
Les inscriptions visiteurs pour SANTEXPO LIVE viennent d’ouvrir ! RDV du 09 au 11 mars !
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« L’attractivité sous toutes ses formes » sera cette année le fil rouge de SANTEXPO LIVE, édition digitale du salon des professionnels de la santé et du médico-social de la Fédération Hospitalière de France (FHF), organisé par PG Organisation. Avec une année marquée par la crise sanitaire et une prise de conscience collective sur la place essentielle que tiennent les hôpitaux et les établissements médico-sociaux publics au coeur de la Nation, l’attractivité est plus que jamais un enjeu majeur pour l’ensemble du secteur et son
devenir.
Alors que les effectifs sont en tension et que les besoins ne cessent de croître, notamment en raison de l’évolution démographique, les thématiques de l’attractivité des métiers et des carrières, du management, de la recherche ou encore de l’innovation sont des préoccupations centrales, au cœur de ces trois jours d’échanges. Ces questions seront abordées par des experts de premier plan, personnalités publiques, politiques et acteurs de terrain sous la forme d’analyses, de réflexions prospectives et de retours d’expérience.
C’est une programmation adaptée et enrichie des retours d’expérience de la crise sanitaire et des perspectives apportées par le Ségur de la Santé que SANTEXPO LIVE vous propose. Parmi les grand sujets à retenir : l’essor de la télémédecine, l’hôpital de demain, l’attractivité des territoires, de la formation, des métiers et l’IA, la recherche, l’innovation... sans oublier la relation entre les professionnels de santé, les patients et les industriels pour garantir une meilleure prise en charge et une meilleure qualité des soins.
Les exposants vont également avoir l’opportunité de présenter, en ligne, leurs retours d’expériences lors d’agoras sur des sujets comme la sécurité et la valorisation des données de santé, le parcours patient, la qualité de vie au travail, le management, la prise en charge des aînés et du handicap....

Depuis plus de 20 ans Karine Breack-Touzet évolue dans le domaine du projet hospitalier, ce qui l’a conduite à créer HOSPIHUB.
Elle est en constante relation avec les acteurs de la santé en France, au Maghreb et en Afrique. Son expertise s'étend aussi dans le tourisme de santé

Le Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Montpellier offre en ce mois de février 2021, à la consultation publique, sa vision à l'horizon 2040 dans un livre blanc de 83 pages. Nourri d'histoire, de chiffres, d'études sur l'existant, de projections, de schémas, il est sûrement un outil modèle de la réflexion qui doit entourer et accompagner l'évolution d'un ensemble hospitalier de cette dimension.
Seul établissement public de santé de l’aire urbaine de Montpellier, le CHU de Montpellier est le 7ème hôpital de France, en termes de ressources humaines, d’activité de soins et de recherche. Il est le garant de la réponse aux besoins de santé de la population du territoire, rôle qu’il a su continuer à tenir dans le contexte particulier de la crise de la Covid-19. Associé à la faculté de médecine de l’université de Montpellier et intégré au sein d’un environnement de structures de recherche publiques et d’entreprises innovantes, il forme un campus hospitalo-universitaire d’excellence, inscrivant la médecine comme ADN de l’histoire et de l’avenir de la ville de Montpellier. Face à de nombreux défis à relever au cours des 20 prochaines années, le CHU de Montpellier doit repenser en profondeur ses infrastructures pour continuer à assurer sa triple mission de service public : le soin, la formation des professionnels de santé et la recherche biomédicale.
Dans ce contexte, ce livre blanc poursuit un double objectif : donner de la lisibilité à la situation actuelle, aux besoins et aux enjeux auxquels est confronté le CHU de Montpellier et rendre visible son projet architectural de long terme auprès des décideurs locaux et nationaux. Ainsi, ce livre blanc exprime une volonté stratégique, des projets et un chemin pour une modernisation indispensable exigeant des décisions rapides et précises. Il est l’expression de la réflexion de la gouvernance et des instances du CHU de Montpellier qui ont partagé des diagnostics, tiré les enseignements des difficultés rencontrées, établi des priorités et formulé des attentes.
Phase 1 : Modernisation - Pour un CHU significativement modernisé à l’horizon 2030
La première phase du schéma directeur qualifiée de résilience car elle a pour objet de surmonter l’adversité, c’est-à-dire les contraintes exposées précédemment, repose sur une combinaison de constructions neuves et de réhabilitation des bâtiments existants visant à répondre à trois axes prioritaires : humanisation des conditions d’accueil, sécurisation des infrastructures et soutien aux innovations médicales.
-->L’ensemble des projets « humanisation et modernisation » correspond à un total de près de 157 M€ et concerne plus de 1 100 lits (soit plus de 70 % du capacitaire du CHU en court séjour). Cet axe porte la volonté de faire de l’hôpital La Colombière, une « cité des fragilités ». Cette dernière intègrera le nouveau bâtiment des maladies infectieuses et tropicales dont la mise en service est effective depuis le 1er février 2021. Pour un montant de travaux de 11 Millions €, il offrira un service de 20 lits d’hospitalisation avec un traitement d’air moderne, adapté au risque épidémique, ainsi qu’un secteur de consultation.
