Sympotech PPP – Sécurité des patients 2017

DATE : 28-30 JUIN 2017 LIEU : ABIDJAN
Sympotech PPP – Sécurité des patients 2017

Mise à jour du 25/04/2017 transmise par l'Organisateur : Changement de dates 

3ème édition du Symposium technique régional « SYMPOTECH PPP – SECURITE DES PATIENTS 2017 » se tiendra du 28 au 30 juin 2017 à Grand Bassam en Côte d'Ivoire (www.sympotechhospi.com)

  • agenda-provisoire-symppotech-avril

Mise à jour 20/12/2016 :

L’invitation au lancement officielle de la campagne du Sympotech PPP – Sécurité des Patients 2017 nous est parvenue ! Une belle opportunité de network avec le secteur hospitalier africain : participez-y !

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  • suite-invitation

Le 3ème symposium technique régional (Sympotech PPP – Sécurité des patients 2017) a pour objectif de contribuer aux réflexions devant permettre la redynamisation de l’hygiène hospitalière et la lutte contre la résistance aux antibiotiques, afin d’améliorer la sécurité des patients séjournant dans les établissements de santé. Il s’emploiera également à répondre aux préoccupations de qualité de soins et sécurité des patients. Il se tiendra à

Abidjan

du 19 au 21 avril 2017

Les participants attendus à ce symposium technique :

  • professionnels des secteurs privé et public de la santé,
  • les laboratoires pharmaceutiques,
  • opérateurs des TIC,
  • sociétés d’équipements et consommables médicaux,
  • structures d’hygiène et de sécurité,
  • des partenaires techniques et financiers,
  • structures de certification de la qualité et de la sécurité dans les systèmes de santé de l’Afrique de l’Ouest.

Contexte de l’organisation de cet événement (extrait du site officiel):

« … » En France, toutes pathologies confondues, la fréquence moyenne des infections nosocomiales est estimée à 8 %, atteignant parfois 30 % dans les services de réanimation. En Afrique et dans la plupart des pays en développement, les données sur les infections nosocomiales restent très parcellaires et limitées et il n’existe pratiquement pas de données nationales.

En Afrique, les seules données de prévalence disponibles sont le fait d’études hospitalières faites notamment au Sénégal (6-7%), au Bénin (10%), en Côte d’Ivoire (12%) et au Maroc (10-11%), et qui ont montré que cette infection représentait la troisième cause de mortalité maternelle, la deuxième cause de mortalité néonatale précoce et la première cause de morbidité postopératoire.

Les infections nosocomiales affectent en effet, les patients vulnérables au sein des hôpitaux. Ainsi, dans une perspective de santé publique, la lutte contre l’infection nosocomiale passe par le contrôle des trois éléments de la chaîne, à savoir : I) l’environnement hospitalier qui représente les sources d’infection, II) les modes de transmission de l’infection, III) les facteurs de réceptivité liés au malade ou à sa maladie, dont le contrôle est souvent plus difficile à réaliser.

Les agents étiologiques (bactéries, virus, champignons et parasites) peuvent être transmis aussi bien aux patients qu’au personnel lui-même ; le risque majeur est représenté par le virus VIH et les virus de l’hépatite B. La contamination peut s’effectuer par l’intermédiaire d’un contact avec un liquide organique (sang, sécrétions muqueuses), des instruments souillés ou à l’occasion d’une blessure accidentelle par un objet pointu ou tranchant infecté.

Par ailleurs, dans les établissements de santé en Afrique où les pratiques de soins sont caractérisées par des contraintes multiples (pénurie en moyens humains et matériels, encombrement des unités de soins), les actes médicaux sont souvent réalisés dans des conditions telles qu’il est difficile de se conformer strictement aux normes de prévention des infections.

  • STH2017-1.jpg

Les infections nosocomiales seraient théoriquement évitables par le respect des règles d’hygiène et le contrôle des pratiques de soins, la stérilisation des outils des médecins et la suppression des germes dans les surfaces à risque, l’isolement des malades contagieux et par l’utilisation d’antibiotiques.

Cependant, il est reconnu que la résistance aux antimicrobiens qui est la résistance d’un micro-organisme à un médicament antimicrobien auquel il était jusque-là sensible, compromet la prévention et le traitement efficaces d’un nombre croissant d’infections provoquées par des bactéries, des parasites, des virus et des champignons. Elle constitue une menace croissante pour la santé publique en Afrique qui exige la prise de mesures à l’échelle de tous les secteurs gouvernementaux et de la société tout entière

Face à cette situation l’ACPCI en partenariat avec le RIPAQS ont décidé d’initier l’organisation du 3ème Symposium technique régional sur l’hygiène hospitalière et la gestion des risques en milieux de soins en Afrique ».(..)

HOSPIHUB est partenaire média de cet événement, correspondant Europe et Maghreb, et à ce titre, habilité à vous faciliter l’enregistrement des inscriptions, et réservations de stand.

Votre contact : Karine Breack

Téléphone France : +33 1 73 03 33 53 // Téléphone Maroc : +212 5 37 56 48 93

Email : hospihub@gmail.com

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