valoriser davantage hors de France son expertise reconnue en médecine, chirurgie et obstétrique ainsi qu’en cancérologie.

Le 11 juin dernier, la cérémonie de pose de la première pierre a été ouverte par le Directeur du Centre Hospitalier de Bagnols, Philippe Péridont. Cérémonie symbolique car les travaux ont démarré en novembre dernier.

Il s’agit de construire un nouveau plateau technique chirurgical de 2 560 m2, qui comprendra 8 blocs de chirurgie dont 4 réservés à la chirurgie ambulatoire, 1 salle de réveil de 18 lits. A ce même étage, le secteur endoscopie comprendra 3 salles dont deux pour des interventions sous anesthésie générale. S’ajouteront des consultations d’endoscopie et de gastro-entérologie.

Au rez-de-chaussée, seront, entre autres, aménagés un nouvel espace de 515 m2 au lieu de 260 m2 actuels pour la stérilisation et une nouvelle entrée pour le centre hospitalier avec un hall d’accueil de 300 m2, spacieux, moderne et lumineux. Le bureau des admissions, une zone d’attente pour les patients sont aussi programmés. L’accès au service d’imagerie médicale y sera réaménagé.

Un plateau qui présente la particularité d’être public-privé, c’est-à-dire que le nouveau bâtiment regroupera toutes les activités de chirurgie du centre hospitalier et de la clinique La Garaud, propriété du groupe Clinipôle. La livraison des nouveaux blocs opératoires est prévue à la mi 2016.

« Il a fallu plus de dix ans pour penser cette coopération entre le centre hospitalier et la clinique, et ce plateau est la concrétisation de tout ce travail de partenariat », a estimé le directeur du centre hospitalier de Bagnols Philippe Péridont. Un projet pour lequel 14,7 millions d’euros ont été investis, dont 3 millions d’aides de l’Agence Régionale de Santé (ARS). De quoi « singulièrement modifier notre offre de soins », d’après le professeur Gérard Allard-Latour, représentant de la communauté médicale du centre hospitalier.

« C’est un partenariat singulier dans la région », a ensuite admis Philippe Péridont, tout en notant que « face à la réalité du fait que les patients sont prêts à faire 150 kilomètres s’ils pensent qu’ils seront mieux accueillis ailleurs, il faillait réunir les compétences des uns et des autres. ».

Il est revenu aux docteurs, Allard-Latour, président de la Commission médicale d’établissement du CH et de son alter ego, Even de la clinique Lagaraud de poser symboliquement la première pierre.

Le 13 juin 2015, le Premier ministre Manuel Valls a posé la première pierre du futur hôpital de Petite Terre à Mayotte. La construction de cet hôpital est une nouvelle étape pour que tous les Mahorais aient accès à un système de soins de qualité.

Pose de la première pierre de l’hôpital de Petite Terre : un moment fort pour la santé à Mayotte Les enjeux ?
Ce projet, annoncé en août 2014 par le Président de la République lors de sa visite à Mayotte, complétera l’offre de soins du Centre Hospitalier de Mayotte et contribuera à rééquilibrer les infrastructures sanitaires sur le territoire.
Cette future construction d’un coût total de 27,6 millions d’euros accueillera le premier service de soins de suite et de réadaptation de Mayotte avec 55 lits et places, adultes et enfants et regroupera les activités existant sur Petite Terre, actuellement dispersées, urgences, dispensaires et centre de périnatalité. C’est ce que précise Etienne Morel, le directeur du Centre Hospitalier de Mayotte.

Il fera l’objet d’un financement sur les fonds FEDER pour 17, 3 millions, l’Etat apportant 4, 4 millions.
Dans son discours très applaudi, le premier ministre a insisté sur la volonté de son gouvernement de poursuivre le développement de l’offre publique et privée à Mayotte. C’est ainsi qu’il a annoncé la création d’un Service de soins infirmiers à domicile (SSIAD) de 40 places des 2015. Le premier ministre a également rendu hommage appuyé, aux équipes du CHM, principal offreur de soins du département.

Un projet salué par tous ?
La cérémonie s’est déroulée en présence d’un public nombreux, qui a réservé un accueil très chaleureux au chef du gouvernement, et de plusieurs personnalités , dont

• Seymour MORSY, Préfet de Mayotte
• Boinali SAID, Député de Mayotte
• Thani MOHAMED SOILIHI, Sénateur, Président du Conseil de surveillance
• Soihabadine IBRAHIM RAMADANI, Président du Conseil départemental
• Mahafourou SAIDALI, Maire de Pamandzi
• Guy FITZER, SGA Cohésion sociale
• Alain FAUDON, SGAR
• Dr Martial HENRY, Vice-Président du Conseil de surveillance
• Chantal de SINGLY, Directrice de l’ARSOI
• Juliette CORRE, délégué Mayotte ARSOI
• Etienne MOREL, CHM

Le CHM, un rôle prépondérant dans l’offre de soins à Mayotte ?