Cette cité des fragilités accueillera également la totalité de l’activité d’addictologie de l’établissement à horizon 2023. En 2024, la cité poursuivra son développement avec la mise en service d’un nouveau bâtiment de soins de longue durée et de soins palliatifs. Avec 190 lits d’hospitalisation, la construction de ce nouveau pôle de gérontologie ayant vocation à remplacer le centre Bellevue est évaluée à 50 millions €. L’ensemble des hôpitaux de court séjour du CHU feront également l’objet de travaux de modernisation pour améliorer les prises en charge.
Ainsi, les conditions hôtelières d’accueil des hôpitaux Lapeyronie et Arnaud de Villeneuve seront progressivement rénovées par un système d’unité tiroirs. Le service des urgences, trop exigu pour répondre aux besoins actuels, fera l’objet d’un traitement spécifique avec la construction d’une extension en arrière de l’hôpital Lapeyronie à horizon 2024/2025. Sur le site Gui de Chauliac - Saint-Eloi, une réorganisation en profondeur des activités du pôle Neurosciences Tête et Cou est en cours sur un programme prévu jusqu’en 2024. Enfin, le pôle Cliniques Médicales sera reconfiguré grâce au déménagement d’une partie des activités du pôle sur le site de la Colombière. séjour).
-->L’ensemble des projets « Innovations médicales et soignantes » correspond à un total de plus de 156 M€ sur la période 2020- 2030 : Pour répondre aux enjeux de développement des prises en charge innovantes, le CHU réalisera plusieurs extensions de ses bâtiments existants. Ce sera le cas notamment pour le pôle Digestif à Saint-Eloi afin de permettre le développement des activités interventionnelles et opératoires, et pour Arnaud de Villeneuve pour développer les techniques innovantes en cardiologie interventionnelle. Le CHU accompagnera également le développement des nouvelles thérapies en oncohématologie, en particulier les thérapies cellulaires, grâce aux surfaces libérées sur l’hôpital Saint-Eloi. Fort de son engagement universitaire, l’établissement entreprendra également la modernisation de son pôle de formation afin de développer les innovations pédagogiques. Enfin, dans cet axe « innovations », la plus importante construction neuve sera livrée en 2024. Il s’agit d’un bâtiment de 21 000 m2 représentant un investissement de 103 millions € qui permettra de regrouper 18 laboratoires de biologie médicale actuellement dispersés sur l’ensemble des sites du CHU.
-->L’ensemble des projets « Sécurisation et environnement » correspond à un total de plus de 101 M€ sur la période 2020-2030 : Développer les travaux de sécurisation, cet axe comprend la modernisation indispensable du bloc opératoire de gynécologie et la mise en service de la nouvelle hélistation, prévue en 2021. Située à l’arrière de l’hôpital Lapeyronie, elle abritera les locaux du SMUR ainsi qu’un parking silo de 350 places et permettra la mise aux normes de l’hélistation du CHU.
« Au total, ce sont donc près de 415 millions € de travaux qui sont déjà programmés sur la décennie 2020-2030 pour réaliser l’ensemble des opérations permettant la résilience du CHU. »
Phase 2 : Transformation - Pour un projet majeur restructurant à l’horizon 2040
La seconde phase du Schéma Directeur Immobilier (SDI) vise à inscrire le CHU de Montpellier dans la durée en se dotant d’un outil plus cohérent et mieux adapté aux prochaines transformations du système de santé, en anticipant les évolutions futures des soins, de l’enseignement et de la recherche. L’ambition de long terme du CHU reste de viser le regroupement de l’ensemble des activités sur le site 1 allant d’Arnaud de Villeneuve à La Colombière. Pour cela, la première opération consiste à construire, à horizon 2035, sur l’emprise actuelle du centre administratif André Bénech un bâtiment neuf regroupant les activités des pôles Neurosciences, Femme Mère Enfant et Urgences : le « Nouveau Lapeyronie ».
Ce projet permettra de regrouper l’ensemble des services d’urgences et l’ensemble des activités de pédiatrie sur un même lieu, donnant ainsi une meilleure cohérence architecturale au CHU. Il prendra la forme d’un bâtiment de 7 étages de plus de 100 000 m2 regroupant des activités de consultations et d’ambulatoire, des plateaux médico-techniques (imagerie et bloc opératoire), des services d’hospitalisation et des espaces tertiaires dédiées aux activités d’enseignement et de recherche.
La deuxième phase consiste à construire sur l’emprise de l’hôpital la Colombière (au niveau de Peyre Plantade et la polyclinique de psychiatrie) un second bâtiment dont la destination finale reste à préciser à ce stade. La surface constructible est estimée entre 30 000 m2 et 60 000 m2 , en fonction des évolutions potentielles du plan local d’urbanisme. Plusieurs hypothèses sont envisageables pour accueillir, par exemple, les activités du pôle Cœur-Poumons, actuellement sur Arnaud de Villeneuve, ou celle du pôle Digestif de Saint-Eloi. Ces projets de construction représentant un investissement de plusieurs centaines de millions d’euros, ils doivent être pensés dès 2021 pour pouvoir engager la programmation et surtout obtenir les soutiens financiers indispensables à la réalisation d’opérations d’une telle envergure.
Phase 3 - Identification des disponibilités de construction
Il s’agit, dans une troisième phase, d’identifier des possibilités de construction. Une emprise a été identifiée sur l’implantation de Peyre Plantade et de la polyclinique de psychiatrie dont les activités devront être relocalisées au préalable. Cette emprise permettrait la construction d’un nouveau bâtiment pour lequel les options sont encore ouvertes à ce stade. La disponibilité foncière est de 11 500 m² au sol avec une limitation aujourd’hui de la hauteur à 15 mètres. Cette disposition du Plan Local d’Urbanisme (PLU) actuel contraint le CHU à une surface constructible de 25 500 m² maximum en raison de cette limitation de hauteur. Une demande de modification du PLU a déjà été faite par le CHU afin de disposer d’une hauteur constructible similaire à celle autorisée pour Lapeyronie et Arnaud de Villeneuve, soit 32 mètres. Cela permettrait au CHU de se projeter dans une disponibilité constructible de 68 000 m² autorisant ainsi davantage de projets pour l’implantation d’autres activités en lien direct avec la situation sanitaire dans les années 2030-2040.
Ci-après, extraits de quelques visuels que comporte le livre blanc :
Les principales opérations de modernisation engagées ou nécessaires dans la décennie 2020-2030.
N.B. : les lettres sur fond bleu ou orange dans les tableaux ci-dessous se retrouvent sur les plans de localisation des projets 2020/2030
Thomas LE LUDEC, Directeur Général du CHU de Montpellier et Pr Patrice TAOUREL, Président de la Commission Médicale d’Etablissement du CHU de Montpellier en sont les Directeurs de publication / Julie DURAND, Secrétaire Générale du CHU de Montpellier et Laetitia MIRJOL, Directrice du Schéma Directeur Immobilier du CHU de Montpellier ont constitué le Comité de rédaction / Chabanne Architectes et associés, A+ Architecture, TLR Architecture & Associés, Michel Rémon & Associés, Pierre Rigo et A2MO sont les architectes des différents projets.
Le comité de rédaction du Livre blanc fixe à présent deux échéances pour sa communauté professionnelle :
• La première est celle de la communication interne et de la communication institutionnelle en direction des décideurs et des acteurs économiques du territoire et de la région.
• La seconde est celle de la convergence du pilotage de l'établissement en faveur de la réalisation de toutes les actions décrites
Cliquez sur la couverture pour le télécharger
--> Ce livre blanc a fait l'objet d'un film de présentation à retrouver dans notre ESPACE VIDEOS

Depuis plus de 20 ans Karine Breack-Touzet évolue dans le domaine du projet hospitalier, ce qui l’a conduite à créer HOSPIHUB.
Elle est en constante relation avec les acteurs de la santé en France, au Maghreb et en Afrique. Son expertise s'étend aussi dans le tourisme de santé
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Face à la pénurie des médecins et l’apparition grandissante de “déserts médicaux”, le Groupe Vivalto Santé continue de développer des Unités de Soins Non Programmés (USNP). Ouvertes à tous, ces unités proposent des consultations médicales, sans prise de rendez-vous préalable. Un dispositif unique pensé par des praticiens spécialistes du Groupe d'hospitalisation privé pour aider la médecine de ville et contribuer à désengorger les services d’urgences. Par un communiqué du 04 février, le Groupe informe de l'ouverture de sa 9ème USNP, au sein de la Clinique du Pays de Rance, à Dinan.
Emmanuel Briquet, médecin urgentiste et directeur du développement et de la stratégie médicale du Groupe Vivalto Santé explique : « L’idée de ces Unités de Soins Non Programmés est d’avoir une graduation intermédiaire entre le rendez-vous de consultation que vous prenez dans un cabinet de ville et le service d’urgences. »
« Face à la problématique d’accès aux soins, l’Unité de Soins Non Programmés (USNP) est une réponse graduée que nous proposons aux habitants du bassin de vie de Dinan, indique Stéphanie Briantais, Directrice de la Clinique du Pays de Rance. Répondre aux besoins des patients, pour une prise en charge ne relevant pas de l’urgence vitale mais ne pouvant être ni anticipée, ni retardée : telle est la mission de l’Unité de Soins Non Programmés. »

Crédit photo : Groupe Vivalto Santé
Le fonctionnement de l’USNP : L’Unité de Soins Non Programmés de la Clinique est ouverte du lundi au vendredi de 9 h à 18 h. Les patients sont accueillis par une infirmière et consultent ensuite un médecin. Cette organisation offre un accueil rapide, un temps d’attente réduit à son strict minimum et un passage selon l’ordre d’arrivée de chacun.
Proximité des expertises et démarches plus rapides : L’Unité de Soins Non Programmés est en lien direct avec l’ensemble des médecins praticiens de la Clinique ainsi qu’avec l’imagerie du Pays de Rance. L'enjeu est de garantir une réponse aux besoins de soins non programmés : c'est à dire favoriser l'accès aux soins de qualité et travailler avec les différents intervenants de la structure pour mettre en place un parcours plus fluide. Une hospitalisation est possible si elle s’avère nécessaire. L’accès à l’imagerie est également favorisé, si un examen complémentaire est jugé nécessaire par le médecin.