Le Centre Hospitalier de Mayotte est le principal offreur de soins du territoire, aussi bien pour les soins hospitaliers que pour l’activité externe. L’organisation territoriale du CHM a été pensée dans une logique de gradation des soins. Elle repose sur trois types de structures :

Les dispensaires :
13 dispensaires, répartis dans toute l’île, constituent le niveau de premier recours et assurent des consultations de médecine générale ; des consultations infirmières ; le suivi des sorties d’hospitalisation ;le suivi des patients atteints de maladies chroniques ;la dispensation gratuite de médicaments pour les traitements aigus ;

Les centres de référence :
4 centres de référence sont installés : dans le Nord (Dzoumougne), dans le Centre (Kahani), dans le Sud (M’Ramadoudou) et en Petite-Terre (Dzaoudzi). Ces centres assurent les mêmes missions que les dispensaires mais sur des horaires élargis. Des lits d’hospitalisation de gynécologie-obstétrique y sont également installés pour la réalisation d’accouchements physiologiques.

Le site principal de Mamoudzou
Il accueille le plateau technique et l’essentiel des capacités d’hospitalisation du CHM. Le plateau technique du CHM est complet puisqu’il comprend :

• Une structure des urgences
• Un SAMU centre 15
• Un centre de régulation des appels urgents (15)
• Un service de réanimation
• Un service de maternité
• Un bloc opératoire
• Un service d’imagerie avec accès à un scanner et un appareil d’I.R.M. (géré par un G.I.E. constitué entre le CHM et le cabinet d’imagerie médical privé)
• Un laboratoire de biologie
• Un caisson hyperbare.

CP de l’ARSOI – Contact Presse :
Cybèle FOOLCHAND – Port : 06 39 66 15 59 – Courriel : cybele.foolchand@ars.sante.fr

Première étape de la construction de l’Hôpital privé Dijon Bourgogne, établissement du groupe Générale de Santé, la pose de la première pierre du futur établissement a eu lieu le mardi 16 juin, en présence de Didier MARTIN, représentant le maire de Dijon, de Patrick CHAPUIS maire de Fontaine lès Dijon, de Françoise TENENBAUM, adjointe au Maire de Dijon, déléguée à la Santé, de Pierre PRIBETICH, adjoint au Maire de Dijon, délégué à l’Urbanisme et Président de la SEMAAD, de Christophe LANNELONGUE, Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé de Bourgogne, de Pascal ROCHE, Directeur Général du groupe Générale de Santé et de Philippe CARBONEL, Directeur du Pôle Dijon du groupe Générale de Santé.

Issu du regroupement sur le même site des activités actuelles des cliniques MCO Sainte-Marthe(Dijon), Fontaine (Fontaine-lès-Dijon) et Chenôve), l’Hôpital privé Dijon Bourgogne sera un maillon structurant de la nouvelle offre de soins sur l’agglomération dijonnaise. Il répondra aux besoins de santé d’un bassin de vie de plus de 350 000 personnes. Son ouverture est prévue en septembre2017.
« L’Hôpital privé Dijon Bourgogne répondra de façon optimale aux nouveaux enjeux de l’ambulatoire tout en renforçant les spécificités régionales qui ont fait la renommée des trois cliniques regroupées. Notre ambition est d’offrir une prise en charge privilégiant l’innovation et l’excellence, avec toujours la même préoccupation : le patient et l’attention qui lui est portée.» déclare Philippe Carbonel Directeur du Pôle Dijon du groupe Générale de Santé.

UN PROJET MEDICAL STRUCTURE PAR L’AMBULATOIRE …?
L’ambulatoire est un des enjeux majeurs de la restructuration des soins. Cette prise en charge qui permet au patient de quitter un établissement de soins dans les douze heures suivant son opération, sans hébergement de nuit est source de nombreux bénéfices pour le patient. La chirurgie ambulatoire fait en effet appel aux techniques et pratiques chirurgicales et anesthésiques les moins invasives et les plus innovantes. Enfin, la plus grande coordination des professionnels de santé à toutes les étapes du circuit patient contribue à la sécurisation de la prise en charge.

Aujourd’hui, ce sont 84% (*) des français qui considèrent que l’ambulatoire est le mode d’hospitalisation de demain.