Pour les docteurs Mathieu Juges et Jean-Éric Macé : « nous prenons en charge les traumatismes survenus dans le cadre d'accidents de la vie, du travail, ou d'une activité sportive par exemple : plaie, entorse, fracture, etc…. Nous soignons également les urgences chirurgicales abdominales et urologiques. Toutes ces pathologies relèvent des compétences chirurgicales que propose la Clinique. L’Unité de Soins Non Programmés répond à ces « urgences », non vitales de la vie quotidienne. Nous élargissons, ainsi, l’offre d’accès au soin avec une réponse rapide tout en améliorant les délais d’établissement de diagnostics grâce à la proximité des spécialistes et centres d’examens. »
Stéphanie Briantais complète : « Au cours des dernières semaines, nous avons atteint une fréquentation aux environs de 10 patients par jour. Le plus souvent, ils sont adressés par les médecins de ville qui avaient reçu, avant l’ouverture, une information sur le fonctionnement de l’unité. »
Depuis 2019, 7 Unités de Soins Non Programmés ont été ouvertes au sein des établissements du Groupe Vivalto Santé : Polyclinique du Parc – Cholet | Clinique Mégival – Dieppe | Hôpital Privé de la Baie – Avranches | Clinique de la Côte d’Émeraude – Saint-Malo | Clinique de la Baie – Morlaix | Clinique Notre-Dame – Vire | Polyclinique de Kério – Pontivy. En 2020, 2 nouvelles ouvertures d’USNP ont vu le jour : Clinique Saint-Germain – Saint-Germain-en-Laye et la Clinique du Pays de Rance – Dinan

Depuis plus de 20 ans Karine Breack-Touzet évolue dans le domaine du projet hospitalier, ce qui l’a conduite à créer HOSPIHUB.
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Les équipes d'Eiffage Construction démarrent l'année 2021 avec la notification d'attribution du contrat pour la reconstruction du CHU de Caen, un nouvel équipement hospitalier qui constitue la phase 1 de la reconstruction du CHU de Caen et porte sur la réalisation des bâtiments Logistique, Administration, Pharmacie et Biologie.
Le projet du nouveau CHU de Caen sera réalisé en deux phases distinctes :
- la phase anticipée, qui a été signée fin janvier et qui comprend les bâtiments Biologie d’une part et Logistique Pharmacie & Administration d’autre part ;
- la phase principale, qui concernera le cœur de l’hôpital : les bâtiments de consultation/hôpital de jour, le plateau médico technique et les hébergements, et les Etablissements Recevant du Public.
Le projet dessiné par le cabinet AIA Architectes et Diagram architectes urbanistes conjugue modernité et esthétique. Il s’étend de manière harmonieuse et épurée en s’organisant autour de patios intérieurs, ainsi que de l’Oasis, un écrin de verdure extérieur situé entre les bâtiments.
Côté environnemental, le bâtiment répondra aux exigences de la RT 2012 et une démarche Haute Qualité Environnementale (HQE) sera intégrée à chacune des étapes du projet.
Les travaux, d’un montant de 28,6 millions d’euros HT, démarreront en avril prochain, dureront 2 ans et mobiliseront jusqu’à 100 compagnons en phase de pointe du chantier.
Ce nouveau marché remporté intervient après la livraison en décembre 2020 des bunkers de radiothérapie du CHRU Bretonneau à Tours et, en parallèle, la confirmation par le CHRU de Brest du lancement des travaux de son Institut de Cancérologie et d’Imagerie
Les partenaires d'Eiffage Construction sur cette opération : CHU Caen Normandie, Icade, AIA, SOGETI INGENIERIE, Intégral Ruedi Baur.

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29-01-2021 : Ce partenariat servira à faire progresser les soins aux patients au CHU de Rennes et à propulser les stratégies de recherche clinique et d’innovation de l’hôpital.
Pionnier mondial de l’imagerie médicale, Philips a annoncé un partenariat technologique et d’innovation de 5 ans avec le CHU de Rennes, dans le but d’améliorer tous les aspects des soins aux patients, en particulier pour les patients en phase aiguë.
Le partenariat sera utilisé pour faire avancer les projets de recherche clinique co-développés par le CHU de Rennes et Philips dans la gestion des accidents vasculaires cérébraux, la pathologie numérique et la surveillance des soins intensifs, ainsi que pour soutenir la création de voies d’innovation pour les jeunes pousses médicales françaises.
Pourquoi est-ce important ?
Le CHU de Rennes est l’un des meilleurs hôpitaux de France. Réparti sur quatre sites, il compte plus de 60 services médicaux, chirurgicaux et d’imagerie qui soutiennent les soins à toutes les étapes de la vie, mais il est particulièrement connu pour sa robotique et ses interventions médicales guidées par l’image.
Le partenariat avec Philips vise à soutenir le développement, le co-développement et la diffusion de l’innovation médicale au sein du CHU de Rennes et à contribuer au développement de soins de santé durables. Il sera principalement axé sur l’optimisation de la gestion des accidents vasculaires cérébraux et le développement de l’IA pour améliorer la prise en charge des patients en phase aiguë.
Pour soutenir les modalités d’imagerie telles que l’IRM et la tomodensitométrie, Philips fournira au CHU de Rennes de nouvelles technologies dans les domaines de la médecine, de la surveillance et de la gestion des soins.
Le partenariat verra également la mise en place de grandes analyses de données et d’entrepôts de données pour permettre un suivi intelligent des cas médicaux complexes en soins intensifs et pour soutenir la pathologie numérique.

L’événement D4Evolution s’est tenu les 28 et 29 janvier derniers ( cf notre agenda ), dans un contexte sanitaire obligeant Dedalus à repenser son RDV annuel sous format digital.
Désireux d’offrir une expérience unique et de partager avec les participants leur vision du futur en e-santé, les équipes avaient concocté un programme consistant : plateau TV, reportages, table ronde, workshops et un espace networking. Des supports variés étaient mis à disposition. Nous avons été conviés à une conférence de presse le premier jour. L’occasion pour l’éditeur-intégrateur leader européen :
- de confirmer son engagement envers la feuille de route du numérique en santé, publiée par l'Etat en avril 2019. Guillaume REYNAUD, Directeur des relations publiques, en est le coordonnateur interne. Le groupe accélère ainsi la mise en oeuvre des référentiels et services socles dans l'ensemble de ses 22 solutions. Parmi les chantiers phares : la récupération et la diffusion de l'identité "Identifiant National de Santé"(INS), l'identification électronique par Pro Santé Connect (PSC) et la e-CPS, l'Espace Numérique de Santé (ENS) avec son futur store d'applications référencées, le DMP, la messagerie sécurisée de santé (MSS), etc...
- d’indiquer que, conscients des exigences métiers et des évolutions qui s’opèrent au sein des laboratoires, Dedalus a fait des plateaux techniques, un axe majeur d'investissements en construisant un pôle Anatomo-pathologie performant capable de proposer quels que soient la taille, le secteur ou le projet du laboratoire, le produit le plus adapté ainsi qu'un accompagnement technique et fonctionnel efficient. L'ensemble des sites ou établissements répartis sur le territoire sont ainsi gérés de façon centralisée en assurant la connectivité, la centralisation et la diffusion des résultats. Et de rappeler que fin avril 2020, en pleine crise Covid-19 et en période de confinement, l'éditeur s'est vu missionné par le ministère des solidarités et de la santé - au regard de son expérience de l'interopérabilité des laboratoires privés- pour connecter les plus de 4000 laboratoires français au SI-DEP ( Système d'Informations de DEPistage ).
- De présenter la stratégie D4U, qui consiste à intégrer des modules nouvelle génération à toutes les solutions de groupe sans migration lourde, sans stress et sans big-bang. L'objectif est de réduire le nombre de solutions composant un Système d'information en accompagnant les établissements dans la convergence vers un système modulaire et intégré.
- Et de répondre à notre question sur les projets de développement en Afrique : « L’ambition est importante concernant le développement de Dedalus : nous répondons aux appels d’offres émis pour l’Afrique francophone, en lien avec les institutions internationales, et européennes. Outre les filiales déjà implantées en Algérie, au Maroc depuis plusieurs années, certaines initiatives comme la mise en place de GHT au Maroc sont à l’étude. Par ailleurs nous travaillons aussi à nous renforcer en Afrique du Sud, en Egypte et au Moyen-Orient en général. » a déclaré Frédéric Vaillant, Directeur Général de Dedalus France
Pour mémoire : Fondé à Florence en 1982, présent dans plus de 40 pays, le groupe occupe la première place dans son secteur en France, en Allemagne, en Italie, au Royaume-Uni et en Espagne. Dedalus compte plus de 5500 collaborateurs, et une impressionnante plateforme de R&D de 2000 personnes réparties à travers le monde. Il est devenu, au cours de sa croissance, le leader du marché italien du système d’information hospitalier et de l’intégration de systèmes corollaires au secteur de la santé. Entre 2015 et 2016, le groupe a profité du soutien du fonds d’investissement français Ardian, l’un des plus importants fonds européens, pour racheter le troisième acteur clé de son secteur en Italie, alors actionnaire de l'entreprise française. La volonté d’Ardian est de faire du groupe Dedalus le leader européen dans son domaine en renforçant sa présence partout en Europe.

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Acté en 2015, l’investissement pour cette opération est de 11 041 000 € dont 10 600 000 € TDC pour les études et les travaux ; 244 000 € pour les équipements biomédicaux et 197 000 € pour les équipements mobiliers. C’est ensuite le 6 février 2018, que le CHU de Montpellier procédait à la cérémonie officielle de pose de la première pierre de son futur bâtiment des maladies infectieuses et tropicales (MIT), signant ainsi le lancement d’un vaste programme d’investissements sur la période 2018-2022.
Dispersé sur 3 lieux différents, le service des MIT sera désormais regroupé dans un nouveau bâtiment moderne et fonctionnel, situé dans l’enceinte de l’hôpital la Colombière.
Sur le constat que « Ce début du XXIème siècle est marqué par l’émergence de nouvelles pathologies infectieuses virales tel que le COVID19 mais pas seulement (ZIKA, EBOLA, nouvelles infections respiratoires) et l’évolution vers l’antibio-résistance de nombreuses bactéries dont le bacille tuberculeux. », le Département des maladies infectieuses et tropicales du Chu de Montpellier explique la nécessité de disposer d’unités comportant des secteurs d’isolement pour la prise en charge de patients porteurs d’agents transmissibles hautement pathogènes ou résistants.