D’une capacité de 217 lits et 71 postes d’ambulatoire, l’Hôpital privé Dijon Bourgogne table sur l’accueil de près de 43 000 patients par an, dont 24 000 prises en charge en ambulatoire.

Une nouveauté : Pour former les salariés à cette nouvelle organisation, des locaux prototypes seront créés. Il s’agit d’une première en Bourgogne et au sein des établissements de Générale de Santé. Ce seront au total 2 chambres témoins, une salle d’opérations et un poste de soins qui verront le jour en mars 2016, pour permettre une formation la plus pointue et la plus concrète possibles.
«Nous avons travaillé sur l’accueil et l’ergonomie pour répondre de façon optimale au besoin du patient dans ce nouveau mode de prise en charge en plein développement » précise Françoise Trivier, Directrice des soins du Pôle Dijon.

Autre nouveauté : Le service ambulatoire faisant partie intégrante du bloc opératoire, le patient pourra, en fonction de sa pathologie, se rendre directement à pied, en fauteuil ou en brancard dans la salle d’opération.

(*) Source : sondage Ifop pour Générale de Santé mené en ligne auprès d’un échantillon représentatif de 1020 français de 18 ans et plus, en mai 2014.

MAIS EGALEMENT PAR LE DEVELOPPEMENT D’AUTRES PRISES EN CHARGE ?

Outre l’ambulatoire, l’Hôpital privé Dijon Bourgogne proposera une offre de soins comprenant toutes les spécialités des trois cliniques regroupées, notamment les activités suivantes : gastroentérologie, cardiovasculaire, orthopédie, maternité, pédiatrie et néonatalogie, ophtalmologie, prise en charge de l’obésité, urgences et SOS Mains …

Le futur établissement sera également doté d’un plateau technique de dernière génération, comprenant 21 salles d’opérations, 6 salles d’accouchements et une salle de réanimation pour les nouveaux nés. Ces moyens seront complétés par une importante structure en imagerie médicale comprenant radiologie, scanner et IRM.

La construction d’une Maison Médicale pour les consultations externes complètera, à terme, le dispositif mis en place.

UNE CONCEPTION ARCHITECTURALE INNOVANTE AU SERVICE DES PATIENTS ?
Particulièrement innovante, la conception architecturale du futur établissement, qui a été conçu notamment pour accueillir les activités de chirurgie ambulatoire, tient compte des changements d’implantation d’occupation des espaces générés par ce nouveau type de prise en charge. Au centre de cette ambition la volonté et la nécessité de faciliter au maximum la fluidité de la prise en charge, par l’évidence et la rapidité des circuits au service du confort des patients.

CHIFFRES CLES

• 288 lits et places (dont 71 postes d’ambulatoire)
• 20 000 m² de surface
• 21 salles d’opérations
• 6 salles d’accouchements
• 185 praticiens
• Nombre de patients prévus par an : 43 000 (dont 2 000 accouchements et 24 000 séjours en ambulatoire)
• Nombre de passages prévus aux urgences par an : 17 000

A propos de Générale de Santé : Premier Groupe privé de soins et services à la santé, Générale de Santé compte 23 000 salariés dont 8 000 infirmier(e)s et 4 200 aides soignant(e)s dans 106 établissements et centres. Avec plus de 5 000 praticiens, elle représente la première communauté libérale de France. Acteur majeur de l’hospitalisation, Générale de Santé couvre l’ensemble de la chaîne de soins : médecine-chirurgie-obstétrique, cancérologie, soins de suite et de réadaptation, santé mentale et hospitalisation à domicile. Générale de Santé développe une offre de soins originale associant qualité et sécurité de la prise en charge, efficience de l’organisation et qualité humaine. Le Groupe propose une prise en charge globale avec un accompagnement personnalisé, avant, pendant et après l’hospitalisation, qui prenne en compte toutes les dimensions du patient ; il participe aux missions de service public de santé et au maillage sanitaire du territoire.

En savoir plus : www.generale-de-sante.fr

CP Générale de Santé – Contact Presse :
Marie Roux de Luze – Service de Presse de Générale de Santé
Tél. : 01.53.23.14.16 – P. : 06.08.50.91.49 – m.rouxdeluze@gsante.fr
Charlotte Euvrard – Pôle Dijon – P. : 06.75.17.05.18 – c.euvrard@gsante.fr

Livré en février 2015, l’EHPAD du Centre Hospitalier d’Auch et de Gascogne, conçu par l’agence Cardete Huet pour Mésolia – Groupe Arcade, accueille ses premiers patients.
L’opportunité d’évoquer une architecture attentionnée pour ce type d’hébergement (130 lits) où la vie qui s’y développe doit être contenue, protégée et tirer tout le bénéfice possible de l’organisation, des espaces, des lumières, des ambiances, complétant ainsi l’attention permanente du personnel aux occupants.