Ajoutant « qu’en plus des nouvelles pathologies infectieuses, la multiplication des états d’immunodépression a généré une amplification des infections graves et/ou opportunistes nécessitant une prise en charge spécialisée. »
Cette nouvelle infrastructure a pour but de garantir la sécurité des patients et du personnel, et de regrouper des activités. L’installation dans ce bâtiment neuf permet de faciliter la prise en charge de patients contagieux, dans le respect des normes en vigueur. Cette structure permettra également l’optimisation des soins et de la recherche clinique.
Ce nouveau bâtiment sera ouvert aux patients le 1er février prochain pour les consultations- à 48h près, pour la seconde Journée Mondiale des Maladies Infectieuses.
Ce département prend en charge les maladies infectieuses communautaires, ainsi que les infections complexes liées aux soins ou à un état d’immunodépression. Il intervient dans les domaines suivants :
- Médecine des Voyages et vaccinations internationales,
- Centre antirabique,
- Immunodépressions (VIH, splénectomisés,…),
- Prophylaxie pré-exposition VIH (PrEP) et infections sexuellement transmissibles, infections ostéo-articulaires complexes,
- Recherche clinique
- Le COREVIH Occitanie (COordination REgionale de lutte contre le VIH et les IST).
Comment s’organise ce nouveau bâtiment ?
Au rez-de-chaussée :
- Le secteur Hall – Admissions est localisé à l’entrée du bâtiment de plain-pied avec l’accès extérieur, il dessert tous les autres secteurs du bâtiment.
- Le secteur Consultations a été calibré pour une activité de 18 500 consultations/an. Ce secteur est composé des espaces suivants : L’accueil des consultations sera effectué au niveau du secteur Hall – Admissions, 9 salles de consultations dont 1 salle de consultations dédiée à la recherche médicale et 4 boxes de prélèvements dont 1 box dédié aux vaccinations
- Une réserve foncière de 60 m2 permet d’envisager un agrandissement de l’espace de consultation. L’aménagement a été conçu pour que les travaux puissent se faire sans perturbation pour l’activité en place.
- Une partie des locaux du COREVIH sont situés sur ce niveau, il s’agit des bureaux des professionnels en lien direct avec les consultations.
- Un secteur logistique est prévu dans un bâtiment isolé.
Au 1er étage :
Le secteur hospitalisation composé de 23 lits dont 2 lits pour la décontamination et l’accueil d’urgence et 1 lit d’hôpital de jour. Le service est équipé d’un système de traitement d’air permettant de garantir l’accueil en toute sécurité de patients atteints de pathologies hautement contagieuses.
Au 2ème étage :
Des bureaux médicaux, une salle de staff avec visioconférence et une salle de conférence. Il abritera également des locaux de recherche clinique, le COREVIH et une salle de télé-expertise.
Ces nouveaux locaux fonctionnels permettront d’assurer un accueil sécurisé pour près de 7 000 journées d’hospitalisation et des conditions optimales de travail et de communication pour les équipes soignantes, de recherche clinique et universitaires.
En attendant l’inauguration « officielle » après la crise sanitaire, une visite a eu lieu avant l’emménagement complet, le 21 janvier dernier en présence de Monsieur Michael Delafosse, Président du Conseil de Surveillance et Maire de Montpellier, M. Thomas Le Ludec, Directeur Général du CHU, le Pr Patrice Taourel, Président de la CME, le Pr Vincent LE Moing, Chef du Pôle des Cliniques Médicales, le Pr Jacques Reynes, Responsable du Département des Maladies Infectieuses et Tropicales ainsi qu’une petite partie de l’équipe.
Côté maîtrise d'oeuvre : Mandataire : Fondeville - Architectes : TLR architecture

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Pandémie oblige, la traditionnelle cérémonie des vœux par les directions d’hôpitaux s’est déroulée bien souvent au format vidéo en direct ou préenregistrée, rarement en présentiel, et forcément en comité restreint et dans le respect des gestes barrières.
Aucun responsable n’aura manqué d’exprimer sa gratitude pour la « mobilisation exceptionnelle », « l’engagement au service de la santé publique » ou « l’investissement extraordinaire » des équipes soignantes depuis le début de la crise sanitaire. C’est aussi l’occasion de se tourner vers l’avenir, en abordant les projets. Nous en avons comme chaque année fait une lecture, et extrait les passages qui concernent notre lectorat. Ci-après une première sélection…nous verrons ultérieurement s’il y a matière à une seconde.
- Centre hospitalier de Châlons : Une restructuration plus importante que prévu ?
Baptisé « Hôpital 2023 », le projet de restructuration du centre hospitalier de Châlons comprend plusieurs étapes phares : l'extension de l'espace réservé à l'endoscopie, la réhabilitation des blocs opératoires, et la construction d'un bâtiment réunissant les activités liées à la médecine ainsi qu'à la maternité, la pédiatrie et la néonatalogie. Rien n'est encore acté pour l'heure, mais il pourrait se développer. « Il reste validé tel qu'imaginé et va probablement évoluer, précise le maire, Benoist Apparu. Les discussions sont en cours, l'idée étant d'aller plus loin en misant sur notre expérience de la crise sanitaire et les nouveaux investissements décidés au plan national. » Pour rappel, près de 47 millions d'euros, financés en partie par l'Agence régionale de santé, étaient déjà fléchés sur ce dossier.
Source : http://www.lhebdoduvendredi.com/article/39397/ce-qui-attend-chalons-en-2021
- Hôpital d’Hénin-Beaumont
Outre le nouvel hôpital en ligne de mire, il est aussi question de la refonte du bloc opératoire à Béthune et de travaux d’agrandissement pour l’hôpital d’Hénin-Beaumont.
- Groupement hospitalier (GHT) Coeur Grand Est
Le directeur général a martelé que 2021 serait l’année de la poursuite de la « modernisation du centre hospitalier de Vitry ». Sont ainsi annoncés le lancement des travaux d’extension du département soin de suite et réadaptation, des travaux de la maison médicale de garde et des urgences. « Mais la priorité reste l’Ehpad à refonder tous ensemble », a conclu Jérôme Goeminne, directeur Général du Groupement hospitalier.
- L’hôpital d’Issoudun prêt à relever les défis de 2021
Plusieurs chantiers marqueront 2021. « Notre premier objectif est de stabiliser le service des urgences avec le recrutement de nouveaux praticiens et un partenariat repensé avec l’hôpital de Châteauroux », a annoncé Marc Kugelstadt, qui souhaite également poursuivre les recrutements de praticiens pour d’autres services (pôle Soins de suite et réadaptation, pôle médical).
Des travaux sont également programmés, grâce à une première aide de 350.000 € consentie par l’Agence régionale de santé. « C’est un signe de confiance », estime le directeur qui liste ses priorités en 2021 : la sécurité incendie des bâtiments ; l’amélioration des conditions d’accueil des patients par de nouveaux bureaux dans le bâtiment Marie-Curie ; la réorganisation des locaux de Médecine physique et réadaptation, pôle en « pleine croissance d’activité ». À ces travaux financés par l’hôpital s’ajoute le déplacement de la blanchisserie dans les locaux neufs de l’ex-Relais des marques, pris en charge par la collectivité.
D'autres projets de modernisation sont finalilés et s'étaleront sur les prochaines années. À commencer par la restructuration du bâtiment principal (Curie) qui, a elle seule, représente un investissement de 15 à 20 M€.
Source : https://www.lanouvellerepublique.fr/issoudun/l-hopital-pret-a-relever-les-defis-de-2021
- Centre hospitalier du Haut-Anjou
En 2021, une action forte illustre le rapprochement entre la médecine de ville et l’hôpital. Patrick Plassais, directeur du centre hospitalier du Haut-Anjou, indique : « La création du centre de prévention et d’éducation en santé au sein des locaux de la maison de santé de la Motte Vauvert. Du côté des investissements, ils sont nombreux, notamment au bloc opératoire, c’est la création d’une seconde salle d’endoscopie.
Vont être réalisées les études du projet d’extension et de restructuration des urgences, de la zone logistique et du service mortuaire. » Les passages aux urgences ont augmenté de 8 000 à 18 000 en dix ans. Le budget consacré est de 4,8 M€. L’organisation spatiale est repensée, afin que le patient puisse ressortir des urgences sans repasser par la salle d’attente. Le projet doit corriger le manque d’espace, la largeur de circulation, le problème de la luminosité.
Le projet comprend également la création de vestiaires, du restaurant du personnel, et le réaménagement des archives médicales, ainsi que la relocalisation des chambres mortuaires. Début des travaux aux urgences en avril 2022.
- Des investissements prévus à la clinique de la Marche à Guéret
Des investissements avec une enveloppe similaire à 2020 – 300.000 € –, dévolue à de nouveaux travaux et projets. En 2021, la clinique de la Marche va voir d’autres projets et investissements se concrétiser
« On va travailler à rénover, réaménager, réadapter et moderniser notre circuit ambulatoire », explique Cécile Blanc qui souhaite aller vers une gestion du patient debout, notamment, par exemple, pour les opérations de la cataracte. « Ça se fait de plus en plus, et c’est plus cohérent, moins anxiogène aussi de pouvoir aller au bloc, debout. »
L’unité SOS Premiers soins va également être au cœur de la réflexion. Pourquoi pas, « élargir les amplitudes d’accueil ? », s’interroge la directrice générale. « On y réfléchit avec les équipes médicales. Ce service correspond à un vrai besoin parce que la médecine générale de ville est très saturée. C’est un accompagnement complémentaire pour le territoire. »
Autre projet en réflexion : l’extension du parking. « C’est un vrai sujet, il est petit et nos patients et nos personnels n’arrivent plus à se garer, constate Cécile Blanc. Nous sommes propriétaire d’un terrain attenant où l’on pourrait créer des places. Ça n’a pas été notre priorité parce qu’on a préféré rénover les installations intérieures mais c’est un projet qui fera certainement partie des plans d’investissement futurs. »
- Extension du CHU de Tours
Le CHU de Tours est le premier employeur d’Indre-et-Loire et le premier propriétaire immobilier de l’agglomération tourangelle. Dans les 5 ans qui viennent il va encore monter en puissance avec la reconstruction pour extension de son site chambraisien à Trousseau.