Dans ce projet :

• Tout est indépendant mais rien n’est isolé.
• Tout est compact mais tout profite des lumières.
• Tout est sécurisé mais tout profite des espaces extérieurs.

SANTE & LIEUX de VIE : un cadre en perpétuelle évolution

Une architecture attentionnée : Les relations que l’agence Cardete Huet a pu avoir, au fil du temps, avec les différents praticiens l’ont conduit à un regard différent, à une approche plus humaniste, à réfléchir à des attentions très importantes pour le patient : confort général, présence du soleil, lumière naturelle, orientation des chambres, importance de la végétation, qualité des matériaux, etc.
Cardete Huet a donc toujours cherché à s’éloigner des gestes architecturaux en privilégiant une attention aux usages, des collaborations avec des consultants externes qui lui ont progressivement appris à regarder les sujets d’un œil attentif observant les méthodes et « process » et l’ergonomie des lieux afin de ne pas être limités à une simple réponse fonctionnelle.
L’objectif est vraiment d’humaniser le champ hospitalier, d’ériger une architecture attentionnée.

L’EHPAD d’Auch
La personne âgée est ici au centre des préoccupations, des choix, au centre du système retenu.
Ce type d’hébergement est spécifique, la vie qui s’y développe doit être contenue, protégée et tirer tout le bénéfice possible de l’organisation, des espaces, des lumières, des ambiances, complétant ainsi l’attention permanente du personnel aux occupants.
Tenter de comprendre son quotidien, ses besoins, ses envies, ses craintes et ses angoisses, c’est l’incontournable tâche qu’il faut assumer.

De part et d’autre de cet espace médian de services, les unités se répartissent :

AU RDC

• Au Sud l’unité des semi-autonomes de 26 lits (2×13 lits), ouvrant sur le parc.
• Au Nord Est l’unité Alzheimer de 30 lits (2×15 lits), disposant d’un patio et d’un jardin clos dédié.
• Au Nord Ouest l’unité UHR de 14 lits, disposant d’un patio et d’un jardin thérapeutique clos dédié.

A L’ETAGE

• Au Sud l’unité de personnes âgées dépendantes de 30 lits
• Au Nord l’unité de personnes âgées dépendantes de 30 lits

« Les Italiens ont mis le paquet pour sortir l’hôpital européen de Paris – la Roseraie de l’ornière. Ce lundi à Aubervilliers, le Gruppo Villa Maria, (GVM) inaugurait les nouveaux locaux de la polyclinique et annonçait le lancement des travaux de reconstruction de l’hôpital attenant.

L’hypothèque du redressement judiciaire levée, le groupe de santé italien peut s’engager dans la reconstruction de cet établissement privé vétuste qui n’était plus aux normes. « C’est la plus belle activité de Paris. Nous sommes la seule clinique à faire de la neurochirurgie. Même l’hôpital américain a perdu cette spécialité », s’enthousiasme Giuseppe Mancini, directeur général.

Tout l’état-major transalpin avait fait le déplacement. La polyclinique qui réunit les consultations de 150 praticiens a déménagé dans une tour voisine de huit étages, vide depuis 2 ans. En neuf mois, celle-ci s’est refait une beauté. On y trouve des box de consultation individuelle, des salles d’attentes dimensionnées pour un flux de plus de mille consultations par an. Patrizia Barbieri, consultante pour GVM, connaît son dossier sur le bout des doigts. Elle a tout supervisé jusqu’au fleurissement des jardinières. Avec sa verve méditerranéenne, elle décrit l’esprit du projet : « Nous avons appliqué un code couleur différent à chaque étage.( …) » Ce détail n’est pas qu’esthétique. « Psychologiquement cela rassure. Ce sera plus facile pour aider certains patients analphabètes à se repérer. »

La réhabilitation de la polyclinique n’est que la première étape. La reconstruction de l’Hôpital européen, plusieurs fois repoussée, s’annonce comme « un projet majeur » début 2016.

Les locaux qui viennent d’être libérés avec le départ de la polyclinique seront rasés. A la place s’érigera le nouvel hôpital avec « ses six étages et quatre sous-sols pour les 200 places de parking », explique le cabinet d’architecte Martin & Guiheneuf. « L’activité de soins sera maintenue pendant les travaux », précise-t-il.

GVM injectera près de 60 M€ dans ce chantier, « sans aucune subvention de la tutelle », souligne Giuseppe Mancini. »

Un article de Nathalie Revenu | publié le 29 Juin 2015