« Le Nouvel Hôpital Trousseau est un des grands projets nationaux des prochaines années » explique sa direction. De fait, un chantier à 378 millions d’€ (et 600 millions si l’on compte l’ensemble de ses composantes) c’est quelque chose de très conséquent. A peu de choses près l’équivalent de la construction de la deuxième ligne de tram de l’agglomération… qui doit passer pile devant les portes du futur établissement et doit être inaugurée au même moment. Aucun hasard là-dedans, tout est calculé.
- Centre hospitalier du Haut-Anjou sud-Mayenne et nord-Maine-et-Loire : investissements extension, restructuration au programme
La cérémonie des vœux au centre hospitalier du Haut-Anjou sud-Mayenne et nord-Maine-et-Loire a fait l'objet d'un courrier de la direction au personnel, le 15 janvier 2021.
Du côté des investissements, ils sont nombreux, notamment au bloc opératoire, c’est la création d’une seconde salle d’endoscopie. Vont être réalisées les études du projet d’extension et de restructuration des urgences, de la zone logistique et du service mortuaire.
Le budget consacré est de 4,8 M€. L’organisation spatiale est repensée, afin que le patient puisse ressortir des urgences sans repasser par la salle d’attente. Le projet doit corriger le manque d’espace, la largeur de circulation, le problème de la luminosité. Le projet comprend également la création de vestiaires, du restaurant du personnel, et le réaménagement des archives médicales, ainsi que la relocalisation des chambres mortuaires. Début des travaux aux urgences en avril 2022. Dans la lettre de vœux au personnel hospitalier, Patrick Plassais annonce son départ à la retraite en juin prochain. Son successeur est nommé : Eric-Alban Giroux.

Depuis plus de 20 ans Karine Breack-Touzet évolue dans le domaine du projet hospitalier, ce qui l’a conduite à créer HOSPIHUB.
Elle est en constante relation avec les acteurs de la santé en France, au Maghreb et en Afrique. Son expertise s'étend aussi dans le tourisme de santé
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Le centre hospitalier de Sens est engagé dans une double opération d'extension et modernisation, dont la réflexion a commencé en 2017( notre article de mars 2018 ).
Après l‘ouverture d’un parking en silo de 450 places à la fin de l’été 2020, le centre hospitalier de Sens va entrer dans une nouvelle phase de travaux cette année. Dès les premiers mois, le hall d’entrée va être entièrement réagencé, avec notamment la démolition de l’auvent en béton et la rénovation de la façade. En parallèle, la pharmacie de l’hôpital va être déplacée dans une nouvelle extension, avec une livraison programmée pour le mois de juin.
Les engins de chantier sont sur place depuis octobre dernier. D’importants travaux de rénovation vont être également entrepris au niveau de l’accueil au cours du premier trimestre 2021. "L’auvent de béton va être démoli de manière à récupérer de la lumière, le hall de l’hôpital va être totalement réagencé. Ce qui signifie qu’il faudra mettre en place fin 2020-début 2021 une autre entrée et revoir les flux de circulation dans l’enceinte de l’hôpital. Des places de stationnement supplémentaires, réservées aux ambulances et aux VSL, seront créées, soit une douzaine au total, devant l’entrée rénovée." Après quoi, la réfection des façades sera entreprise pour achever l’opération de modernisation.
Ces deux opérations, d’un coût estimé à 3,2 millions d’euros, sont préalables à une métamorphose d’ampleur. Un nouveau bâtiment de 12.200 m2 est attendu pour la fin 2022. Il abritera le pôle femme-mère-enfant, l’ensemble des urgences, les blocs opératoires, un hôpital de jour en pneumologie, le service d’hémodialyse, des postes de consultation et une hélistation. Ce gros chantier est budgété à hauteur de 26 millions d’euros.
Le hall du nouveau Pôle mère-enfant crédit : Architecture Groupe 6
Le projet est en conception-réalisation.
Équipe de maîtrise d’œuvre : Eiffage Construction Bourgogne Franche Comté (Mandataire) - Groupe 6 ( Conception-Architecture) - OTEIS (BET TCE) - Inddigo (Environnement) - Acoustique France (Acoustique) - CGX Aero (Aéronautique).
Sources : lyonne.fr et Groupe 6

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En 2019, Dedalus lançait l’événement D4 Evolution. Des journées stratégiques placées sous le signe de l’échange et du partage avec les acteurs clés du secteur de la santé. Le 23 janvier 2020, l’expérience D4 avait été réitérée.
En 2021, " Le contexte sanitaire actuel, nous invite à repenser complétement notre événement. Le digital ne signifie pas inévitablement renoncer à des échanges privilégiés avec vous. Nous sommes persuadés du contraire ! Ce moment privilégié, 100% digital a été imaginé pour vous. Nous avons réinventé notre D4 Evolution pour vous offrir une expérience unique et partager avec vous notre vision du futur en e-santé. Au programme, plateau TV, reportages, table ronde, workshops et un espace networking pour échanger avec nos collaborateurs." indique l'organisateur.
Les intervenants seront comme chaque année, de haut vol :
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